Enfin un film de Truffaut qui ne fini par au journal téléviser. Donc voici le film que mon groupe d'élève présentons au Bac à cette fin d'année. Un film assez spéciale, mais tourner dans le bonjeur et la joie. J'espère que cela vous plaira autant que j'ai prit de plaisir à participer à sa création.
eneaa
Hier je perdais mon temps aujourd'hui je cours après. Je suis encore plus en retard
Dimanche 18 mai 2008 à 22:43
Je suis descendu du train, en me retournant vers le contrôleur. Encore une fois, je voyageais sans problème. J'ai fait cent mètres dans la gare, je me suis assis sur un trottoir en attendant qu'il arrive. J'avais sortit mon portable pour écouter la chanson de "the do" que m'avais envoyé Cristophe.
Là, assis sur se trottoir, je fixait les graviers, le paysage et un peut tout se qui remplis se paysage vide de la gare. J'attendais tranquillement sous se ciel charger. Quelques gouttes s'écrasèrent sur mes mains, et me laissèrent un petit "f'chier" de découragement.
Là, un rayon de soleil apparut sur mon bout de trottoir, suivit d'un petit sourire. J'ai levé le regard, pour me faire écraser part se grondement de tonnerre au loin. Le beau temps ne duras pas...
Le soir précédent au théâtre rien ne c'était passer comme je l'avais prévus. D'ailleurs, depuis je ne prévoit plus rien, je n'espère plus rien. On évite les désillusions...
Pendant une heure, elle était assise devant moi, j'avais envi de me pencher, de lui caresser les joues de mon souffle, de lui chuchoter à l'oreille les mots les plus doux. Des mots qui n'existent pas. Des mots léger comme les nuages, coloré comme les arcs en ciels... Mais dans ses situations, je ne sais pas pourquoi. Je ne fait rien. Peut être je me suis sauver d'une situation embarrassante qui aurais surement fini par un "j'ai pas comprit..." ou un truc dans le genre. Oui, en effet. Je n'ai pas beaucoup confiance en moi, j'ai peur.
Je lui ai souhaité un "bonne chance" et elle partie joué. Moi, dans le fond de la salle, je l'admirait. J'avais envi de jouer avec elle, de faire partit de ses acteurs qui foulent le parquet avec elle, qui lui donne la réplique. Qui même part jeux, on le temps de parler avec elle, d'échanger des mots. Des simples mots. Quand elle est venue sur scène pour salué sont public, du fond de la scène, je me suis levé. Dans le noir... Elle ne m'a pas vue, elle n'a pas vue mes yeux briller de milles feux.
A sa sortie, je lui ai juste dit aux revoir, et je suis sortit sous la pluie...
L'inconnue à quelque chose de particulier.
Qu'est ce que je connais d'elle?
Elle m'intrigue.
Je l'aime?
Je ne sais pas, je ne me pose plus ses questions.
Quand on connais la réponse, les désillusions
suivent comme la pluie et le soleil.
elle me plait juste beaucoup.
Qu'est ce que je connais d'elle?
Elle m'intrigue.
Je l'aime?
Je ne sais pas, je ne me pose plus ses questions.
Quand on connais la réponse, les désillusions
suivent comme la pluie et le soleil.
elle me plait juste beaucoup.
Samedi 17 mai 2008 à 21:45
Pourquoi lorsqu'il fait beau, on entend gronder l'orage au loin. Pourquoi on ne peut jamais être heureux sans avoir de problèmes. Pourquoi l'ordinateur rame tout le temps. Pourquoi elle ne m'appelle pas. Pourquoi elle ne me répond pas? Pourquoi, encore se soir je me sens seul? Pourquoi suis-je toujours au bord des larmes? Pourquoi en plus d'un mois je n'ai toujours pas de cadeau d'anniversaire? Pourquoi je reste ici? Pourquoi j'ai tout foiré cette année? Pourquoi personne ne m'écoute? Pourquoi je rêve encore? Pourquoi aucun de mes rêves ne se réalise? Pourquoi je n'aurais pas mon bac à la fin de l'année? Pourquoi, je suis sur les nerfs, en permanence? Pourquoi je vous demande tout ça?
Pourquoi, rien ne fonctionne
dans ma vie?
dans ma vie?
Pourquoi vous auriez une réponse?
Jeudi 15 mai 2008 à 19:39
Parce que aujourd'hui j'ai fini un pot de nesquik.
Oui, aujourd'hui j'ai mi fin à une relation qui durais depuis un mois, les soirs et les matins, entre les murs d'une maison campagnarde. Un jeune lycéen rythmais ses journées part des verres de lait chocolaté. Maintenant le pot, d'un jaune vide n'as plus rien à m'offrir, j'ai pas eu le courage de le jeter, je l'ai juste posé sur le marbre de la cuisine. Pour attendre qu'une âmes innocente se pose dessus pour le mettre dans la poubelle de recyclage. En quelques sortes, ma boite, elle vas avoir une seconde vie. C'est pas donner à tout le monde. Elle as de la chance. Une nouvelle chance pour toute les boites de Nesquik.
N'empeche, une séparation c'est toujours dure.
Dimanche 11 mai 2008 à 18:14
Ils sont tous là, à table, sous un cerisier, à rigoler, à parler et moi je les regardes de loin. Peut être ne mon t'il pas vu derrière mon clavier, peut être qu'ils mon oublier tout simplement. De toute façon, je n'ai pas besoin d'eux. Je peut très bien vivre sans se grand père, ou cette amie de mon père.
Moi, je veux juste rester tranquille, profiter de mon week end, être seul sous un arbre à compter fleurette à une paquerette. Mais voila, ils empiète sur ma liberté. Et ma liberté vos bien mieux que celle des autres. Car c'est la miennes, et la leur ils l'on chez eux. On ne me demande jamais mon avis, et pour cause. Se n'est pas chez moi... C'est toujours là même histoire, mais faut il vraiment partir pour avoir son chez soi? ...
J'ai envi de taper mon clavier contre ma tête. J'en ai marre d'ici, mais tout vas me manquer, des chats au odeurs, aux personnes... J'ai envi de crier les plus grosses saloperie, de courir dans l'herbe et m'oublier un peut. Mais ils sont là, et pour m'oublier, faudrait d'abords qu'ils m'oublient...
Rêver de l'impossible
c'est oublier l'inimaginable...
Je veux juste rêver encore un peut.
c'est oublier l'inimaginable...
Je veux juste rêver encore un peut.
Je voudrais juste que la prochaine fois, on ne me dise pas "demain grand père vient on l'as invité", mais juste un "sa te dérange pas? si grand père vient?". N'allez pas croire que je le déteste, c'est juste que pour moi, ça n'est pas un grand père. Juste un mec qui vient une fois pas ans pour manger avec nous pour repartir quand il as fini de digérer.
Je sais même pas à quoi ressemble sa maison, je ne sais même pas où dans Paris il habite. J'ai un vague souvenir d'un salon, quand j'étais petit. C'est comme une légende, quelque chose dont tout le monde parle mais dont personne ne se souvient.
Je me plaint toujours d'un rien,
sa me réconforte dans l'idée que demain
je ne serais plus là.
sa me réconforte dans l'idée que demain
je ne serais plus là.