Dimanche 29 juillet 2007 à 22:35




Voila, mon retour en France c'était et sa reste aujourd'hui. J'ai encore du mal a me réhabituer à mon clavier français... Mais bon, après une nuit blanche j'avais envi que tous se passe sur des roulettes. Que le voyage se passe calmement, que les problèmes, que toutes les souvenirs, que tous se qui peut nous faire passer une mauvaise journée ne se retrouve pas sur notre passage.
Mais on n'as pas tous se que l'on veut dans la vie... On n'as pas la cuite que l'on voudrait même si on fait tous pour... On n'as pas le beau temps, on n'as pas se que l'on avait prévus... Donc pour commencer, un car délabrer, crade et qui tombe en panne. Ensuite un TGV qui a une heure et demie de retard...Enfin, tous pour te donner la pêche quand tu ne l'a pas... Une bouffe dégueulasse, la fatigue, l'énervement...La lettre de Lorinda, qu'on ne sait pas comment prendre... Se fou t'elle encore de moi? Me croit elle encore capable de faire les même erreurs... Certain qui nous manque... Ou plus tôt certaine. Toutes les choses que l'on a faire en deux semaines, plus de cigarettes, même pas une petite bière.
Des amis qui te propose une soirée mais qui finalement te laisse tomber...

J'en ait marre... J'aurais du rester a me bourrer la gueule en espagne... Au moins, j'avais pas besoin des autres...

Samedi 28 juillet 2007 à 19:35

Y a des amères reflection, des pensée qui nous ferait dire que l'on change. Qu'on n'est plus le même, le genre de reflexion qui nous font comprendre qui on était. Ici a Barcelone, j'ai croisé un gas de mon age. Jai comprit que c'etait un con, j'ai aussi comprit que j'était comme lui, il y a encore un mois. J'ai beaucoup parler, peut d'elle, emfin déjà pas mal. Peut être trop, mais j'ai comprit se que j'avais été... J'avais envis de le tapper, se pauvre gas.

Mais bon, c'est le passer...

Hier soir, après avoir fait une bouteille de tequilla "paf" avec des amis sur la plage,après avoir discuter avec des musiciens de rue a 3h du mat, après avoir fait le con dans les rue en sautant partous, j'ai tenter de trouver le sommeil... Dans la rue, la bruit lourd et mélancolique d'un concert en agonie, où vers les 5h du mat, il n'y a plus de spectateurs. La près de moi, dans le lit voisin... Une amie, enfin... Une inconnue qui restera une amie de vacance. Pour trouver le sommeil, j'avais un seul souhait. Je voulait qu'elle soit là, "elle" celle qui a trainer mon coeur, celle qui la écraser part la faute de ma connerie. Alors, comme si cela pouvait combler se manque, j'ai demander qu'elle me passe sa main, juste sa main rien de plus... Fatale erreur, oui j'ait trouver le sommeil... Mais une seule chose restait tous de `même dans mon esprit, une seule chose emplissait mes rêves, cette Valentine...

J'aurais aimé que tous soit forcément different, j'aurais voulut être encore avec elle... J'aurais voulut, tant de chose que je n'ai plus... Il parait que c'est ca la vie...

J'ai hâte de la revoir, de la revoir comme si rien n'avais changer,

Mardi 24 juillet 2007 à 16:57

De temps en temps, dans les ruelles d'une ville inconnue, au moment ou la chaleur et la fatigue arrivent à leur apogée. Il arrive de faire des gestes inconscient, des gestes que la conscience ne peut diriger, des gestes...Tendre sa main pour qu'elle la prenne et la retirer d'un coup, quand on se rend compte... Quand on se rend compte qu'elle n'est plus là, que ma main je peut la garder pour moi. Que mes cinq doigts je ne les partagerait plus avec, avec celle qui hante mes rêves, celle qui m'oblige a être se que je suis aujourd'hui... Mais bon, je fait confiance au temps, comme disent tous les gens. C'est semble t'il la seul solution... Mais j'aimerais tant qu'elle revienne, qu'elle marche , qu'elle cours... Non, je m'en fou du temps qu'elle metra, du moment qu'elle revienne. 

Mais il parait que tous passera un jours, qu'un jours j'en rigolerait... Mais pour le moment je m'en mort les doigts...

Maman me lavait bien dit, il ne faut pas se ronger les ongles.

Samedi 21 juillet 2007 à 14:45

Y a des jours comme ca qui devraient nous faire sourire. Il fait beau, on fait la fete, on visite un parc magnifique, on devrait être heureux... Pourtant, dans le dedale des marches du metro barcelonais. Je vois son visage, son dos qui mapparait comme un mirage, le fruit de laq chaleur. Tu est blaser, tu n'en peut plus et pourtant tu ni peut rien.

Je vais encore faire cours aujourd'hui. Je vais manger.

Mardi 17 juillet 2007 à 18:39

Alors comme jai pas de credit, je donne le recit part mon blog a la famille. Alors il fait trop chaud, il est difficile de dormir. Tous le monde est sympa, on samuse bien en boite (wouhouhouhou). Je me suis tapper un coup de soleil sur la plage... je retrouve plus mon schampiong et mon gel douche depuis se matin...Et la je vais vous laisser pour allez fumer. je ferais le resumer complet a mon retour. ciao

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