Perdre son temps, son argent... Perdre des amis, des amours, des connaissances. Perdre l'envie, et rester l'envieu... Se dire comme toujours que rien ne fonctionne. Que tout fait mal à la tête. Qu'elle fait mal au coeur. Que j'ai envis de dormir, de rester tranquille en dehors de l'agitation de la vie. Mais il manque se papier qui faut allé chercher pour completer se dossier, envoyé des chèques au proprio à EDF, faire des CV, regarder les horaires de car, et voire que je n'y serais jamais à temps. Devenir fou, se fumer une clope. Faire une pause, avoir encore plus mal à la tête... Avoir de tes nouvelles enfin depuis un ans. Ne plus avoir de nouvelle de toi depuis quelques jours, même mon dealer m'en donne plus que toi. A croire que je n'y comprend rien. Que la valse à sale temps frappe pas que le monde de Manu, mais aussi le mien. Car à Hodenc il fait moche, le soleil se cache derrière les nuages, et accompagne de ses peut de rayons les tonnes de goutes qui tombe sur mon monde.

Mais où en suis-je? Pourquoi tout le monde prend c'est instant comme du bon temps, pourquoi tout le monde ne se pause pas autant de questions. Pourquoi je me remet en cause en permanence? Pourquoi je n'ai plus confiance en moi? Pourquoi j'ai peur? Pourquoi je croit que tu ne m'aime pas? Pourquoi j'ai l'impression qu'il y a un mur, que l'on construit de jours en jours entre nous deux? Pourquoi je croit que notre histoire devient celle de Berlin... Pourtant tu est quelqu'un de bien... Mais je n'y comprend plus rien.

Et le passé qui remue, qui lance un cailloux dans la mare, qui éclabousse mon esprit et renverse la logique. Plus rien n'as de sens... Et se rêve que je ne comprend toujours pas. Pourquoi était tu là, toi que je hais, que je déteste, que je ne veux plus voire. Pourquoi cette nuit là à tu accompagné se voyage dans mon car. Pourquoi est tu venu me parler. Pourquoi du coup je repasse sur ton blog... Pourquoi je rêve toujours de connerie, de vie pourrie... Pourtant à yeux ouvert j'en avais rêver, mais comment t'expliquer...

Et encore une fois je finirais pas dire que je suis fou, mais plus que ça. je ne comprend plus se qui m'entoure. Et se temps de merde, qui me retourne les tripes et me donne envis de vomir. J'en perd même l'appétit... Le stress de la rentré? Que cela ne tienne, la dernière fois que j'ai stresser, sa remonte aux planches de théâtre... Pourtant, ici personne ne me regarde, personne ne me juge, ne me critique... Oui car ici, je suis seul...

Mais comme dirais la rue Ket, je parle trop, je n'écoute plus personne et plus personne ne m'écoute. Mais comment ais-je fait pour en arrivé ici?