Jeudi 29 avril 2010 à 2:00

Avoir le premier rôle. Ne pas être l'éternel figurant. Ne pas être celui que l'on recroise, et puis c'est tout. Faire preuve de caractère, sans s'imposer. 

Et tout ses mots pour mettre en boite le fait que se soir encore en rentrant je me sente seul. Parce que cette solitude ne se compte pas aux nombres d'amis, à la présence de la famille. Sa fait sept mois. Sept mois que je suis incapable d'abordé une fille. Que je suis pas capable de me mettre à mon avantage. Que je suis capable de rien. En boulot ou en amour.
Sept mois que je me dit que j'y suis pour quelque chose mais que je n'y arrive pas. Alors j'espère. Assis à ma chaise de bar. J'attend en sondant les horizons si quelqu'un arrive. Mais tout le monde installé dans sa petite vie, ne bouge pas. Le monde est t'il toucher par le même mal que moi?
Peut être qu'il éxiste un être devant se poser sur moi, me sortir de cette torpeur. J'attend, fait le beau quelque instant, et fini par me tenir la tête,par allumé une cigarette, finir mon verre, et à me décider.
Déçut, je me lève et prend la route de mon petit appartement. Les rues sont belles la nuit. Une explosion de forme, avec le contraste chaque chose est grandit de son ombre. Les églises touches les cieux. On se sent petit, ridicule à côté de tout ça.
Mon mal à moi, c'est dans ces rues, croisées des couples, des groupes de filles, des filles toutes seules. Sa me fait bader. Combien de fois faudra t'il que je regrette la nostalgie de mes aventures passées. Combien de fois faudra t'il que je regrette de ne pas avoir fait, et dit les bonnes choses au bon moment. 
Dans ses rues, je trimbale un monstre de regret. Il est enchainé et je le traine ou que j'aille. Chaque soirs il prend de plus en plus de place. Et quand je vais me coucher, il me gêle les pieds, pour mieu me rappeler avec froideur que je suis seul. Y a que des célibataires pour dormir avec des chaussettes.


Mardi 27 avril 2010 à 19:42

J'aurais peut être cherché encore pendant des heures. Mais là je sais que c'est la bonne. La musique commence, le silence de la pièce est pesant. Il faut chaud, je suis torse nue. Je suis sous les toits, et je ne sais pas. L'heure, ne me laisse pas le temps, les jours ne me laissent pas les semaines. Tout coule, et toujours trop vite. J'aimerais stopper tout ça, parce que je sais que pour le moment tout vas encore bien. Mais demain?

Dans quel état vais-je me lever demain. Vais-je me lever demain? Mais au delà. Au delà des quelques heures qui me sépare du nouveau jour. Que vas t'il advenir. Qu'est ce que je fait l'année prochaine?

Je ne sais pas se qui est le plus désolant. De se poser toujours des questions ou de ne pas savoir y répondre. Il parait que c'est normal, qu'il faut retirer tout ça de sa petite tête, sinon elle s'étouffe et elle phane comme une fleur, tourne comme du lait, et devient mauvais. Je veux pas devenir mauvais.
je veux pas faire se qui me plait pas, qu'est ce qui est judicieux quand je sais que se que je fait ne le fait pas? Les autres, et moi forcément en son responsable. Mais devont nous accuser les autres de qui je suis? Ou de se que je fait?
Alors ainsi, je suis quelqu'un de bien, mais si dans le fond je suis bien. Dans se cas, je suis con d'être pas capable de faire les choses biens. Alors je suis un bon con. 
Mais ça n'empeche rien, car je vais devoir faire quelque chose, et cette réponse ne m'aide pas.

Moi j'ai envie d'un coucher de soleil dans le hamacs, avec une petite guitare, et de profiter simplement. D'etre balayer par le vent lentement et de danser sur le bord de la plage avec Morphée. A defaut de danser avec Aphrodite, combler le manque par le vide et non l'absence par la fumée.

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast