Mon coeur est une cheminée de train à charbon...
J'avais trouver bois à mon fourneau...
Mercredi 19 septembre 2007 à 22:36
Lundi 17 septembre 2007 à 22:49
Jeudi 13 septembre 2007 à 21:47
Dimanche 9 septembre 2007 à 22:28
Samedi 8 septembre 2007 à 8:27
L'homme regardait sa destinée en face lui. Sa destinée, c'était elle, mais elle. Elle était tourner dans les bras d'un autre futur. L'homme c'est levé, il est partit marcher, se griller une clope seul, à pleurer sur sa destinée. Il entendait sa destinée arriver derrière lui. Mais dans la foule, l'homme continua son chemin.
Il revient quelques temps plus tard. Grise mine comme le ciel, même le soleil ne tirait pas un sourire. Il s'assit, il la regardait elle. Elle n'avais pas changer son futur, dans les mêmes bras depuis une heure. Il la fixait dans les yeux, et sa destinée la regardait en face et face à la destinée, on ne peut pas y échapper... Car c'est elle qui nous échappe... L'homme ne comprenait pas, mais de toute manière jamais rien n'as vraiment un sens. Alors l'homme envois un message à son passer, comme pour faire passer le présent. L'attelage du temps, ne pouvait faire éttalage de ses histoires, se recroqueville dans des verres, dans les soirées.