Samedi 18 octobre 2008 à 23:06

Horrible jour, triste vie, je n'en peu plus. Aucune muse n'habite mon âme et pourtant mon coeur continu de battre. Mais pourquoi vivre pour sois même, comment cela est rendut possible. L'esprit humain dans toute sa complexité n'est'il pas capable de trouver au plus profond de lui un divertissement?

Et pourtant, il y a cette guitarre qui m'appel tout ses week ends quand je rentre. Je sais que j'ai envis d'en jouer, j'ai envis de la faire chanter... Pourtant, à la moindre pensée de joué, une douleur atroce me vient à la tête. Las d'entendre toujours les mêmes accords, les mêmes notes, les mêmes mélodies... Alors je ne fait rien. Et à l'image de la musique, je ne fait rien de ma vie. Car je n'ai plus de vie... L'internat pour moi, est plus qu'une prison physique, l'esprit, dans une incapacitée totale de se reposer se retrouve dans l'incapacité d'être allaise....
Oui, un pete sa fait du bien... Mais il y a mieu que les paradis artificiels pour voyager, il y a la vraie vie. Celle sans préoccupations, sans obligations, celle où finalement la liberté est la seul contraintre... Mais de toute manière j'arriverais toujours à me plaindre....

Par exemple mercredi j'ai croisé Soreya... C'était étrange, car on as parler avec quelques mètres de différences, comme deux inconnus demandant leurs chemins respectifs. Ainsi, peut être que tout à été résumer dans cette journée... On c'est croisé elle et moi, rien de plus. Je ne l'ai pas trop comprie, et elle non plus... Ou peut être trop qui sait?


Samedi 18 octobre 2008 à 22:44

Demain, je vais faire ma petite valise pour rentrer à la maison. Je vais me lever dans mon petit lit d'internat, et je vais prendre une de ses douches bouillantes au quel on à le droit quand on se lève à 6h30 du matin. Je traverserais le couloir avec la serviette autour de la taille, les pieds gelés sur le sol encore froid de la sombre nuit. J'agirais avec précipitation, alors que je n'aurais aucune envie d'allé au lycée.

Car là, je me sens bien. Je suis tranquille. Je vient de regarder Pulp Fiction, j'acoute du Bob Dylan et je pense, je repense, je ressasse, je remue le passé comme la laitière fait avec sa crème.

J'ai mal, trops de souvenirs, trops de nostalgie. Ici, je ne suis rien, je ne suis personne, je n'ai connus rien. La vie n'est pas la même, elle n'as pas le même goût, elle est amère.

Je ne me suis jamais autant fait chier dans un lycée, je n'ai jamais passer une si longue journée. Je n'ai jamais été aussi méchant avec mes blagues pour pouvoir un peut m'amuser. Je n'aime pas cette ville, je n'aime pas marcher dans ses rues, je n'aime pas allé au lycée, je n'aime pas retourner à l'internat, je n'aime pas les bars, je n'aime pas les bus, je n'aime pas les toilettes du lycées…

 

Et j'ai surtout l'impression que je suis ici pour rien et que ça ne serv totalement à rien.

Malgrer mes efforts, malgrer mon travail, malgrer tout se que je fait, tout se que j'espère de cette année j'ai l'impression de n'arriver à pas grand-chose. Je me noie dans mes espoirs qui semblent au bout d'un mois se noyer dans une timide désillusion que je ne pourrais assumer.

Les week ends sont trops court, et le temps, le repos me manque trop.

 

Si seulement j'avais quelqu'un, si seulement je pouvais me confier avec un minimum de confiance. Mais finalement, qui est vraiment là pour écouter les autres ? On s'en fou tous un peut des autres, on pense pouvoir se passer de chacuns et on fait comme tout en se donnant bonne image…

 

J'aimerais pas dire que j'aimerais rencontrer la femme de ma vie ou pourquoi pas. Mais cela serais tellement préquoce. J'aimerais d'abbord juste aimé ma vie, aimé se que je devient mais où que j'aille, je n'ai pas l'impression d'être complet. J'ai l'impression que je suis encore là bas, qu'elle m'a prit se qu'il y a d'essentiel en moi.

Et pour combler cette partie, elle m'a laisser son lourd souvenir de bonheur et de finitude.

 

Se soir je vais encore me tourner et me retourner dans mon lit comme si le sommeil jouait à cache cache dans mes draps. Je vais me réveiller, me retourner, regarder la sombre nuit couvrir le sommeil de la France. Et elle, elle sera lointaine, inatégniable. Qui sais se qu'elle fait ? Qui sais se qu'est advenu de sa vie ? Qui sais toute les questions que je me pose, et aux quels je n'aurais jamais de réponse.

 

Et ma petite vie continuera, je ferais comme si de rien. Je resterais silencieu, je parlerais quand j'aurais besoin de sortir de mes souvenirs pour me sentir un peut vivant. Car je suis mort, je suis mort depuis longtemps déjà. Je revis que quelque jours, quelques instants par semaine, et je sais plus quoi faire.

 

J'enverais bien comme une fusée de détresse mais je ne le fait pas, car je suis persuader que dans l'océan de ma vie, tout est trop loin pour me secourir…

Me sauver pour allé où ? Je n'ai plus de maison, je n'ai plus rien. Je ne suis plus moi, je ne suis plus rien. J'ai fait place au vide, et plus les jours continue plus je m'enfonce…

Je n'ai même plus de chez moi .


(petit problème technique... Word c'est vraiment de la merde)

 

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