Maintenant que j'en ai fini, il faut que j'aille de l'avant. Que j'avance avec force et courage. Mais jours après jours, plus le temps passe et plus les jours s'accumulent et plus je me sent seul, seul sur cette route que je n'ai pas envi d'emprunter. Moi je veux juste être heureux et rien d'autre. Mais je ne comprend pas, je n'y arrive pas. Alors que dans le froid Picard vous faites la fête pendant que je suis devant l'ordi et que toi tu te repose alors que moi je n'arrive pas à dormir. Le noir me broie et me retourne, une force amère me dégoute même de moi même. Mais en quoi je me métamorphose. Mais qu'est ce qu'on devient? Mais qu'est ce que je devient, un blessure qui pleure au sec? Qui se cache et qui attend le crie dans le silence. Qui s'énerve et tourne en rond, et toi tu est toujours loin, et moi qui me sent vivre de moins en moins.
Je m'éffiloche et je perd espoir.

Il y a cette lueur que j'ai eu une journée. Mais maintenant tout c'est effacer, et le rêve dans ma tête c'est brouiller pour ne plus réapparaitre. Alors je t'attend et je me dit que je pourrais chialer des heures dans tes bras. Mais comment t'expliquer? Comment t'expliquer que j'aimerais tout recommencer, que j'en peut plus. Je n'arrive plus à les supporters, ni à me supporter. Mais qu'est ce qui fait de nous une famille? Qu'est ce qui nous unis? Qu'est ce qui lui donne le pouvoir de me faire la morale en permanence? Qu'est ce qui me donne l'impression que plus rien ne vas dans ma vie. Alors que je voulais obtenir se putain d'exam pour les rendres heureux. Je me rend juste compte qu'il est trop tard. En un ans tout c'est écrouler, et que rien ne pourra recommencer.


Il m'est difficile pour moi en se moment de m'exprimer. J'ai passer un bou de la soirée à en vouloir à la terre entière et l'autre partit à envier les choses que j'aurais put faire si j'habitait juste ailleur, si j'avais juste un moyen de transports... Si j'était là...

Et dire que j'ai le bac, et que la seul chose qui me préocupe c'est le reste. J'ai l'impression d'être abandonner. Je veux juste crever pour ne plus y penser et me dire que c'est bien fini... Qu'a être tout seul sur terre autant l'être tout de suite dans l'infini... Mais voila, j'ai une vie, des amis, une copines... Mais sa ne vas pas... Toujours pas... Comme si une faim inssasiable s'échappait de mes intestains pour me ronge la vie. Malheureusement de cette maladie je suis boulémique, et rien ne s'arrete.

Pitié, je haie la solitude. Surtout quand je sais qu'une quinzaine de personne en se moment font la fête tranquillement. Quand je sais que se n'est pas pour moi. Que se soir j'ai dut me contenté d'une émission sur les orages, et d'un téléfilm bidon... et que la seule raison à ça, est l'inscription demain pour une fac ou je n'ai pas envi d'allé, mais où je n'ai plus le chois...


A quoi bon rêver si c'est pour ne pas les voire se réaliser ensuite. Sommes nous voué à ne jamais avoir se qui nous plait?


m'écoutez pas, de toute manière je dit que de la merde, je suis qu'un con pourri gaté, encore enfant dans l'âme et qui ne se rend pas compte des impératifs de la vie...  Et comme aurais put dire Valentine "Arrête de te plaindre, on dirais que tu sait faire que ça." Bref, vous l'aurez surement comprit, je n'aime pas faire quelque chose qui me fait chier. Je n'aime pas rester seul, je n'aime pas ne pas faire la fête. Alors quand je ne peut pas faire la fête et que je reste seul pour faire des choses le lendemains, et bien sa me fait chier...

"reste 24 heures à la maison." si c'est juste ça que tu voulais se soir, alors tu n'as rien comprit. Je veux bien reste, mais pas pour dire que passer la soirée avec quelqu'un c'est la passer devant la télé ou devant un pc... l'envie de vie, est une envie éphémère et incroyable, car comme une drogue. Tout manque créé une crise.

Je suis en crise.