Vendredi 23 octobre 2009 à 19:57


Les journées s'enchainent et se ressemblent
 
Et dire que hier c'était déjà une journée de merde, à croire que Amiens me déteste, autant que je la déteste et qu'elle me le rend bien. J'ai loupé mon car, demain mon premier jour du week end et je serais levée à l'aube. Pour prendre le premier car de la journée. Pour ensuite arrivé à Hodenc et mettre mon passer en boite. Des boites qui serons ensuite placer dans un camion, et arrivé dans notre futur maison. Avant même d'avoir commencer à proprement déménager, je sais déjà que je le déteste se déménagement. Déjà pour les raisons du déménagement. Ensuite, pour ne plus avoir de chez moi proprement dit. Mon appart ne sera jamais chez moi, comme rémérangle ne le sera jamais non plus. Mais voila, c'est comme ça. On y peut rien, c'est la vie elle est ainsi.
Mais plus que ça, parce que je sais que samedi je n'irais pas chez Lulu, que je loupe l'occasion de la revoir avant qu'elle parte un ans en Australie. Que lundi faudra que je travail pour le lendemain un texte de théatre que je ne connais pas encore. Que je doit faire une liste de traduction grecque pour le même type et que à côté il faut que j'arrive à arrêté de fumer et de pleurer le soir dans mon lit...

Je croit que je tiendrait pas longtemps à se rythme là. Physiquement et moralement.

J'ai pas envis de devoir m'engueuler avec quelqu'un pour faire comprendre des trucs simples, comme avec un professeur par exemple. J'ai l'impression que les amienois on l'impression de tout savoir culturelement comme de nos vies personnelles. Autant dire que j'ai l'impression d'être inconnu dans se monde. Je veux dire que lorsque je ne suis pas physiquement présent, je ne compte pas, et pire encore, des fois même quand je suis là je ne compte pas. A croire que j'aurais dut naitre directement fantome, sa me semblerait alors plus logique... Et j'aurais même pas de raison de me plaindre car tout les fantômes sont invisible et veulent se faire voire, entendre, sentir... En gros, je serais un parfait fantome. Malheureusement, je ne le suis pas. Malheureusement je ne suis qu'un simple étudiant qui sait déjà que sa vie n'ira nul part. Qui n'as plus d'espoir de réussite. Comment plaire à un public si on est pas capable de plaire à une simple personne?
Mais je dit des conneries là. J'arrive à faire rire le publique. Sauf que ma vie n'est pas une rigolade.

 

Vendredi 23 octobre 2009 à 2:03

Des fois Yansene résolue les choses de la vie d'une simple façon, qui peut en choqué certain ou aidé d'autres. Mais finalement, aujourd'hui je me rend compte qu'à se sujet, il avait plus que raison. "Quand un mec se fait larguer, sur le moment tout vas bien. Mais le soir dans son lit qu'il chialle." Je suis pas encore en train de chialer car je ne suis pas encore dans mon lit. Mais je sais que dans quelques minutes je ne ferais que confirmer son ignoble véritée.
Tout à l'heure, je ne trouvait pas de raison de la contre dire. Tout allais mal, et l'on ne pouvait pas continuer comme ça. Là, j'était d'accord avec elle. Je pense que je ne la contredirais pas de toute façon. Mais je croit que sa ne m'empechera pas de chialer se soir. Pourquoi? On peut avoué certaine véritée, celle que l'on sait déjà. Mais comment dire "continuons" lorsque l'on t'explique que tu porte plus de sentiment à celle que t'aime qu'elle.
C'est pas grave, c'est toujours comme ça. L'un aime plus que l'autre. Il ne peut pas y avoir d'amour proportionnel.... Non, il ne peut pas y avoir d'histoire d'amour si il n'y a pas d'amour. Alors que dit-je? Qu'il n'y a pas eu d'amour et donc qu'il ni ait pas eu d'histoire.
Je résumerais tout trop vite, et ça ne serais que méchant vis à vis des personnes concernées.

Bref. Me voila, là. Seul devant mon PC a 1h40 du matin à me demander se que je peut bien faire à écrire sur se blog. Car de toute manière personne ne passera surement ici.. Enfin, ses comme si je gardait ses mots pour moi. Je croit juste que se blog me serv de corbeille à tout se que je voudrais dire, mais que sur le moment les mots manquent. Ou pire encore, c'est tout simplement là que je dit se que je n'ai pas l'occasion de dire à quelqu'un.
"A croire que des fois le monde est si petit, que l'on est seul au monde." Des fois, à me relire, j'ai peur d'être suicidaire, ou quelque chose dans le genre, de sombre et défaitiste à la fois.
Je me dit ça parce que dans ma nouvelle vie (celle qui fait de moi un amienois). Il n'y a plus personne, plus personne sauf maud, claire, et tim. Ou son passer tous ceux que je fréquentais? Où sont les amours dont je rêvais? Où sont les amis que j'avais? Est ce moi qui me met tous à dos? Est ce le monde qui est fait comme ça, et qui veut que l'on ne reste dans la mémoire des gens que lorsqu'on est devant eux. "Si se monde est ainsi, moi je n'en veut pas. Mais pire encore, si cela ne vient que de moi, alors que vais-je devenir?"
Oui car si cela vient de moi, cela veux dire que je ne sais pas m'adapter, que je suis invivable, insuportable et quoi encore? A vrai dire je n'en sais rien. Pourquoi avec moi sa ne fonctionne jamais? Pourquoi les histoires sérieuse et les vrais amours ne sont fait que pour les autres? Au début, je pensait que c'était beau l'amour. Ses sentiments qui dégage se bonheur et cette joie de vivre. Mais je n'ai que peut connu ces souvenirs. D'ailleur, je n'en garde pas mémoire. Pourtant j'ai aimé. Donné tout se que j'avais. Mais chaque histoire connais ses désillusion et les miennes on tendance à les connaitre trop tôt.

Ainsi, peut être que finalement je ne fait que tout ça pour ne jamais allé dans se lit, pour éviter le sort qui m'est promit. Pour évité de chialler celle que j'ai aimé et qui m'a quitté. Pour évité de repenser à cette putain de journée de merde. Pour éviter tout se qui ne ferait que mettre une cerise sur un gateau déjà dégueulasse. Pour éviter juste d'avoir son image se reproduisant dans mes songes.
 
 

"Autrement dit, juste l'oublier se soir..."
...

"Mais se soir, rien est ainsi, et aujourd'hui, tu doit souffrir."

Mercredi 14 octobre 2009 à 21:52


Il me faut de l'air, j'étouffe.

Tout change, et tout continu. Les déménagements, arrivent et les aurevoirs se dispersent. Demain, je n'aurais plus de chez moi, juste un endroit. Hier j'avais ma chambre, demain j'aurais une chambre d'étudiant. Je ne parle pas simplement le fait d'habité chez maman ou pas. Sa a vrai dire sa ne change pas, je ne suis jamais deux jours de suite au même endroit. Mais plus que ça. Après notre départ de Suresnes, Hodenc était devenut ma vraie maison. L'endroit ou il fait bon vivre, malgrer l'isolement complet de la civilisation dans lequel nous vivions. Se lieux avait des souvenirs, ceux de ma familles, comme des miens. Fermer cette boite de paon est dure pour moi, car je sais que seul ma petite mémoire ne pourra se souvenir de certaine choses. Que fure et à mesure elle oublira le grincement du garage. Le claquement des portes. Le bruit du vent dans les poutres. Et les chauve souris qui tourne l'été dans le jardin.
Au fure et à mesure j'oublira tout. Pour que finalement cela ne devienne qu'une adresse. Un peut comme la 12 rue chevremont...
Une simple adresse dans une simple mémoire.

Rien de plus...

Mercredi 14 octobre 2009 à 20:35

Peut être tu la connait aussi, cette impression là. Quand irresistiblement tu te sent attiré par ton lit. Comme si il était cet unique échapatoire que tu avais tant espérer. Là dans tes multitudes de couches de couettes et de draps, de toute ses forme confortable et accueillante tu te perd dans un bonheur insensé. Pourtant qu'est ce qui cloche dans ses moments là? Il manque se sourire, cette présence que tu cherche en vain de retrouver dans ta mémoire, mais tout semble évasif et loin. Mais qui peut bien se préocuper de moi en se moment? Qui s'inquiète? Tant de question en suspend... Si seulement je savais juste ça, qu'une seul fois j'ai plus d'importance que rien. J'en ai marre, d'être l'amis, le confident ou le dindon de la farce.

Chaque fois, cela revient comme une explication à tout... Dans se lit je suis seul, et à l'image de ma vie, ses derniers temps je ne le partage pas. Sauf avec les copains...
Pourquoi? Parce que je voit les visages changer autour de moi, de toujours changer autour de moi. Jamais les même personnes, personne ne reste tout le monde fuis le navire. Pourtant il n'y a que moi qui coule. Je ne comprend pas. A côté, je voit les autres qui se débrouille comme il peuvent, et sa fonctionne plus tôt pas mal. Je les regarde et je ne comprend pourtant pas. Qu'est ce qu'il y a en plus, qu'est ce que j'ai en trop en moin? Qu'est ce qu'elles ont alors en moins, en plus? Les questions se poses et les réponses ne viennent pas. Tout cela n'as pas de logique, n'as pas de réthorique. Mais alors pourquoi semble t'il qu'une malédiction s'abatte sur ma tête en permanence? Serais le fruit du hasard? Alors je devrait joué au jeux, peut être serais je plus chanceux. 
A non, que dit je... Je n'ais jamais rien gagné en loterie... ni au kermesse des écoles. A vrai dire, si je suis bien doué pour quelque chose, c'est bien de me plaindre. A vrai dire, je pense que c'est l'une des choses que je sais faire le mieu... Bon voila qui me remonte un peut le morale, voila enfin quelque chose que je sais faire...
Mais le plus décourageant, c'est de trouver personne à le dire en vrai et non sur un stupide clavier en plastique qui ne serv à rien sauf dire mes conneries une fois de plus....

Dimanche 11 octobre 2009 à 23:50

Comme deux métaux frapper par de l'acide, on se détache, on se sépare pour faire de nos atomes qui si bien s'unissaient auparavant, des pièces cassé et coupante... L'on as tout cassé comme un miroir, on a jeter la pierre ensemble sans se concerter, le plus déconcertant c'est que comme des ricochets, les ondes continuent à afflué et à nous berser. Moi sa me fait gerber et j'ai envis de quitter le navire. Je ne comprend pas pourquoi cette belle croisière se transforme en naufrage, et que les vagues ne font que s'additionner comme des frères qui s'unissent dans un champ pour arracher plus vite le blés. Sa fait mal, j'ai bue la tasse. Je me suis noyer un peut... Déjà j'avais peur de nager, maintenant j'ai juste peur de me mouillé...

Pov petit canard...Pov conard tout dépend des fois, je suis pas plus coupable qu'innocent, pas plus que toi en tout cas. Mais dans se cas là, pourquoi se planter dans le dos se couteau que l'amour na put qu'affuter pour saigner. Je ne sais pas, et je me pose dorénavant la question à chaque instant ou je peut interroger ma penser. Malgrer tout se temps, je ne comprend toujours pas.


Explique moi, toi.

<< Page précédente | 1 | 2 | Page suivante >>

Créer un podcast