Lundi 30 novembre 2009 à 19:45

Quand je suis rentré de beauvais. Je n'avais que l'intention de prendre le bus, de passer chez moi, et de resortir. Autrement dit, je n'avais pas vraiment envie de perdre mon temps dans le bus. Mais voila, le bus révèle ses surprise, ses hasards, ses traquenars. Il n'y avait plus que deux place de libre dans se car. Je me suis assis à côté d'elle. Combien de temps qu'on avait pas parler? Je ne sais pas. Se n'est pas que je m'en fou. Mais que je ne préfère pas me rappeler comme le temps passe vite. Nous avons demandé les banalitées, sans demandé de choses intimes. J'ai ouvert mon bouquin, je me suis mi à lire. Mais lire était impossible. Mon esprit se composait de trop de questions, de doutes, et de silence.
Oui, se silence était plus pesant que n'importe quel bruit. Se vide. Cette façon ouverte de se dire qu'on n'as plus rien à se dire. Cette façon muette qui en fait plus comprendre qu'on as prit des chemins différents.

Nous ne sommes plus rien pour nous même. Bravo, enfin le temps fait bien les choses.

Mardi 24 novembre 2009 à 22:49


Damoiselle;


Ne me parle pas, ne te retourne pas, ne me regarde pas. Fuie tant qu'il est encore temps, fuie avant que je tombe. Avant que je tombe amoureu de toi, et que je ne vive que pour toi. Ne me piège pas dans mes problèmes et passe ton chemin. Je n'ai pas besoin d'encore rêver. J'ai besoin de réalité, et toi tu n'est qu'un condencer de se que j'aime. De se que j'espère. Fuie, avant que je me plante ce couteau dans le coeur. Avant que je souffre pour rien.
Arrête toi! Ne bouge plus! Ne fait plus rien!
Et voila c'est trop tard. Te voire partir augmente mon désir. Que tu fuie me donne folie. Rapproche toi de moi, et je ne regarde pas. Car tu est trop près, tu est trop fausse, tu est trop grosse dans ma vie. J'ai besoin de place, et quand tu fuie tu me rappel que tu as une vie. Que je ne suis qu'un être humain, et que j'ai besoin de plaire. Si tu est là, je ne te sens pas, juste peur de se qui arrivera. Tu part et en retard monte le cafard, de savoir de ne plus te revoir.

Pardonne moi, si ma vie est une douce folie. Marqué par des envies, par des souvenirs, par des craintes. Je suis le petit fou sans boussole qui cherche le sud sans perdre le nord. Mais la casserole se soir ne chante pas, et n'illumine pas ma voix de sa voie. Allé douce mélodie, emporte moi et fait oublier se visage. Qu'elle puisse partir sans regrets.


Je te rend ta liberté

Lundi 23 novembre 2009 à 14:37

C'est la tuerie. Depuis que j'ai ramener mon ampli. Du soir au matin je fait que ça. Si je peut me permettre "je me kiff grave". Mais bon, je suis sur que les voisins ne doivent pas avoir le même avie. Enfin tout pour dire que j'ai ramener le matos musicale sur amiens et que du coup j'ai grave le temps d'en profiter. Bon à côté de ça, l'armoire est à moitié monté dans mon salon. Mais sa me préocupe pas plus que ça, si je me permet d'écrire un article ici.
Je testerait dans la journée de mettre une petite vidéo sur internet. Histoire de pas faire que parler, mais de faire un peut écouter aussi^^


Dimanche 22 novembre 2009 à 3:29

Après avoir regarder quelques épisodes de lithéralement "comment j'ai rencontré votre mère", l'imspiration ne pouvait que me venir... Enfin, alors que se type cherche partout dans New York la femme de sa vie. Moi je passe ma soiré dans ma chambre. A vrai dire, le pas qu'il franchit, je suis loin de le passer. Tout ça pour dire que voyant se type, je ne peut que me reconnaitre. Un vrai incapable avec les filles, tout comme lui je dit les choses qu'il ne faut pas au mauvais moment, je fait les mauvais chois au mauvais moment, et quand il sagit d'une confrontation direct je flippe et élude le problème sans même mi confronter. Je pourrais me décrire simplement humain, mais comme dirait ma voisine du deuxième quand on fait les cons dans les escaliers "C'est vraiment de la mauvaise foi", et comme si mon esprit était ça porte, je me la claque au nez.
D'ailleurs tout comme moi, dès qu'il voi une fille un peut différente et qu'elle l'accepte comme il est, il se croit amoureux. Le problème c'est que je ne voit pas comment se type pourrais s'en sortir et moi non plus. Le pire c'est qu'il est attachant.
Depuis tout à l'heure j'ai même l'impression d'utiliser la technique du "J'ai un copain qui fait... ou qui a un probleme..." Oui, je parle des autres pour parler de moi. Au moin une chose au je me voile pas la face.

Bref, tout ça pour ne pas vous dire seulement ça. Se soir, j'ai reçut l'appel d'un inconnus. J'ai pas tout comprit, ils connaissaient mon noms... tout simplement. Une blague, oui une blague de mauvais genre. "J'ai prit le portable d'un copain il avait ton numéro. Il s'appelle fred...
-Ouais, mais tu est qui toi?
-Un amis de Fred."
Je ne sais plus très bien après ça quand à fini cette discution, se que je sais juste c'est que j'ai renvoyé un message à se type. Lui donnant le nom, prénom, et ville d'abitation de fred. Le pauvre il c'était inscrit a un site de diffusion de films d'amateur (je croit) sur internet. Arles... Vas savoir où c'est, et qui est se type. Il m'on renvoyé un message en parlant du bon vieu temps. Vas savoir pour un mec qui se disait être un inconnus. Il était deux heure et demi du mat, et j'avais pas l'intention de tourner dans leurs blagues. Mauvais humour celon moi.
Se que je comprend pas, c'est que se week end, sur le peut de personnes qui on eu une pensée pour moi, l'un la fait pour s'amuser. Pour se foutre de moi.

 Sa fait plaisir.

Samedi 21 novembre 2009 à 0:46

Se soir, je suis rentré à la Maison. Oui, la Maison. La nouvelle maison, celle qui aujourd'hui remplace l'ancienne. Comme ça, ça l'air simple, mais pour moi c'est compliqué. Alors que j'avais hate de quitté Amiens, me retrouver un peut. Abandonner la semaine qui ma lacé, qui ma laissé, j'en avais assé... Le trajet en lui même était un simple voyage en train, comme je les détestes tous.
Au final, en arrivant à la maison, je pause mes affaires. Je monte dans la chambre, ma mère et les chats me suivent. On se pose sur le lit, les chats se laissent caresser, tout vas bien. Le gros matou, se pose sur le pouf, ma mère sourie. Je suis content, je ne la voie pas sourire souvent en se moment. Le Matou se redresse, et pisse sur le pouf.
Comment lui faire comprendre que là, c'était pas le moment. Comment lui faire comprendre...sans s'énerver? Je ne sais pas combien de seconde je l'ai tenu par le cou, et le nombre de secondes qu'il ma regarder dans les yeux, d'un air de tueur. Nous avions tout les deux quelque chose à se repprocher. Tout les deux une raisons de se faire justice soit même.
Je l'ai relacher, il n'est pas partit tout de suite, il n'avait pas terminer, quel enfoiré. Je l'ai fait sortir...
 
Ses derniers temps, je me comparait à se chat, a dire vrai, je pensait le comprendre un peut. Ses quelques secondes n'on que prouver la vérité. Nous sommes cruels entre nous, et sa nous parait normal...

  Toi aussi dans ton innocence tu est cruels avec moi. Un jour tu comprendra, mais comme toujours, trop tard.
Car toi et moi on ne se connait pas, enfin si on se connait. Mais on se connait comme deux inconnus.

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