Ecrire pour un crie, pour dire, ou juste pour écrire. Il y a des fois ou cela prend comme ça, comme un vol d'oiseau, comme un petit ruisseau. Ecrire, et là y a le blanc, qui fait s'asseoir, fini de danser comme un poète lubrique et posséder. Mais il y a se cerveau, qui n'aime pas taper pour rien, et qui repproche. La musique qui emporte, une nouvelle vague, le coeur repprend les chanteurs la batterie la basse et biensur la guitare. Bonito. Le rythme là, il ne reste plus que les images. 
Il est assis sur une chaise, il regarde devant lui d'un air égaré. Les pupilles vide. La serveuse discute avec un client.
 "Bon sang! Ca ne durera pas. Juré je vais me lever lui parler, lui dire deux mots, peut etre ceux qui faut. Peut être ceux de trop. Mais si je ne dit rien, que se passe t'il.? Vas ton se sauter dans les bras et s'embrasser d'un air sauvages sans un mots, comme si les yeux de chaque part le criait.
Je regrette, je suis assis a ruminer cette histoire dans se cognac qui m'enveloppe de son duvet chaud. Ma gorge est encore en pleur, a vrai dire c'est mon coeur qui pleure. C'est plus profond. Elle m'a écrit sur se bout de papier..."