Lundi 26 novembre 2007 à 19:56





  Et tu est partie sans te retourner dans le noir de la nuit tomber. Tu est partie sans même me dire au revoir, en changeant de  direction.  Moi, je suis rester planté là sans comprendre, à te chercher du regard dans la foule de lycée en partance vers leurs gare respective.
Dans le car du retour de Paris, de cette journée qui devait être "inoubliable". Je n'avais qu'une idée en tête. Une question, une analyse interne de mon moi même, à propos de nous.

J'ai bien changer depuis cet été, je ne suis plus le même. J'ai perdu quelque chose, je n'arrive plus à faire rire les gens depuis se premier juillet 2007, quand je vidais la machine à lavée. Oui, je n'arrive plus à faire, je suis devenu passif, irritant des fois. J'en suis donc arriver à la conclusion amère, que si tu m'aime aujourd'hui, c'est que tu aime celui que j'étais. Celui qui parlais tout le temps, qui te faisait rire quand sa n'allais pas et non celui qui est au bord des larmes à chaque instant. Celui qui à besoin d'oublier se qui se passe. Celui qui attend, attend que sa arrive en ne pouvant rien faire.

On me dit de me plonger dans le travail, mais sa ne change rien. Comment se concentré alors qu'on à peur à chaque instant que quelque chose se passe. Comment se concentré quand on n'as plus confiance. Comment se mettre à travailler alors qu'on sais parfaitement que l'on sera incapable de passer le bac à la fin de l'année. Comment ne pas pleurer quand celle qui devrait être là pour nous aidé, se casse sans un adieu, sans explication, nous laissant seul dans la foule de lycéen abandonné à leurs discutions de fin de cours.

Voila Tioule pourquoi mes yeux brillaient derrière mes cheveux bouclé. Voila se que je n'ai pas voulut te dire, c'est trois fois rien, mais pour moi les petites choses compte beaucoup...

Et dire qu'il n'y a plus de reblochon chez moi
 

Dimanche 25 novembre 2007 à 15:33





Mais qu'est ce qui c'est passer dans se petit ballet que tu m'a fait? Mais qu'est ce qui c'est passer hier soir? Explique moi, qui ne comprend pas. Toi en face de moi sur se canapé, moi qui te rejoint et te voila qui fuit à cette table. Jeux du chat ou cache-cache, je ne comprend pas. Je t'ai suivit et te voila repartit. Mais qu'est ce qui c'est passer, qu'elle sont les mots qui me sont tomber dessus. Car hier soir, on as beaucoup parler de moi, et seul des brides de discutions sont arriver jusqu'à moi. Car dans le brouhaha des voies et des musiques, tout en étant rattacher à ton visage, derrière, mes oreilles comme celle d'un chat, était en radar à tenter de saisir leurs propos, vos propos.
Effet secondaire de produit ou suis-je trop parano, trop aux aguets ou trop bête simplement? Alors je m'inquiète, je me fait des films et pendant qu'elle fait des cauchemars moi je rêve...

Mais qu'est ce qui sa surgit hier soir de derrière les nuages, qu'est ce qui a frapper sa nuit de cette pleine lune infâme. Je cherche et je ne trouve pas, elle qui ne m'explique rien et qui me dit toujours à plus tard. Pendant sont sommeil j'ai voulut lui poser la question "pourquoi tu m'a fuit pendant une partie de la soirée". Mais voila que celle qui est concerné était plonger dans un profond silence. Dormait elle,  je ne sais pas, peut être que je ne veut pas même connaitre la réponse. Cela expliquerais pourquoi je l'ai simplement chuchoter dans la noirceur de sa chambre.

Ma mère m'a demander pourquoi j'étais "nostalgique"
"nostalgique" est le bon mot.
J'aimerais juste que sa soit parfait.
Mais malheureusement je ne te comprend pas...

Je t'aime

Samedi 24 novembre 2007 à 0:21




J'ai envi de vivre dans un métropolitain parisien. Me réveillez chaque matin dans un quartier différent, demain le quartier Latin. Visiter les ruelles, les impasses, traverser les trottoirs et rouler sur les toits. Traverser les  ponts en admirant les millier d'oiseaux de feu que le soleil jette dans la Seine.
Regarder les fenêtres et les bout de vie encadrer comme des centaines de petit court-métrage. Déposer mon regard curieux sur le visage des passants et sourire d'un air abrutit. M'assoir sur la terrasse d'un troquet et prendre un café avec Julie et parler de tout et de rien. De mes craintes, de mes sentiments, de mes craintes et de mes questions. On parle, on parle autour de notre verre et elle me rassure à chaque gorgée que c'était pas des mensonges. Que le temps est avec moi et qu'il suffit d'être intelligent.



Mardi 20 novembre 2007 à 23:23




Mais pourquoi j'ai prolonger ma soirée sur msn de quelques minutes. Mais pourquoi je me suis attarder à voire pointer son bout de nez? J'aurais faire comme on m'avait conseiller, allez faire mes devoirs et me taire... Car à l'évidence je parle trop...
Mais évidement, j'étais obliger de la croiser, de lui demander des nouvelles, de lui demander si le pôle nord était dorénavant l'équateur de sont coeur à mon égard. A non, je lui ai pas demander si elle m'aimais, ou se qu'elle pense de moi. Je lui ai juste demander si son attitude était faite de manière réfléchis et si elle se contentait de m'envoyer chier... Car je suis proche d'être une des personnes qui l'énerve le plus, comme elle m'a dit... Car je sonne faux... Elle s'en est allé en me disant salut... Moi je suis rester sur mon ordi avec mes doigts scier...

Comme d'hab'...Tant pis...

[PS:le temps que j'écrive cet article,
je me suis engueuler avec Lorinda
 car j'ai reparler à Valentine...
et deux d'un coup...]


Mardi 20 novembre 2007 à 20:56




Fumée qui monte au goulot, tête qui se jette en arrière pour la recrachée, les yeux qui s'ouvre et l'étouffement qui fait jaillir de nos lèvres les nuages de nos rêves les plus fou.


Et si la vie se contentait de nous offrir rien que ça? Si le bonheur se trouvait seulement dans les zones intemporel de rêve artificiel? Je sais pas, et n'étant pas sortit de cette zones de perturbations noronales, je ne peut pas répondre à des questions si profonde.
Alors, je fait quoi maintenant? Je fait rien, je poste sur mon blog en écoutant de la musique.

Mais vous savez de quoi j'ai envi? De simplement partir sur la route, la guitare sur le dot, la douille dans le sac avec la bouteille d'eaux. Marcher en faisant du stop, vendre mes accords sur les trottoir et échanger des sourires avec des pièces de quelques centimes. J'ai envi de m'assoir dans un parc municipal, la clope au bec et regarder le ciel. Mais tout se que j'ai moi, là. J'ai la pluie, mon clavier, mon chez moi... Je veux de l'aventure et du piment dans ma vie.

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