Mercredi 2 décembre 2009 à 5:43

Sur mon vélo je me disai:

"Un autre, elle a un autre et un autre en plus de l'autre. Bref, elle n'as pas de place pour moi... Se n'est pas la bonne, peut être qu'elle n'éxiste pas? Mais si elle éxiste forcément!". Bizarement, les mots venaient plus facilement sur la route, de nuit dans les rues sombres d'Amiens. Mais cela n'explique pas tout. J'imaginait deplus Maud qui me répondait:
"Non, mais Théo il faut que tu arrête avec tes idéalisations de la femme. Tu la trouvera pas ta femme parfaite!" (je tien a dire, que se n'est que imagination)
Ma réflexion n'avait pas de but fixe, mais déboucha bien sur quelque chose. "Soit je me bare comme un mal proppre je perd une excellente amie. Alors il faudrait que je tourne les yeux dans une autre direction, rester là mais changer de mirage." Enfin un truc comme ça.
Bref, je me rappel plus de la suite de mes éculubrations car arrivé au carrefour, je ne pouvait que pester contre le feux rouge pour les pietons qui ne fonctionnait pas. Arrivé de l'autre côté mon regard se redressa et je ne put qu'admirer l'avalanche de lumière de décorations de noël. Qui festoyait les murs terne de la ville. Ainsi, toute idées sombres sombrires dans mes abisses, et de la joie se peigna sur mon visage. Arrivé chez moi, tout était oublier. Mais l'envie toujours là. Ceci explique cela.

Par naftaline le Samedi 5 décembre 2009 à 22:12
Je ne sais pas pourquoi, mais l'envie m'est venue de retourner voir ce site; tu n'y postais plus lorsque je suis partie. Je vois que tu t'y est remis et que, comme d'habitude, je ne peux comprendre grand chose.
Mais j'aime passer ici, te lire voir à travers ces lignes un bout d'Amiens, cette ville me manque.
Par naftaline le Samedi 12 décembre 2009 à 21:35
Le festival du cinéma à Sarlat est du 10 au 15 Novembre. J'avais programmé l'article parce que, depuis cet été, je n'ai plus le temps de tenir de sites; pas vraiment internet et pale teps. C'est trop intense, je suis loin des autres, coupée de tout et je crois que j'adore ça, plus que tout.

Eh bien lorsque je te lis, je me demande souvent "mais de qui parle-t-il?" Tu parles souvent d' "elle", "elle" et "elle" parfois. Mais qui est.... elle?

Comme je le disais, j'aime "te" lire. Oui, C'est un peu de toi, toi que je connais ni d'Eve bi d'Adam. Mais eneaa, je le lis depuis quelques mois style de rien et c'est un peu comme un journal et on y décèle une personne avec une âme, des traits de caractères à travers des mots.
Je ne peux pas te comprendre peut-être simplement parce que je ne connais pas l'auteur de ces écrits.
 

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