Jeudi 26 juin 2008 à 23:27

Il y a des personnes qui vont toujours bien. Il y a des personnes qui ne s'inquiète jamais, et qui non jamais de raison de s'inquiéter. Il y a des personnes qui ont la belle vie, qui vivent se qu'ils veulent, on de la réussite, des facilités, de la chance même. Il y a des personnes qui ne se posent pas de questions, qui avance, qui foncent et qui non jamais peur. Il y a des personnes qui ne vivent ni de nostalgie ni de rêves. Il y a des personnes qui vivent leur vie jour après jours car à eux, rien ne leur arrive.  

C'est gens là, j'en fait partit... Des fois j'aimerais...

Préparer ma journée, l'organiser, se dépêcher même si on est fatigué. Ne pas craquer, rester fort et silencieux. Ne pas broncher, sourire même des fois. Faire attention à sois, car la santé ne suis pas. Ne rien dire à personne. Vouloir tout quitter, tout laisser tomber. Au point qu'après une longue journée, la tristesse vient, et l'envi s'estompe.

J'ai plus envi de rien, plus rien n'as de gouts se soir.

A croire qu'on arrive à sourire seulement quand on est défoncé...
Il faut être inconscient pour être heureux...

Dépressif? Non. Comment expliquer le jours ou les seuls rêves que l'on as, sont dans des univers irréel, que nos seuls rêves sont possibles dans un univers factice.

Dimanche 15 juin 2008 à 21:43




J'ai sauté, sauté, tourné en rond, en cercle. La musique me prenant dans son rythme endiablé. Je faisait du air guitar, et je chantait et je criait dans cette herbe verte. J'ai sauté, j'ai tournoyé, j'ai chanté à tue tête. J'ai sauté, j'étais en délire devant un public, mon public, j'étais sur scène, dans mon jardin et je chantait et je sautait. 

Puis, je suis tomber, mon pieds c'est tordus à ma réception.
On appel ça la realité
Sa fait mal la réalité, mais allongé dans l'herbe, en dessous de se ciel. Sa faisait plus rire qu'autre chose. Même si je ne faisait plus partit des étoiles de mes idoles.
 J'ai tourné la tête, et ma mère rigolait. Elle avais raison, il faut un peut arrêter de rêvé, et se relevé.

"Au boulot mon gros"

Lundi 9 juin 2008 à 21:01

J'attend... Je ne fait rien. J'attend que ça vienne et que ça passe. Je le sens, ça vas arriver, et pourtant, malgrer le fait que je sois préparer, je sais que je vais être surprit. Que je vais me faire écraser par l'évênement. On as beau se préparer, se dire que c'est inévitable, une fatalité. Quand ça arrive ça fait mal.
Le moment approche, je n'ai pas fixer de date de rendez vous, se moment vas m'écraser, me brouiller, et que restera t'il de moi? Certain disent que je me pose trop de question, d'autre me disent que justement, à ne pas vouloir savoir, on peut regretter.
Moi, j'aimerais juste que depuis le premier juillet on ne m'ai rien dit. Que l'on m'ai tout cacher, que finalement rien ne soit arrivé... Oui voila, que rien n'arrive...Sa serais si facile.


Samedi 7 juin 2008 à 19:01

J'aurais bien voulut recommencer à écrire, à vous dire se qui se passe par la tête, se qui me traverse et me transperce. Mais j'en suis incapable. Je me sens mal, je n'ai pas le moral se soir, et personne à vrais dire semble s'en soucier.
Je demande juste à être heureux moi, rien de plus. Mais voila, quoi que j'y face, il y a soi des con qui me mettent des battons dans les roues (car sa les amuses, ou simplement car se sont des fils de "...."), ou des personnes qui envoient des messages ou des e-mail comme une bouteille contre un mur. Ils l'envoient car pour eux c'est la seul solution, mais en face, la bouteille explose et fait du mal. Eux se sentent mieux, mais moi... NON.

Et il y a des noms comme ça qui deviennent tabou, la seul prononciation de ses quelques syllabes sont l'équivalent de l'ouverture des robinets d'un immense barrage... Oui, je craque, j'en peut carrément plus. Qui est ce qui m'écoute encore? Cela fait combien de temps que je n'ai pas put me confier à quelqu'un? Sa fait combien de temps que personne n'est là, quand j'ai besoin de pleurer dans les bras de quelqu'un?
J'en peut plus, je suis à bout.

Quand je pense que je n'avais rien demander moi...
Juste d'être un peut heureux.
La vie s'acharne...

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