Jeudi 27 septembre 2007 à 23:34






Il y a comme ça des vieux films, on ne les connais pas. Ils nous connaissent pas, et ils ne tardent pas à se faire connaitre, et à ne plus se faire oublier. Je ne vais pas vous mentir sur cette rencontre, elle fut dans une salle de cours, dans un lycée beauvaisien.
Se film, malgré son age, à su garder en moi, une image jeune d'un cinéma d'en temps. Se film, se conte populaire allemands, à réussit à devenir un  mythe du cinéma grâce à Murnau.
Mais comment parler de se film en noir et blanc qui à mi de la couleur dans ma journée? Comment évoquer se combat de Titan entre un coeur pure et le diable en personne? Comment parler de cette partie de pile ou face qui pourrait plonger la terre en enfer, et où seul le docteur Faust auras son mot à dire... Que dire, d'un film où l'amour sauve l'humanité...

Demain, chez Julie... Merci Monsieur Vendredi.

Mardi 25 septembre 2007 à 23:42






Dans mes dénonciations des grandes causes ou erreurs de la vie. Pour les surfeurs du net. Je mettrais dans la petite boite aux lettres des critiques se petit message.

Les personnes qui déclare s'adorer, être de grands amis, des personnes sur qui compter quand sa vas mal. Enfin, se qu'on dit d'un vrais amis. Mais avoue plus loin sur leur blog, ne l'avoir jamais rencontrer. Le connaitre seulement derrière la barrière des "lol" "kikou" "mdr".
Enfin, je fait cette article, car cela me fait sourire. Tout ça.
Mais alors, où est le vrais côté de l'amitié? Un amis, c'est pas que ça, c'est pas seulement la personne à qui on dit tout sur msn, et qui tente de nous donner des vagues conseils, qui de toute manière ne serons jamais suivit. Sa n'est pas la personne qui nous déclare nous trouver sexy derrière la plus belle photo qu'on à mi, celle où l'on ne vois pas notre grain de beauté, ou encore qui cache la moitié de notre visage.

Non, c'est plus que ça. C'est celui qui te dit les choses en face, qui te tien dans les bras quand tu pleure. Chez qui tu peut passer la soirée comme ça. Celui avec qui tu peut parler de chose qui nous tracasse et qui nous dit pas des conneries.
Aujourd'hui, c'était simple même si j'aimerais passer plus de temps avec lui, et partager plus que des parties de PES le soir quand je suis chez lui. Yan m'a dit clairement qu'il ne fallait pas nourrir d'espoir. Que j'aurais beau tous faire, je ne retrouverais jamais Valentine. Que le boomerang était partit, et qui si il revenais, sa ne sera pas dans mes bras, mais dans ma gueule. Que sa ferais mal...
Julie me dit que c'est con, que j'ai déconner. Elle me pose des questions simples... Je lui répond simplement. "Pourquoi elle est partie" "Lorinda."..." C'est con, t'avais finalement trouver quelqu'un de bien...".
Elle a pas tord.

Je me rend compte finalement, que j'étais partit pour parler de personnes qui me font sourire sur le net... Que finalement, je suis revenue sur elle... Que c'est un article qui est partit d'un bou, d'une idée, d'une critique et qui dérive, un peut comme la vie.

Smile, comme ils disent...

Lundi 24 septembre 2007 à 22:34





 Comme il dit "On peut réellement avoir le droit de se plaindre, quand on a un père malade, part exemple".

Hier, j'ai dormit chez Yan, sa faisait longtemps. A 23h, après une discutions en regardant capital sur la prison de Amiens. On c'est coucher comme deux larves pour s'endormir d'un coup. Je sais que je me suis réveiller plusieurs fois cette nuit. Le sommeil, même si il m'accablait, me forçait à ouvrir les yeux, et à me demander. "Mais qu'elle heure est il? Bon sang!"
On c'est finalement réveiller à la bourre, comme chaque fois que je dort chez lui... Bref, j'allais raconter ma journée en long et large. Mais finalement, j'ai pas envi de raconter mes cours de philo, et la flème que j'avais décrire se cour. Ou des récrées que j'ai passer avec Valentine, se qui ma contraint à une clopes dans la journée. Ou encore des larmes de Lorinda en classe d'histoire, et de moi à côté, impuissant. Me jurant que sa ne pouvait pas être pour se que je croyait. Je ne vais pas non plus parler de l'anniv de Valentine, et de la soirée de Vendredi qui se prépare chez Julie. Ou encore d'avoir manger avec Valentine et des frites à la cantine

Je voulait parler de se lundi. Du lundi, car lundi sonne avec la pire journée de la semaine pour moi cette année. Pas une heure de pause, 4 heures de philo, deux d'histoires, 1d'anglais, et une de littérature... Chaque fois que je vais aux toilettes, j'ouvre le même tomes de Garfield. Chaque fois, je me pose la même question. Mais pourquoi, c'est toujours le lundi ou les couilles arrivent? Se chat obèse comme moi, déteste le lundi et il a bien raison.

Dimanche 23 septembre 2007 à 12:52





Impasse quand tu nous tien... Est ce que je passe, est ce que je m'en passe? C'est pas ma tasse à moi de devoir abandonner mes sentiments. Il faut bien que sa se tasse un jours, mais j'arrive pas à mi faire. Elle revient chaque fois comme un boomerang. Ne penser qu'à elle quand on fait les courses, quand on achète des pattes chinoise dans un magasin marocain.
Délire inconscient, rêve de mes nuits, mais où est la trêve? Mon coeur à décider de ne pas s'en distinguer? Faut il qu'il ne puisse pas se passer de se composant pendant l'éternité?
Je sais pas, je veux pas savoir car c'est aussi simple que ça. Cette petite blonde je l'aime, y a rien à faire. Vous pourrez dire tous se que vous voulez, me faire remarquer comment je suis partit cet été. Comment j'ai faillit finir part cette rupture, mais cette petite blonde je l'aime... Y a rien à faire...
Je suis désoler mélo. Mais cela n'est pas si simple qu'un ordre donné...

PS: Promesse tenue, Marie à été dans sa journée de générosité hier. Merci pour les chocos à 1h du mat.

[image by yolloworm]

Vendredi 21 septembre 2007 à 22:10






Là, elle dort, elle est allé se coucher, elle est fatiguée. Elle rattrape son sommeil se soir. Aujourd'hui, nous avons passer le milieu d'après midi ensemble. Nous sommes allé derrière cette vieille église, dans l'herbe, s'allonger comme dans le bon vieux temps. J'ai occulté les souvenirs, je les ai refouler comme des désirs pervers, pour profiter des instants présent.
Ecouter de la musique, allonger ensemble, en disant des bétises. Rigoler, sourire bêtement en l'admirant. Se battre pour des bonbons en plastique, manger du papier. Se battre, se rouler dans l'herbe. Se regarder dans les yeux quelques instants en coup de vent.
Passer deux heures avec elle à l'improviste, comme si sa présence était un bol d'air pure. Cela m'a remis en forme. Le sommeil tuer sous cette force de vivacité, je me suis retrouver embarquer dans un bel après midi.

On m'a dit se soir, de ne pas retomber amoureux d'elle.
Et si je me prêtait à rêver un peut.



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