Mercredi 19 septembre 2007 à 22:36






Mon coeur est une cheminée de train à charbon...
J'avais trouver bois à mon fourneau...

S'allonger près du feu, avec un groupe d'amis. rire, rigoler, fumer, boire, embrasser sa bien aimé. Se réchauffer le coeur, les joues, les lèvres, les pensées. Se sentir là, comme dans son foyer. Bruler de bonheur, immoler son coeur... La flame des yeux s'abaisse et le lendemain, les moments passer son que cendres. On souffle un bon coup dessus, un pise dessus pour être sur que c'est fini.
On regarde le charbon avec déception, alors que leur de la séparation est arrivée. Peut être que l'étincelle n'est pas éteinte. Mais on n'est si sur de rien. On tourne le dos pour une dernière fois, avec cette impression de froid. De bon souvenirs qui nous emplissent de nostalgie... Mais demain on trouvera un ailleurs, une autre buche à notre cheminée qu'est le coeur.

J'étais tomber sur de l'ébène...

Lundi 17 septembre 2007 à 22:49


[Merci à Andgie pour cette photo]



Aujourd'hui c'était une belle journée, je suis un peut fatiguer mais je me coucherait enfin avec le sourire. J'ai fait plein de choses, j'ai bouger. Je suis allé chez Hotman avec Julie, on à bien délirer. Hotman sera peut être à Truffaut, il c'est fait virer de sont lycée. On pourra peut être passer plus de temps avec lui. Ensuite, il y a eu les cours. C'était banal, peut être chiant, mais banal. Pas de retard, pas d'engueulade,  pas de CPE. Bref, de se point là, le bonheur.
A l'entrée du cours d'Anglais, y a Valentine qui à voulut me faire chier. J'aime bien quand elle vient me faire chier, car elle lâche jamais rien.
Ensuite, il y a eu Charlotte qui à perdu son paquet de tabac. Je lui ai payer une clope, et pour me remercier, à notre retour du centre de Beauvais, elle m'a payer un chocolat chaud et un croissant... C'était sympa de sa part,il faisait froid, moche, il pleuvait et j'étais en tee-short...

Demain, les surveillants aurons des chouquettes
et moi un café...

C'est bête à dire, mais aujourd'hui c'était donnant donnant. J'ai fait un effort et on ma récompenser. On verra si c'est vraiment ça la vie, voyons si les pions tiennent leurs promesses...

[...]

J'étais pas inspirer se soir. J'avais pas envi de faire une envoler magistrale sur aujourd'hui. J'avais pas envi de la gâcher de mots qui ne pourrait pas traduire le bien que sa ma fait cette petite journée.

Jeudi 13 septembre 2007 à 21:47





Le lycée, les profs, et toutes ses banalités. J'ai pas envi de parler de ça aujourd'hui. Non, j'ai pas envi de parler de banalité. J'en parle trop déjà à ceux que je croise comme ça de temps en temps, à qui je n'ai pas envi de raconter ma vie.
Alors je rentre, et j'attend que l'ordinateur se libère, pour taper quelques mots d'explication, sur se qui à pimenter ma journée...

Se soir, j'avais envi de respirer. Sortir des cours, se griller deux clopes d'affiler pour faire passer la prof d'Anglais qui te les pètes menu, discuter avec lulu. Dire de la merde, faire le con. Puis descendre à la gare pour glander une heure. Je m'attendait pas à la voire encore là. Normalement elle serais déjà partie prendre son train. On échange quelques mots, comme ça... Je descend sur les marches pour voire qu'il y avais, comme d'hab. La plus part des débiles, avec un humour en dessous de la ceinture.
Alors je reste debout, je me fume ma roulée "feuille de cana" en regardant les gignols courirent dans tout les sens... Je la voie en haut des marches, elle cherche quelqu'un du regard, mais sa n'était pas moi. Un des gas du groupe se lève et vas la rejoindre dans les bras...

Je pensait jamais pouvoir tomber
amoureux d'une fille comme ça...

Alors je me dit que d'un côté, on me l'avait dit. Mais je pensait pas que cela pouvait être aussi vrais... Celle qui se disait ne pas savoir, semble faire ses chois plus vite que l'ombre. Cela faisait un mois qu'elle était avec un con, et du jours au lendemain elle change... La moitié des personnes qui la connaissaient ne savaient même pas qu'elle avait un mec depuis un mois... Putain... Quand je pense que je l'ai aimé. Que part sa faute, j'ai perdu Valentine, que je vois comment je me suis fait traiter... Et en plus, il faudrait que je face attention à ne pas la perdre... Ma ptite, si tu me perd, sa ne sera que de ta faute...

Dimanche 9 septembre 2007 à 22:28




Je voudrait bien partir un peut, partir loin, partir de peut de rien. Vivre ma vie, regarder à l'horizon en passant sa main sur son front pour se protéger du soleil. Je voudrait bien jouer de la guitare sur la plage et regarder les enfants faire des châteaux de sables. Courir, sauter dans le vide, prendre des photos. Danser un slow, l'avoir dans mes bras, l'embrasser, la regarder pendant des heures. Faire un pas de retrait, la tenir part le bous de nos doigts. Tourner en rond avec elle, s'écrouler dans l'herbe, rigoler, l'embrasser.  Regarder les étoiles, ne penser à rien, avoir un sourire stupide sur le visage, rigoler pour rien... Rouler une clope, boire une bière... Ecouter de la musique, chanter à tue tête.

Le problème c'est que je peut pas partir, que demain il fait moche. Que j'habite loin de la mer, que je n'ai pas d'appareil photo. Qu'elle n'est plus là pour moi...Que je pense constamment à elle... Je peut juste mettre un peut de musique...

Il faut du courage, des nerfs d'acier,
pour vivre dans le présent...

Samedi 8 septembre 2007 à 8:27

L'homme regardait sa destinée en face lui. Sa destinée, c'était elle, mais elle. Elle était tourner dans les bras d'un autre futur. L'homme c'est levé, il est partit marcher, se griller une clope seul, à pleurer sur sa destinée. Il entendait sa destinée arriver derrière lui. Mais dans la foule, l'homme continua son chemin.

Il revient quelques temps plus tard. Grise mine comme le ciel, même le soleil ne tirait pas un sourire. Il s'assit, il la regardait elle. Elle n'avais pas changer son futur, dans les mêmes bras depuis une heure. Il la fixait dans les yeux, et sa destinée la regardait en face et face à la destinée, on ne peut pas y échapper... Car c'est elle qui nous échappe... L'homme ne comprenait pas, mais de toute manière jamais rien n'as vraiment un sens. Alors l'homme envois un message à son passer, comme pour faire passer le présent. L'attelage du temps, ne pouvait faire éttalage de ses histoires, se recroqueville dans des verres, dans les soirées.

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