Samedi 21 novembre 2009 à 0:46

Se soir, je suis rentré à la Maison. Oui, la Maison. La nouvelle maison, celle qui aujourd'hui remplace l'ancienne. Comme ça, ça l'air simple, mais pour moi c'est compliqué. Alors que j'avais hate de quitté Amiens, me retrouver un peut. Abandonner la semaine qui ma lacé, qui ma laissé, j'en avais assé... Le trajet en lui même était un simple voyage en train, comme je les détestes tous.
Au final, en arrivant à la maison, je pause mes affaires. Je monte dans la chambre, ma mère et les chats me suivent. On se pose sur le lit, les chats se laissent caresser, tout vas bien. Le gros matou, se pose sur le pouf, ma mère sourie. Je suis content, je ne la voie pas sourire souvent en se moment. Le Matou se redresse, et pisse sur le pouf.
Comment lui faire comprendre que là, c'était pas le moment. Comment lui faire comprendre...sans s'énerver? Je ne sais pas combien de seconde je l'ai tenu par le cou, et le nombre de secondes qu'il ma regarder dans les yeux, d'un air de tueur. Nous avions tout les deux quelque chose à se repprocher. Tout les deux une raisons de se faire justice soit même.
Je l'ai relacher, il n'est pas partit tout de suite, il n'avait pas terminer, quel enfoiré. Je l'ai fait sortir...
 
Ses derniers temps, je me comparait à se chat, a dire vrai, je pensait le comprendre un peut. Ses quelques secondes n'on que prouver la vérité. Nous sommes cruels entre nous, et sa nous parait normal...

  Toi aussi dans ton innocence tu est cruels avec moi. Un jour tu comprendra, mais comme toujours, trop tard.
Car toi et moi on ne se connait pas, enfin si on se connait. Mais on se connait comme deux inconnus.

Mercredi 11 novembre 2009 à 22:26

Ils sont passé... J'ai un peut comprit. A vrai dire, non je n'ai rien comprit, rien du tout. Je ne comprend pas comment tout se beau monde peut fonctionner et pourquoi moi dans tout ça, je suis comme le rouage rouillé d'une machine qui ne fonctionne plus et qui à force à été remplacer, de manière à ne plus rendre se truc inutile emconbrant dans le passage.
Bref autrement dit, je n'ai toujours pas comprit pourquoi dans se petit monde d'amour et d'eau fraiche, je suis l'île insubmersible sur la quelle personne ne veux bronzer. A croire que je perd espoir dans la société et dans les amis. Mais qu'est ce qui se passe? Un côté mi parano, mi stupide fait de moi la personne la plus susceptible au monde en se moment. Hier je me suis surprit moi même, péter des cables pour un rien. Pour une histoire de "qu'est ce qu'on fait se soir"... Pathétique. Est ce juste que j'ai toujours été pathétique et que je m'en rend compte que maintenant? Alors là, sa serais une lueur d'espoir. Mais à vrai dire, j'ai plus l'impression que les choses vont de pire en pire.
Au point que je n'ai plus vraiment l'impression de partager réellement quelque chose avec quelqu'un. Comme si chez moi, il n'y avait qu'un robot pareil à tout les autres, et qu'ainsi, je ne déclanche pas plus d'interet que les autres et que le hasard suivait sa lente route et qu'un jours sa tomberait sur moi. Mais voila, moi j'ai mes goûts, mes envies, mes désirs, mes idées, enfin tout se qui me caractérise. Ainsi, si moi je ne suis pas dans leurs cordes, je suivrait la mienne. Cela allait bien au début, je veux dire qu'a vivre pour soit on se sent mieu, on se sent libre...
Mais la liberté vas de pair avec la solitude (là je ne parle que de solitude sentimental...) et autant que je voudrais être libre, je suis incapable d'être seul. Surtout quand les gouts te rattrapent, et que tu voit celles qui te plaisent toute avec quelqu'un...

Je rigolait y a quelque jours en disant "A croire que je préfère les filles qui on déjà quelqu'un". J'en rigole à voie haute, mais au fond sa me tue. Je préfère garder des potes que tenté une histoire qui me met tout à dos. Le risque est trop grand.. Et de toute manière ils sont tous heureux ensembles... Ils méritent aussi, autant que moi se bonheur. Alors... L'idée est simple, laissé tombé et faire mes affaires de mon côté. Mais autant dire, que je suis aussi habile avec les filles qu'un manchot avec un balais et que ma réussite ne rime à rien...
D'ailleur je croit que je n'ai jamais vraiment réussi quelque chose en amour. Pas de relation vraiment longue, que des promesses et rien, que des mensonges, que des conneries. Au final, j'en redemande encore. Mais c'est que putain tout ça, sa fait vivre. Je n'ai pas envis d'être une putain de tortue dans sa carapace qui ne veut plus en sortir. Même si finalement, c'est se que je devient un peut au fure et a mesure.

Alors il faut que je face marche arrière, que j'aille vers les personnes que j'ai confiance en moi et que je ne face plus le con. Que je garde les personnes que j'aiment quand elles sont encore là.


Vendredi 23 octobre 2009 à 19:57


Les journées s'enchainent et se ressemblent
 
Et dire que hier c'était déjà une journée de merde, à croire que Amiens me déteste, autant que je la déteste et qu'elle me le rend bien. J'ai loupé mon car, demain mon premier jour du week end et je serais levée à l'aube. Pour prendre le premier car de la journée. Pour ensuite arrivé à Hodenc et mettre mon passer en boite. Des boites qui serons ensuite placer dans un camion, et arrivé dans notre futur maison. Avant même d'avoir commencer à proprement déménager, je sais déjà que je le déteste se déménagement. Déjà pour les raisons du déménagement. Ensuite, pour ne plus avoir de chez moi proprement dit. Mon appart ne sera jamais chez moi, comme rémérangle ne le sera jamais non plus. Mais voila, c'est comme ça. On y peut rien, c'est la vie elle est ainsi.
Mais plus que ça, parce que je sais que samedi je n'irais pas chez Lulu, que je loupe l'occasion de la revoir avant qu'elle parte un ans en Australie. Que lundi faudra que je travail pour le lendemain un texte de théatre que je ne connais pas encore. Que je doit faire une liste de traduction grecque pour le même type et que à côté il faut que j'arrive à arrêté de fumer et de pleurer le soir dans mon lit...

Je croit que je tiendrait pas longtemps à se rythme là. Physiquement et moralement.

J'ai pas envis de devoir m'engueuler avec quelqu'un pour faire comprendre des trucs simples, comme avec un professeur par exemple. J'ai l'impression que les amienois on l'impression de tout savoir culturelement comme de nos vies personnelles. Autant dire que j'ai l'impression d'être inconnu dans se monde. Je veux dire que lorsque je ne suis pas physiquement présent, je ne compte pas, et pire encore, des fois même quand je suis là je ne compte pas. A croire que j'aurais dut naitre directement fantome, sa me semblerait alors plus logique... Et j'aurais même pas de raison de me plaindre car tout les fantômes sont invisible et veulent se faire voire, entendre, sentir... En gros, je serais un parfait fantome. Malheureusement, je ne le suis pas. Malheureusement je ne suis qu'un simple étudiant qui sait déjà que sa vie n'ira nul part. Qui n'as plus d'espoir de réussite. Comment plaire à un public si on est pas capable de plaire à une simple personne?
Mais je dit des conneries là. J'arrive à faire rire le publique. Sauf que ma vie n'est pas une rigolade.

 

Vendredi 23 octobre 2009 à 2:03

Des fois Yansene résolue les choses de la vie d'une simple façon, qui peut en choqué certain ou aidé d'autres. Mais finalement, aujourd'hui je me rend compte qu'à se sujet, il avait plus que raison. "Quand un mec se fait larguer, sur le moment tout vas bien. Mais le soir dans son lit qu'il chialle." Je suis pas encore en train de chialer car je ne suis pas encore dans mon lit. Mais je sais que dans quelques minutes je ne ferais que confirmer son ignoble véritée.
Tout à l'heure, je ne trouvait pas de raison de la contre dire. Tout allais mal, et l'on ne pouvait pas continuer comme ça. Là, j'était d'accord avec elle. Je pense que je ne la contredirais pas de toute façon. Mais je croit que sa ne m'empechera pas de chialer se soir. Pourquoi? On peut avoué certaine véritée, celle que l'on sait déjà. Mais comment dire "continuons" lorsque l'on t'explique que tu porte plus de sentiment à celle que t'aime qu'elle.
C'est pas grave, c'est toujours comme ça. L'un aime plus que l'autre. Il ne peut pas y avoir d'amour proportionnel.... Non, il ne peut pas y avoir d'histoire d'amour si il n'y a pas d'amour. Alors que dit-je? Qu'il n'y a pas eu d'amour et donc qu'il ni ait pas eu d'histoire.
Je résumerais tout trop vite, et ça ne serais que méchant vis à vis des personnes concernées.

Bref. Me voila, là. Seul devant mon PC a 1h40 du matin à me demander se que je peut bien faire à écrire sur se blog. Car de toute manière personne ne passera surement ici.. Enfin, ses comme si je gardait ses mots pour moi. Je croit juste que se blog me serv de corbeille à tout se que je voudrais dire, mais que sur le moment les mots manquent. Ou pire encore, c'est tout simplement là que je dit se que je n'ai pas l'occasion de dire à quelqu'un.
"A croire que des fois le monde est si petit, que l'on est seul au monde." Des fois, à me relire, j'ai peur d'être suicidaire, ou quelque chose dans le genre, de sombre et défaitiste à la fois.
Je me dit ça parce que dans ma nouvelle vie (celle qui fait de moi un amienois). Il n'y a plus personne, plus personne sauf maud, claire, et tim. Ou son passer tous ceux que je fréquentais? Où sont les amours dont je rêvais? Où sont les amis que j'avais? Est ce moi qui me met tous à dos? Est ce le monde qui est fait comme ça, et qui veut que l'on ne reste dans la mémoire des gens que lorsqu'on est devant eux. "Si se monde est ainsi, moi je n'en veut pas. Mais pire encore, si cela ne vient que de moi, alors que vais-je devenir?"
Oui car si cela vient de moi, cela veux dire que je ne sais pas m'adapter, que je suis invivable, insuportable et quoi encore? A vrai dire je n'en sais rien. Pourquoi avec moi sa ne fonctionne jamais? Pourquoi les histoires sérieuse et les vrais amours ne sont fait que pour les autres? Au début, je pensait que c'était beau l'amour. Ses sentiments qui dégage se bonheur et cette joie de vivre. Mais je n'ai que peut connu ces souvenirs. D'ailleur, je n'en garde pas mémoire. Pourtant j'ai aimé. Donné tout se que j'avais. Mais chaque histoire connais ses désillusion et les miennes on tendance à les connaitre trop tôt.

Ainsi, peut être que finalement je ne fait que tout ça pour ne jamais allé dans se lit, pour éviter le sort qui m'est promit. Pour évité de chialler celle que j'ai aimé et qui m'a quitté. Pour évité de repenser à cette putain de journée de merde. Pour éviter tout se qui ne ferait que mettre une cerise sur un gateau déjà dégueulasse. Pour éviter juste d'avoir son image se reproduisant dans mes songes.
 
 

"Autrement dit, juste l'oublier se soir..."
...

"Mais se soir, rien est ainsi, et aujourd'hui, tu doit souffrir."

Mercredi 14 octobre 2009 à 21:52


Il me faut de l'air, j'étouffe.

Tout change, et tout continu. Les déménagements, arrivent et les aurevoirs se dispersent. Demain, je n'aurais plus de chez moi, juste un endroit. Hier j'avais ma chambre, demain j'aurais une chambre d'étudiant. Je ne parle pas simplement le fait d'habité chez maman ou pas. Sa a vrai dire sa ne change pas, je ne suis jamais deux jours de suite au même endroit. Mais plus que ça. Après notre départ de Suresnes, Hodenc était devenut ma vraie maison. L'endroit ou il fait bon vivre, malgrer l'isolement complet de la civilisation dans lequel nous vivions. Se lieux avait des souvenirs, ceux de ma familles, comme des miens. Fermer cette boite de paon est dure pour moi, car je sais que seul ma petite mémoire ne pourra se souvenir de certaine choses. Que fure et à mesure elle oublira le grincement du garage. Le claquement des portes. Le bruit du vent dans les poutres. Et les chauve souris qui tourne l'été dans le jardin.
Au fure et à mesure j'oublira tout. Pour que finalement cela ne devienne qu'une adresse. Un peut comme la 12 rue chevremont...
Une simple adresse dans une simple mémoire.

Rien de plus...

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