eneaa - Hier je perdais mon temps aujourd'hui je cours après. Je suis encore plus en retardse blog n'as pas de but défini, une description serais impossible, un journal de bord? Peut être.Cowbloghttp://eneaa.cowblog.frTue, 05 Apr 2016 20:57:34 +0200180Soin d'un maladeTue, 05 Apr 2016 20:57:00 +0200Tue, 05 Apr 2016 20:57:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/soin-d-un-malade-3276274.htmleneaa Soin d'un malade


J'ai cru qu'en me soignant j'irais mieu. J'ai espèré que les médicaments pour ma tête régleraient tout autour. Que je pourrais être heureux, fier et droit. J'aurai pu y croire longtemps, mais cela n'as été que rêve et naïveté. Car le coeur m'a prit le controle de ma tête et maintenant je suis plus faible que jamais.
Mais comment expliquer à un malade que tout ces efforts, pour atteindre cette lueur d'espoir n'était qu'un piège et qu'une fois mes bras ouvert à l'espoir, il me brûlerais comme un moin que rien.
Car cette lueur est innocente. Ne s'en rend pas compte et ne semble même pas s'en délecter. Alors je ne peut lui en vouloir ou lui crier dessus. Je suis le seul responsable. 
Quatres ans dans ma chambre de malade ne m'on que rendu plus faible. J'ai fuis la lumière en prétendant la chercher et voilà ce qu'elle m'impose.

La médecine ne peut rien pour moi, je le comprends maintenant. Elle ne pourra me guérir. Elle doit apprendre à me soigner. Me prendre dans ma chair calciné et chercher ce qu'il reste encore de bon...

Car la médecine d'aujourd'hui ne me fait que du mal, moins que celle qui m'a laissé dans cette paralysie. Mais l'espoir fait plus de mal que tout. Elle ruine la volonté d'enfin marcher à nouveau. Me laissant dépendant aux moindres médicaments. 

Mais que suis je? Un patient ou impatient? Quatres ans et demi ne sont t'il pas suffisant pour revivre?
 
 
 
 


Il semble que non,
Je suis toujours brisé
Incapable de marcher
Le chemin est long

Et plus je gravis,plus je tombe
Des miettes de moi au sol font encore ma personne
Je ne peux en vouloir qu'à moi et je ne me le pardonne 

Elle est nouvelle pour moi et je m'y habitu 
A la limite de la mort que j'ai souvent espéré me donner
Je ne comprend pas ce qui pourrais bien m'en empêcher 

Car rien, au grand rien ne me rend heureux depuis
Cette chambre est une prison et ce traitement un poison 
Pourquoi suis je fait ainsi?
Pourquoi suis je aussi fragile?

Car on m'a traîné dans la boue
Briser en milles morceaux
Déchiré le visage de mon coeur
Et mon espoir à fondu lentement 

Cette confiance aussi.
Je ne croit plus en rien et encore moins en moi dorénavant,
Car même celle qui me soigne me blesse...

Alors... Je reste silencieux ou je cri?
Dois je m'éloigner de la lumières pour la retrouver enfin?
Car mourir ne sont que les mots à ma bouche,
Mais comme je reste silencieux personne ne l'entend...

Ça n'est pas une solution mais cela peut être la fin du problème.
Ou je vide mon sac 
Une fois pour toute et advienne qui pourra
Peut être tuerais je même la médecine.

J'abandonne 

Adieu maux que j'impose.
Adieu compagnie.
Me revoilà solitude, tristesse et souffrance
Vous ne m'avez pas manqué
mais il semble que je soit fait pour vivre avec vous.

 
]]>
EcrireTue, 17 Sep 2013 01:58:00 +0200Tue, 17 Sep 2013 01:58:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/ecrire-3250690.htmleneaa Il est assis sur une chaise, il regarde devant lui d'un air égaré. Les pupilles vide. La serveuse discute avec un client.
 "Bon sang! Ca ne durera pas. Juré je vais me lever lui parler, lui dire deux mots, peut etre ceux qui faut. Peut être ceux de trop. Mais si je ne dit rien, que se passe t'il.? Vas ton se sauter dans les bras et s'embrasser d'un air sauvages sans un mots, comme si les yeux de chaque part le criait.
Je regrette, je suis assis a ruminer cette histoire dans se cognac qui m'enveloppe de son duvet chaud. Ma gorge est encore en pleur, a vrai dire c'est mon coeur qui pleure. C'est plus profond. Elle m'a écrit sur se bout de papier..."

]]>
douleurTue, 09 Jul 2013 14:03:00 +0200Tue, 09 Jul 2013 14:03:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/douleur-3245130.htmleneaa
Je suis sensible, faible et frele.
tout cela régis par une peur que je ne comprend pas]]>
Le sacTue, 14 May 2013 00:45:00 +0200Tue, 14 May 2013 00:45:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/le-sac-3239099.htmleneaa
Le sac



 Il est grand se sac ou je met tout,
il est grand et cela fait un bail que je ne l'ai pas vidé.
Cela fait longtemps que je garde tout pour moi,
que plus rien ne sort, que plus rien ne coule de mon esprit jusque a ma bouche.
Que personne ne sait, que personne ne comprend, que personne ne peut imaginé.
On ne voit pas à travers le noir, je ne voie pas non plus très loin.
Ce qui est plus claire est derrière moi,
avec la net impression que rien ne serra plus lumineux, plus pure et plus chaleureux que cette sensation perdu. 
Se sac est lourd, humide et puant,
je le trimballe depuis tellement de temps.
Il n'existe pas un jour ou je ne l'ai pas trainé,
pas un jour à jouer sous le masque du sourire,
pour cacher le grincement de mes dents, et le grimacement de mes joues.
Il me fatigue, me ronge ou me creuse, cela dépend de vous.
Mais pour moi cela ne change rien.
Les mots ne sont que fils noué, invisible seul, et si pesant unis.
Si seulement chaque mots ouvraient lentement se sac,
déversait son contenu en cascade me libèrant de se courant qui me porte nul part. 
Mais rien, plus je parle et plus rien ne se passe. L'espoir est vain, l'espoir est faux.
Aujourd'hui, j'ai mi l'amour dans le sac,
je l'ai jeter en pâture au milieu de ses ombres dansante à la lumières de l'oubli. 
Oh oui, elle danse et tourne en moi, mangeant, dévorant le moindre espace, écrasant le moindre espoir.
Se sac est ma chimère.
Se sac il est pour toi, toi celui qui ouvre et qui referme, 
toi qui n'est plus là.
]]>
Les sables du reposSun, 26 Aug 2012 06:03:00 +0200Sun, 26 Aug 2012 06:03:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/les-sables-du-repos-3202514.htmleneaaLes sables du repos

Je suis à la recherche de cette endroit, où tout mon corps se veux d'allé. De pouvoir se reposer dans les sables du repos, là où le temps n'as plus d'effet. Là où je pourrais me retrouver. 
Je le cherche où qu'il soit avec un sommeil que je ne trouve pas. Depuis que le monde à changer, je ne suis définitivement plus le même. Le boulversement extreme à fait de moi un spectre.
Reste de moi même, reflet d'un passer glorieu, image d'un temps révolu. Pour moi, je ne suis plus, car un homme sans but, est un homme perdu. Son bonheur était ma destiner, dans ma mission j'ai échoué. Un homme ravagé par les combats du temps, réfléchis comme un animal blesser et dans cette folie masculine, j'en ai tout perdu. Mon erreur? Moi même. Si les sables du repos existent vraiment, j'espère les rencontrers bientots. Car je suis libre, et que le vent porte, la voie comme l'espoir et qu'un crie dans le noir est autant un au secour, qu'un cauchemard.

Mais si la nuit à un nom, alors c'est que le jour éxiste, et si ce lieu est bien réel
j'espère bien le trouver dans mon sommeil.
Mais l'homme qui vie dans ses rêves ne les verras jamais se réaliser.
Alors si je doit continuer, je me doit d'admettre une chose.
Ma vie est equimose, mon esprit parsemé de maux.
Mais ma foi et ma volonté ne se sont pour certaine chose
jamais plié.

Aujourd'hui tout est distordut, le schisme est apparut
et dans ma solitude postume, en retrait de la réalité
J'admet sans peur et sans peine, que mon combat n'est pas terminer.
Je suis peut etre grievement blesser mais
Mon coeur bas, je suis donc vivant, point besoin de m'exiler pour me retrouver
Je suis ce que je suis, un mélange de sable et d'argile
un reste d'ancienne fondation jadis oublié
Un mur sensible au sec et à l'eau, mais qui part une volonté proppre ne s'écroulera jamais.


 

 

]]>
Petite planteThu, 05 Jul 2012 02:10:00 +0200Thu, 05 Jul 2012 02:10:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/petite-plante-3194513.htmleneaa
Petite plante


Je vient nourir mon potager et comme hier j'ai planté les graines d'un renouveau, je me doit de l'arroser aujourd'hui pour ne pas qu'il se meurt. Comme cette petite plante, beaucoup de chose on besoin de cette attention. Mais certaines plantes sauvages fuient se genre d'attention. Elles ont besoin de leurs liberté, de se sentir libre d'allé au gré du vent. Que leur senteur voyage au dessus des jardins, brise les barrières et profite de la nature. 
Mais que faire? Car le jardinier, amoureux de ça plante, ne peut s'empecher de la contempler chaque jours et peut importe les fruits qu'elle apporte, elle est belle, car tel l'amour, on l'a vue grandir, peut être même à tel surprit tout le jardin, poussant là où nul ne l'attendait.  Mais cette déboche de sentiment est incompatible avec certaines, qui vivace se débatte pour respirer. Elles ne veulent pas de confort, elle ne veulent pas qu'on les chérisse à en étouffer les racines. Elle demande l'impossible, l'amour du jardinier, et la liberté de la nature. Qu'est ce que des fraises sauvages dans un jardin? Peut on les apprivoiser, peut on leur faire admettre qu'elles sont là, et que le destin à fait son travail, et la nature sont chemin.
Peut on leur faire confiance? Car triste est le jardinier découvrant la fin d'une pousse.
En a t'il trop fait, avait elle eu toujours besoin de cette liberté tel un oiseau qui se pose quelques instant sur une branche pour repartir plus loin chanter son bonheur.

Je n'ai trouver réponse. Demain je devrais retourner dans son jardin, et je ne sais si je devrai lui laisser cette pousse sauvage. A t'elle réfléchis où est la meilleur terre? A t'elle imaginé où elle se sentirais le mieu? Je ne sais pas, et la jardinièrere qui me connais le mieu, m'a conseiller de la laisser respirer. 
Mais je suis amoureu de ma plante, et j'ai trop peur que cela soit la dernière fois que mon regard se porte sur elle.
Je sais que je ne pourrais pas l'arroser de joie pendant tout cette sécheresse et pourtant je doit admettre mon impuissance.
Toute les boutures ne donne pas, tout les graines ne poussent pas.
Alors pourquoi remplis-je encore mon arrosoir?]]>
PoussièresWed, 04 Jul 2012 02:44:00 +0200Wed, 04 Jul 2012 02:44:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/poussieres-3194298.htmleneaa
Poussières



Je suis sur le palier de ma vie, je retourne sur le dolmen de mon passer et me dit que je peut réouvrir la porte que j'ai fermer. Pas que j'en ai envi, mais qu'aujourd'hui j'en ressent le besoin. Les oreilles se sont tourner, les pages aussi et je me perd. Je me suis perdu à en oublier mon film préférer à renier une partie de moi. Comme si je voulais oublier le temps qui passe. Je n'ai jamais vidé les cartons, je ne me suis jamais vraiment installer, je ne me suis jamais vraiment senti chez moi et dans la solitude de mon lit, je ne pouvais que dépoussièrer cette partie de moi, car je ne peut plus dire tout ce que je pense sans vraiment blesser. Est ce que hier j'était plus calme, avais-je ma proppre thérapie. Ai-je perdu ma force? Suis je encore moi même? Me suis-je perdu en route, ou me suis je tout simplement abandonner le long de la route.
Je ne sais pas. Demain je doit ouvrir les cartons, admettre que c'est mon nid. Pourtant des années qu'ils sont là, et des années que je ne suis pas revenu. Qu'est ce qui explique que aujourd'hui tout est différent. Au point où je revienne ici?
Ais je a nouveau besoin d'éviter l'inévitable, ais je vraiment besoin de tout ça... Je ne sais pas.

Ca fait un bail que je ne suis pas venu ici, comme ça fait un bail que je ne suis pas allé le voire, est ce que tout est lier? Est ce que j'ai commencer à arreter de me confier à mon clavier pour éviter de trouver les mots, ou car je ne les aient jamais eux. En tout cas, je doit dépoussièrer, pas suprimer le passer, mais lui redonner vie. J'ai été quelqu'un avant, j'ai été apprécier, j'ai été entourer. Le temps a créer des vides que je ne pourrais jamais combler. Mais que puis je faire pour résister?

Je te demande ça à toi, celle à qui je dit tout. Celle que je croit à moitié perdu. Des fois, je me dit que comme lui j'ai peur. Peur de tout perdre, tout ce que j'ai construit, peur de manquer, peur de devoir abandonner ceux que j'aimes, ceux qui comptes. Des fois j'aimerais le rejoindre, la vie est trop dure ici, trop injuste et rien ne rend cette vie moin poignardante. Elle reste toujours ce qu'elle est sans que je ne puisse y faire grande chose. J'aimerais modifier la donne, me redonner ses ailes qui permetaient de voire au loin sans craindre. Mais dès que mes mains touchent quelque chose, tout se fane, tout disparais en poussière. Alors que me restera t'il?

L'odeur de ses poussières, leurs gouts et leurs couleurs. Des bribes de souvenirs disposer en article, découper en des mots que je chéri aujourd'hui. Car la clef est toujours là. Mais ouvrir cette porte veux en dire bien long, J'ai besoin de m'y retrouver, de m'y enfermer et d'oublier. Le présent, le passer? Mon avenir aussi est poussière, que construire, que devenir, que regretter... Je ne sais pas.

Depuis j'ai vécu, j'ai voyager, j'ai connu, j'ai rencontrer,j'ai déçut, j'ai crut, j'ai détester, j'ai gagner, j'ai aimé, j'ai perdu. Mais je n'ai pas l'impression d'avoir grandit, quand on se construit sur des cendres on s'enfonce... Alors il faut revenir a la base, là où tout à commencer, là où tout allais encore bien, là où la solitude n'existait pas, là où tout pouvait être dit, là où je suis.

Ici.
Et maintenant

En poussières.
 

]]>
La croisée des cheminsWed, 04 May 2011 03:51:00 +0200Wed, 04 May 2011 03:51:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/la-croisee-des-chemins-3106006.htmleneaa Depuis quelques heures, je me dit que je ne vais pas bien. Qu'un truc ne tourne pas rond. Je ne sais pas si c'est moi où le fait de me dire qu'a vingt deux ans, je ne suis pas fière de moi, aujourd'hui comme hier. Je n'ai rien qui me satisfasse de qui je suis. Je n'ai jamais rien fait de bien, je n'ai rien fait de grand. Je ne veux pas que ma vie ressemble à ça tout les jours. J'ai besoin de piment, mais surtout besoin d'entourage. J'ai mon amoureuse, et heureusement qu'elle est là. Mais autour? Que reste t'il? Que reste t'il de ses années lycée où l'on est apprécier par moultes personnes différentes, où l'on se sent apprécier et reconnus comme quelqu'un de "sympa", "intelligent" ou "marrant". Que reste t'il des amitiées? Hier nous étions un groupes unis. Aujourd'hui, les coups du temps à éloigner les mains, et les coeurs aujourd'hui empatissent.
J'ai un meilleur amis, et aujourd'hui, mi a part nos souvenirs, nous ne partageons plus grand chose. Un amis avec qui un groupe naissait. Mais comme toute belle chose, il faut que ça s'écroule, et que comme si de rien était, tout avance. Un autre, lui se remet durement de la fin d'un amour. Je l'héberge chez moi, pendant que lui travail... 

J'allais partir sur la famille, sur le fait que je n'arrive pas à me sentir bien en se moment. Que j'ai passer une soirée avec ma meilleure amie, et que je ne comprenait plus où j'en était. Je vais arreter cet article, je vais me plaindre. je vais dire des conneries, je vais me faire plus de mal. A ne pas penser, l'on ne se rend pas compte des choses.

Je veux juste dire que l'amour est l'unique lueur de mes jours. Sans cet amour, bien des voyageurs se serait éteint.
]]>
je cherchaiWed, 30 Mar 2011 10:27:00 +0200Wed, 30 Mar 2011 10:27:00 +0200http://eneaa.cowblog.fr/je-cherchai-3097197.htmleneaa
Je l'aime
]]>
Croisage, une croisadeFri, 04 Feb 2011 11:50:00 +0100Fri, 04 Feb 2011 11:50:00 +0100http://eneaa.cowblog.fr/croisage-une-croisade-3084006.htmleneaa Peut être l'avais tu déjà fait, et se type me regardait du coin de l'oeil, des que otmane faisait un petit pas en arrière. Je ne voyais plus que lui, qui me regardait d'un air penseur. "Oui, je suis son ex, oui, je suis le fameux qui ne savait plus se qu'il voulait. Oui, tu peut me regarder autant que tu veux, j'en aurai fait autant."
Car on ne parle pas des ex comme on parle d'un ami. On ne l'ai aime pas non plus car ils représentent toujours quelque chose. Comme les erreurs de chacun. Maintenant, mes erreurs on creusé les distances, et reboucher se vide rien que pour savoir serrai faire une erreur de plus avec une personne de plus.

alors je ne fait rien


En tout cas, tu est toujours aussi belle
 
 
]]>