Mardi 18 mai 2010 à 2:52

En dehors de mon chat qui reste au milieu de la route toute la nuit à attendre qu'une voiture arrive pour courir au dernier moment. Moi aussi je suis sur ma route, et je joue à ma façon. Je me suis toujours dit que se que j'avais l'impression de posséder, je l'avais perdu. Je pensait que c'était la considération autour de moi. La présence de quelqu'un qui m'épaule, qui me pousse vers le haut. Se sentir aidé. Mais ça, je ne l'ai pas entièrement perdu, car il restera jusqu'a un certain point, certaines personnes...
Je sais pas non plus vraiment quel  connerie je vais encore sortir, ou comme théorie sur moi même et ma vie. Car dire que cela revient à "la vie", serais hypocrite, l'analyse subjective d'un jeune sur sa proppre vie ne pourrais être universel. Ou sinon, je suis doté d'un talent bien plus prometteur que la théorie médiocre que je vais vous pondre. J'ai l'impression de vous faire attendre pour rien, alors:

Si je ne n'arrive pas à me retrouver, c'est que je me retrouve dans personne en se moment. Je n'aime pas, je n'arrive pas a me voire dans le futur, j'arrive pas à aidé. Je suis l'absent de la vie fantôme de la personne que je devrai suivre. D'un certaine manière perdu. Mais 'lost" est un trop grand mots pour décrire où je suis. Peut être pas trop grand, mais simplement vaste. Car pour moi tout est simple. La seul chose qui me fait alors gerber, c'est de me dire que pour le moment, je doit réfléchir seul.

Prévoir mes soirées seuls, prévoir mon lieu d'habitation seul, prévoir mon redoublement seul, manger faire les courses seuls, seul. Toujours se mot à la bouche il me rend fou.
C'est comme à l'éphigie de cet été. Je n'organise rien, je suis celle des autres... Tout en sachant que comme d'hab' mes plans serons différents car je doit compter pour moi, mais pas toujours pour eux. Je sens que ça vas faire comme l'année dernière. La question est, est ce que je leur en voudrais plus que y a douze mois? Des fois je me demande même si ils en auraient à foutre.

Comme dit yan "on devient vieux" on se rend compte que nous vivions dans un rêve, qu'il faut couper cour aux espoirs. Je le comprend, mais moi je ne peut pas vivre sans mes rêves. Je meurt déjà dans mon cauchemard, en réaliser un serais superbe. Mais qui croit encore en ses rêves aujourd'hui? Comment font ceux qui réalisent les notres? Voulaient t'il faire vraiment ça? 
Je croit que se qui me ferais le plus peur, serais de finir prof. Me dire, que je suis bon qu'à ça. Bon qu'a repéter en boucle se que l'on m'a déjà répéter pendant des heures... Pire que ça. Faire se qui me semble le plus triste quand on fait des études d'art du spectacle... Finir prof... Y as pas de justices, la vie est comme elle est. Et si demain, un pote vas passer un entretien d'embauche a Brico dépot, c'est que tout ça est bien fini.
Alors là le monde est encore plus injuste, car si je doit vraiment couper à mes rêves, alors devrais je couper cour à tout?

Parce que en dehors de se que j'aurais voulut faire, tout se qui m'entoure me dégoute. Des institutions aux ministères, des politiciens aux économistes, tout semble corromput. Même l'eau du robinet perd de sa clareté, de sa pureté.

Alors forcément tout venant essentielement de moi me semble bien. Le fait de créer, de jouer, d'interpréter, de réaliser... Il parait que tout cela n'est que du rêve. Que c'est pas possible parce que  mon papa n'est ni Gerard Depardieu, ni Drucker. Je n'ai ni un corps à présenter la météo sur canal, ni un charme à faire la publicité de machine à cafée. Bref, je ne suis ni taillé pour le cinéma, ni pour la télé. Je n'ai ni envie de lécher des culs, ni envie de sucer des...

Il me reste alors qu'un chois, vivre pour mes rêves ou survivre...
Je préfère encore tenté le tout pour le tout.
la déçeption sera plus amère mais moins nacrée par les remords.

Samedi 8 mai 2010 à 13:43



J'ai perdu mon ironie.

Dimanche 2 mai 2010 à 21:48

 Je t'ai parler comme un fou. Les mots sortaient plus vite que les idées. Forcément les premières qui viennent sont indéniablement mauvaises. Oui, j'aurais dut me taire. Faire abstraction de tout se qui me passe par la tête, et tenir le discours banal de chaque personnes qui se voient sur internet mais rarement en vraie. Et qui du coup, en disent le moins pour garder le minimum de d'aisance qui leur scie. Mais voila.
Moi je suis moi, et j'ouvre ma gueule souvent pour dire des conneries, car quand j'ouvre ma gueule, c'est pas que je pense vraiment se que je dit. Mais surtout que j'en peut plus. Est ce que du coup, je me venge en voulant être insurpportable. L'a tu mérité? L'ais-je mérité? 
Je croit que toute ses questions sont inutile. Ma connerie a été faite il y a un ans, et maintenant je t'en porte responsable. Le pire c'est que j'ai toujours fait ça. Sa ne m'a jamais aidé. Alors la réaction logique de tout le monde c'est de se barrer. D'allé voire ailleurs. Mais moi, je reste dans ma merde, et plus qu'avant car maintenant toi aussi tu n'est plus là.
Plus je m'engueule avec quelqu'un, plus c'est un appel a l'aide. 

Mais personne ne veux aidé quelqu'un qui gueule, qui pete un cable... J'aimerais juste avoir cette petite partie qui me permet de me vider. Et je parle pas de mon fichut blog. Il est là pour tout remuer cet enfoiré. Et je me rassure pas en lisant les pages précédentes. Il me faudrait juste quelqu'un. Partager. Je ne demande pas plus que ça. Mon partage est devenu minime, je partage plus rien avec personne. LA seul chose qui me reste encore un peut c'est mon temps, mes rêves, et moi... Alors forcément, on en demande plus. Toujours plus. Surtout que chaque rêve explose avec ma tête.

Mais personne comprend cet appel, alors comment me faire comprendre?

Caché tout et faire semblant d'être heureux, en attendant que sa arrive?

Ou continuer se long appel qui se reproduit chaque fois que je croise une
personne que j'ai aimé sur notre bien aimé net et qui me pousse à lui sortir
toutes les atrocités que ma tête peut créer.

Je suis désolé.

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