Mardi 5 avril 2016 à 20:57

 Soin d'un malade


J'ai cru qu'en me soignant j'irais mieu. J'ai espèré que les médicaments pour ma tête régleraient tout autour. Que je pourrais être heureux, fier et droit. J'aurai pu y croire longtemps, mais cela n'as été que rêve et naïveté. Car le coeur m'a prit le controle de ma tête et maintenant je suis plus faible que jamais.
Mais comment expliquer à un malade que tout ces efforts, pour atteindre cette lueur d'espoir n'était qu'un piège et qu'une fois mes bras ouvert à l'espoir, il me brûlerais comme un moin que rien.
Car cette lueur est innocente. Ne s'en rend pas compte et ne semble même pas s'en délecter. Alors je ne peut lui en vouloir ou lui crier dessus. Je suis le seul responsable. 
Quatres ans dans ma chambre de malade ne m'on que rendu plus faible. J'ai fuis la lumière en prétendant la chercher et voilà ce qu'elle m'impose.

La médecine ne peut rien pour moi, je le comprends maintenant. Elle ne pourra me guérir. Elle doit apprendre à me soigner. Me prendre dans ma chair calciné et chercher ce qu'il reste encore de bon...

Car la médecine d'aujourd'hui ne me fait que du mal, moins que celle qui m'a laissé dans cette paralysie. Mais l'espoir fait plus de mal que tout. Elle ruine la volonté d'enfin marcher à nouveau. Me laissant dépendant aux moindres médicaments. 

Mais que suis je? Un patient ou impatient? Quatres ans et demi ne sont t'il pas suffisant pour revivre?
 
 
 
 


Il semble que non,
Je suis toujours brisé
Incapable de marcher
Le chemin est long

Et plus je gravis,plus je tombe
Des miettes de moi au sol font encore ma personne
Je ne peux en vouloir qu'à moi et je ne me le pardonne 

Elle est nouvelle pour moi et je m'y habitu 
A la limite de la mort que j'ai souvent espéré me donner
Je ne comprend pas ce qui pourrais bien m'en empêcher 

Car rien, au grand rien ne me rend heureux depuis
Cette chambre est une prison et ce traitement un poison 
Pourquoi suis je fait ainsi?
Pourquoi suis je aussi fragile?

Car on m'a traîné dans la boue
Briser en milles morceaux
Déchiré le visage de mon coeur
Et mon espoir à fondu lentement 

Cette confiance aussi.
Je ne croit plus en rien et encore moins en moi dorénavant,
Car même celle qui me soigne me blesse...

Alors... Je reste silencieux ou je cri?
Dois je m'éloigner de la lumières pour la retrouver enfin?
Car mourir ne sont que les mots à ma bouche,
Mais comme je reste silencieux personne ne l'entend...

Ça n'est pas une solution mais cela peut être la fin du problème.
Ou je vide mon sac 
Une fois pour toute et advienne qui pourra
Peut être tuerais je même la médecine.

J'abandonne 

Adieu maux que j'impose.
Adieu compagnie.
Me revoilà solitude, tristesse et souffrance
Vous ne m'avez pas manqué
mais il semble que je soit fait pour vivre avec vous.

 

Mardi 17 septembre 2013 à 1:58

Ecrire pour un crie, pour dire, ou juste pour écrire. Il y a des fois ou cela prend comme ça, comme un vol d'oiseau, comme un petit ruisseau. Ecrire, et là y a le blanc, qui fait s'asseoir, fini de danser comme un poète lubrique et posséder. Mais il y a se cerveau, qui n'aime pas taper pour rien, et qui repproche. La musique qui emporte, une nouvelle vague, le coeur repprend les chanteurs la batterie la basse et biensur la guitare. Bonito. Le rythme là, il ne reste plus que les images. 
Il est assis sur une chaise, il regarde devant lui d'un air égaré. Les pupilles vide. La serveuse discute avec un client.
 "Bon sang! Ca ne durera pas. Juré je vais me lever lui parler, lui dire deux mots, peut etre ceux qui faut. Peut être ceux de trop. Mais si je ne dit rien, que se passe t'il.? Vas ton se sauter dans les bras et s'embrasser d'un air sauvages sans un mots, comme si les yeux de chaque part le criait.
Je regrette, je suis assis a ruminer cette histoire dans se cognac qui m'enveloppe de son duvet chaud. Ma gorge est encore en pleur, a vrai dire c'est mon coeur qui pleure. C'est plus profond. Elle m'a écrit sur se bout de papier..."

Mardi 9 juillet 2013 à 14:03

Cette douleur que je ne comprend pas, qui m'accapare depuis des jours. Je ne la cerne pas, je ne l'explique pas. Elle me prend les tripes et me laisse pantois, quand je me couche j'ai peur, tellement de douleur se reveillent en moi. La tete, le cœur... Chaque nuit est la peur d'une nouvelle fin, chaque matin une renaissance, chaque journée un enfer... Je ne comprend pas, qu'est ce que j'ai? Suis-je vraiment mal? Suis je juste effrayé? Je ne comprend pas, et cette douleur elle m'accapare, l'esprit et le temps. Dire que quand j'ai peur, il se passe des choses. Non, dire que quand je dit que j'ai peur a quelqu'un il se passe des choses, et si depuis le début meme quand je me tait il s'en passe, alors que veux dire se monde?

Je suis sensible, faible et frele.
tout cela régis par une peur que je ne comprend pas

Mardi 14 mai 2013 à 0:45


Le sac



 Il est grand se sac ou je met tout,
il est grand et cela fait un bail que je ne l'ai pas vidé.
Cela fait longtemps que je garde tout pour moi,
que plus rien ne sort, que plus rien ne coule de mon esprit jusque a ma bouche.
Que personne ne sait, que personne ne comprend, que personne ne peut imaginé.
On ne voit pas à travers le noir, je ne voie pas non plus très loin.
Ce qui est plus claire est derrière moi,
avec la net impression que rien ne serra plus lumineux, plus pure et plus chaleureux que cette sensation perdu. 
Se sac est lourd, humide et puant,
je le trimballe depuis tellement de temps.
Il n'existe pas un jour ou je ne l'ai pas trainé,
pas un jour à jouer sous le masque du sourire,
pour cacher le grincement de mes dents, et le grimacement de mes joues.
Il me fatigue, me ronge ou me creuse, cela dépend de vous.
Mais pour moi cela ne change rien.
Les mots ne sont que fils noué, invisible seul, et si pesant unis.
Si seulement chaque mots ouvraient lentement se sac,
déversait son contenu en cascade me libèrant de se courant qui me porte nul part. 
Mais rien, plus je parle et plus rien ne se passe. L'espoir est vain, l'espoir est faux.
Aujourd'hui, j'ai mi l'amour dans le sac,
je l'ai jeter en pâture au milieu de ses ombres dansante à la lumières de l'oubli. 
Oh oui, elle danse et tourne en moi, mangeant, dévorant le moindre espace, écrasant le moindre espoir.
Se sac est ma chimère.
Se sac il est pour toi, toi celui qui ouvre et qui referme, 
toi qui n'est plus là.

Dimanche 26 août 2012 à 6:03

Les sables du repos

Je suis à la recherche de cette endroit, où tout mon corps se veux d'allé. De pouvoir se reposer dans les sables du repos, là où le temps n'as plus d'effet. Là où je pourrais me retrouver. 
Je le cherche où qu'il soit avec un sommeil que je ne trouve pas. Depuis que le monde à changer, je ne suis définitivement plus le même. Le boulversement extreme à fait de moi un spectre.
Reste de moi même, reflet d'un passer glorieu, image d'un temps révolu. Pour moi, je ne suis plus, car un homme sans but, est un homme perdu. Son bonheur était ma destiner, dans ma mission j'ai échoué. Un homme ravagé par les combats du temps, réfléchis comme un animal blesser et dans cette folie masculine, j'en ai tout perdu. Mon erreur? Moi même. Si les sables du repos existent vraiment, j'espère les rencontrers bientots. Car je suis libre, et que le vent porte, la voie comme l'espoir et qu'un crie dans le noir est autant un au secour, qu'un cauchemard.

Mais si la nuit à un nom, alors c'est que le jour éxiste, et si ce lieu est bien réel
j'espère bien le trouver dans mon sommeil.
Mais l'homme qui vie dans ses rêves ne les verras jamais se réaliser.
Alors si je doit continuer, je me doit d'admettre une chose.
Ma vie est equimose, mon esprit parsemé de maux.
Mais ma foi et ma volonté ne se sont pour certaine chose
jamais plié.

Aujourd'hui tout est distordut, le schisme est apparut
et dans ma solitude postume, en retrait de la réalité
J'admet sans peur et sans peine, que mon combat n'est pas terminer.
Je suis peut etre grievement blesser mais
Mon coeur bas, je suis donc vivant, point besoin de m'exiler pour me retrouver
Je suis ce que je suis, un mélange de sable et d'argile
un reste d'ancienne fondation jadis oublié
Un mur sensible au sec et à l'eau, mais qui part une volonté proppre ne s'écroulera jamais.


 

 

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