Et tu est partie sans te retourner dans le noir de la nuit tomber. Tu est partie sans même me dire au revoir, en changeant de direction. Moi, je suis rester planté là sans comprendre, à te chercher du regard dans la foule de lycée en partance vers leurs gare respective.
Dans le car du retour de Paris, de cette journée qui devait être "inoubliable". Je n'avais qu'une idée en tête. Une question, une analyse interne de mon moi même, à propos de nous.
J'ai bien changer depuis cet été, je ne suis plus le même. J'ai perdu quelque chose, je n'arrive plus à faire rire les gens depuis se premier juillet 2007, quand je vidais la machine à lavée. Oui, je n'arrive plus à faire, je suis devenu passif, irritant des fois. J'en suis donc arriver à la conclusion amère, que si tu m'aime aujourd'hui, c'est que tu aime celui que j'étais. Celui qui parlais tout le temps, qui te faisait rire quand sa n'allais pas et non celui qui est au bord des larmes à chaque instant. Celui qui à besoin d'oublier se qui se passe. Celui qui attend, attend que sa arrive en ne pouvant rien faire.
On me dit de me plonger dans le travail, mais sa ne change rien. Comment se concentré alors qu'on à peur à chaque instant que quelque chose se passe. Comment se concentré quand on n'as plus confiance. Comment se mettre à travailler alors qu'on sais parfaitement que l'on sera incapable de passer le bac à la fin de l'année. Comment ne pas pleurer quand celle qui devrait être là pour nous aidé, se casse sans un adieu, sans explication, nous laissant seul dans la foule de lycéen abandonné à leurs discutions de fin de cours.
Voila Tioule pourquoi mes yeux brillaient derrière mes cheveux bouclé. Voila se que je n'ai pas voulut te dire, c'est trois fois rien, mais pour moi les petites choses compte beaucoup...
Et dire qu'il n'y a plus de reblochon chez moi