Samedi 18 octobre 2008 à 23:06

Horrible jour, triste vie, je n'en peu plus. Aucune muse n'habite mon âme et pourtant mon coeur continu de battre. Mais pourquoi vivre pour sois même, comment cela est rendut possible. L'esprit humain dans toute sa complexité n'est'il pas capable de trouver au plus profond de lui un divertissement?

Et pourtant, il y a cette guitarre qui m'appel tout ses week ends quand je rentre. Je sais que j'ai envis d'en jouer, j'ai envis de la faire chanter... Pourtant, à la moindre pensée de joué, une douleur atroce me vient à la tête. Las d'entendre toujours les mêmes accords, les mêmes notes, les mêmes mélodies... Alors je ne fait rien. Et à l'image de la musique, je ne fait rien de ma vie. Car je n'ai plus de vie... L'internat pour moi, est plus qu'une prison physique, l'esprit, dans une incapacitée totale de se reposer se retrouve dans l'incapacité d'être allaise....
Oui, un pete sa fait du bien... Mais il y a mieu que les paradis artificiels pour voyager, il y a la vraie vie. Celle sans préoccupations, sans obligations, celle où finalement la liberté est la seul contraintre... Mais de toute manière j'arriverais toujours à me plaindre....

Par exemple mercredi j'ai croisé Soreya... C'était étrange, car on as parler avec quelques mètres de différences, comme deux inconnus demandant leurs chemins respectifs. Ainsi, peut être que tout à été résumer dans cette journée... On c'est croisé elle et moi, rien de plus. Je ne l'ai pas trop comprie, et elle non plus... Ou peut être trop qui sait?


Par frente-la-window le Mardi 28 octobre 2008 à 23:44
où es tu exactement en internat?

les temps changent, des chemins se croisent, se séparent, se décroisent,.... c'est comme ça.

tu ne seras jamais seul, on l'est totalement uniquement si on le veut.
il y a toujours une personne sur qui on peut vraiment compter, encore faut il la voir.

prends ça comme un nouveau départ, non?
Par eneaa le Mercredi 29 octobre 2008 à 1:22
La vie est un fleuve long et court, il y a des rapides, comme des périodes de stagnations et quand la sève c'est éteinte, c'est à elle de reprendre, emprintant des chemins toujours différent. Pour enfin atteindre un degrée plus ardent et intense que dans le passé.

La liberté est une abstraction qui ne tient qu'en détachant du passé. Tel un phoenix alors l'oiseau mythique s'élancerat dans les cieux et volera parmit les cieux et d'un chant de rêve coloré.

Ici se ferme les portes de mon esprit.

Sur ce bonne nuit.
Par eneaa le Mercredi 29 octobre 2008 à 11:36
Mais c'est au passé de se faire remarquer de venir chercher le phenix dans son vol, dans son ascension. Peut être qu'en emprintant les bons procéder, le passé s'élancera pour atteindre les sommets.
 

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