Il est tard se soir, et je devrais déjà être en train de dormir, comme le bon écolier que je suis. Mais comme chaque fois, comme toujours, une impossible capacité de me plonger dans se que l'existence a rendut de plus simple et d'accablant me prend... Ainsi, après avoir lutter allonger huit heure dans mon lit, j'ai trouver se que je cherchais dans cette couette... Le sommeil
Mais plus que de savoir où se trouve mon sommeil, je cherche autre chose. Mon esprit cherche, et ne trouve pas. Il ne comprend pas se qui ne fonctionne pas. Tel un puzzle incomplet. Il cherche à mettre tout en ordre, mais plus il cherche et plus il se perd. Je suis comme un enfant perdu s'enfonçant encore plus dans une fôret en esperant tomber sur quelque chose de connut.
La réel question que je pause aujourd'hui est encore de savoir comment je suis arrivé jusqu'ici. Est ce l'accumulation de se qui c'est passer depuis cette été 2007? Ou une enième raison que je ne cerne toujours pas.
Je suis fatigué, et pourtant je ne dort pas. Mon esprit lutte contre les besoin de mon corps, comme si au lieu de devenir se qu'il avait toujours été, il cherchait à être différent au point de changer son métabolisme de base...

Je part loin là. Et je me demande si je ne devrait pas m'arreter ici. Mais il n'y à rien de mieu que de se faire une introspection tardive, à la vas vite, tel un cambrioleur amateur. Mais je ne peut pas violer mon esprit, qui peut violer sont esprit? On se convaint tellement facilement de certaines choses, qu'il est impossible d'avancer seul, et toujours tout droit. Mon avis subjectif ne peut que me tromper. Ainsi, peut être que j'écrit délibérement pour ne pas allonger ma petite carcasse d'homosapien dans la verticale de mon matelat...
Mais si c'était tout...

Je ne suis pas vide de sommeil, mais de sentiments... Je n'aime plus personne depuis tant de temps. J'ai perdu foi en l'espoir d'aimé. Ou du moin de créer une relation stable et équilibrer. Est ce une peur, un malaise intérieur que je ne comprend pas. Je n'en sais rien, et depuis tant de temps sa dure.
Et dire que ma famille Italienne me prend pour le prochain grand réa, qui pensent que j'enchaine les copines... Mais plus je flirt, et plus j'abandonne tôt. Ainsi, la dernière que j'ai réellement perdu, est cette chère futur kiné qui commence à juste me manquer. Je l'avais mise dans un coin de ma tête pensant à avoir mieu à faire, mais elle est ressurgit au moment ou je mi attendait le moin. On m'a reparler d'elle, demander comment elle allais, on me disait qu'elle était bien gentille...
Mais comment ais-je fait pour croire que je fonctionnerais comme ça? Faut'il qu'on me dise que je fait des erreurs pour que je m'en rende compte? Suis je vraiment un incapable?

Je me déçoit, incapable comme toujours de faire se que je doit faire, de faire des promresses pour éviter de ne pas y manquer et ainsi me déresponsabilisé en permanence.

Et suis j'avouais tout?


Vous l'aurez comprit.
Je m'issole de mon fort intérieur, pour vous montrer faible extérieur...
Car
pourquoi suis-je la seul personne persuader d'être incapable
de faire quoi que se soit de bien, d'intelligent, de concret
et qui face plaisir aux autres...

Mais est ce que j'ai envis de faire plaisir aux autres? Je me plaint de ne jamais faire se qui me plait et maintenant me voila me plaindre de ne pas être aussi bon que je le voudrais...


Je devrais vraiment me coucher...
Mais un jours je devrais aussi vraiment éclaircir tout ça.