Lundi 19 novembre 2007 à 19:31




Je suis rentré hier soir d'un voyage d'une semaine. Je suis rentré d'une semaine que je n'oublierais pas, je l'espère en tout cas. Comme le dit Yan:" J'ai rencontrer plein de gens", on à surtout vécu autrement, on à vécu comme on voudrait faire tout les jours. Revivre ses journées à l'infini. Tout en se disant que sa aurais put être toujours mieux. Cette envie que tout soit toujours plus parfait, cette obstinante idée que tout aurais toujours put être mieux. Toujours se problème du manque de satisfaction, sa me tue... A mais qu'est ce que j'ai à toujours me plaindre? C'est vrais quoi! Toujours là à me dire, c'était mieux avant, ou là bas, que sa aurais put être toujours mieux. Mais faut profiter mon petit! Pourquoi faut il absolument que je regrette déjà cette semaine?
Est ce l'idée de me dire que j'ai rencontrer des personnes avec qui je pourrais passer toute mes journées, mais que malheureusement je ne verrais peut être plus... Cette idée que se que j'ai vécu, c'était trop cours, que c'était éphèmère que hier j'étais avec eux, et que maintenant c'est fini...
Est ce le retour au cours? Me dire que la banalité vas reprendre sa marche et qu'elle vas me bouffer à petit feux pour faire de moi un homme bien blasé...

Je sais pas...
Si il suffisait de refaire le monde...

Mercredi 7 novembre 2007 à 13:30

Oui. J'en peut plus. Le travail que je fournis depuis hier pour rattraper le retard que j'ai prit depuis le début des vacances est sur-humain. Hier, en début d'après midi je suis allé chercher les films de Michael Moore dont j'avais besoin pour faire mon dossier de CAV que je doit rendre soit jeudi, soit vendredi. Depuis, je n'ai rien fait d'autre que regarder Fahrenheit 9/11, Bowling for Colombine et travailler sur ses deux films... A non, vous me ferez pas dire que je déteste Moore, je l'adore. Mais c'est le fait de passer deux jours de suite à ne travailler que sur lui.
Je sais pas se qui est le plus insupportable, le fait de travailler et de faire rien d'autre, ou d'avoir les conseils, les critiques et les idées de ma mère derrière.
Parce que je vous y verrais bien vous! A dire que ma maman elle est sympa de m'aider. Mais elle me décourage plus qu'autre chose! Surtout quand elle me dit que se que j'ai écrit, c'est le plantage assurer. Qu'on me demande pas ça... Elle à peut être raison. Mais franchement, on me fera pas dire se que je pense pas. En plus, moi je tente d'être objectif, mais c'est pas facile quand on est d'accord avec quelqu'un de ne pas dire qu'il à raison. Surtout que finalement, dans une analyse filmique, on demande un peut notre avis... Mais forcément là, on peut rien dire c'est de la politique...
Alors là, je me pose bien la question. Je travail sur les procéder qu'utilise Moore, mais les procéder sont là pour faire passer des idées, et ne pas dire les idées qu'il fait passer serais une erreur. Regarder. Si je dit que Moore fait cela, pour une certaine raison. Je doit bien expliquer le message, qu'il veux faire passer. Sans non plus être "subjectif".
Enfin voila, je voulais passer un message de secours car je perd la tête à cause du boulot. Si seulement y avait que ça... Sa serais beau... En plus cette aprem, j'ai orthodentiste.... Sa craint...

Bon, je vais manger. Pour une fois que mon papa vient à table avec nous! Je vais pas louper ça, non? J'espère juste pouvoir sortir cet après midi, allez voire une amie a Sainte Jeu'.

En plus, je me rend compte en me relisant, que même quand je tente de m'échapper de cet amas de travail, je me remet à en parler... Si quelqu'un pouvait faire mon boulot, sa serais un ange. Mais comme c'est bien dit c'est:" mon boulot"... Allez je vous laisse...


Lundi 5 novembre 2007 à 16:36


Je ne suis pas un acteur, je ne suis pas un menteur.
Je me suis juste tromper, j'ai juste fait deux fois la même erreur.


Lundi 5 novembre 2007 à 0:41





La lumière transperçant la salle et venant s'écraser sur le clavier, m'accompagne dans ma soirée. Je ne suis pas seul. Elle dort sur mes jambes, elle doit faire un cauchemar. Elle remue ses mains dans son sommeil et s'agrippe à mon genou. Elle voulait dormir dans la chambre de ma soeur aujourd'hui. Je lui ai expliquer que sa n'était pas possible, se soir elle est rentrée chez elle. Elle à pourtant forcé du regard pour que je la laisse passer. Mais elle sait que j'aime pas la laisser seul.
Moi de mon côté, je suis content. Je ne passe ma soirée si seul que ça. Heureusement que ma chatte reste à mes côté pour me tenir le moral. C'est pas si facile de se retrouver en vacances à 18 ans, avec rien à faire à partie 23h.
Mais c'est pas grand chose, on vit quand même...
Alors je m'imagine la soirée, là bas. Sur son psedo msn, elle dit quel est encore en fête chez elle. Enfin, non. Elle n'est pas en fête, mais en fete... Si seulement il n'y avait que la faute qui m'agaçait. Hier, je lui ai dit que si je crevait sa lui ferait pas grand chose. Elle ne m'a pas répondu... A croire vraiment que je ne suis plus grand chose pour elle.
M'enfin, je ne m'imagine même pas la soirée. Car je sais pas comment je pourrais réagir. Passer une dizaines d'heures dans cette maison pleins de souvenirs. Je croit même ne pas avoir évoluer depuis... Etre capable de pleurer des heures dans ses bras, et elle qui tente de s'amuser, se retrouve avec un boulet sur les épaules.
Mais il faut comprendre, rien qu'une bouteille de soda, un radis du jardin, des nouilles chinoises, les vaches kiri, le jardin et les aprems shisha dans l'herbe, évoque des souvenirs. Comment ne pas craquer... Se rendre compte un après midi, au téléphone, que finalement on ne reverras plus jamais tous ses lieux. Que c'est fini, les souvenirs sont égorgées, ils continuent seulement à vivre encore dans mon coeur. Qu'ils battent encore après la mort et que je suis incapable de les achever, car ils sont pour moi certains de mes plus beaux instants de ma vie.

Mais elle, elle s'en fou. Elle fait la fête depuis trois jours chez elle... Et depuis trois jours, je me couche avec cette dégueulasse envie d'en finir avec ses souvenirs et pour de bon. Pour qu'il n'existe plus, il faudrait juste que je les oublies. Car de sont côté, sa semble évident. Sa n'était rien. Qu'une ballade, de deux mois dans le coeur d'un garçon.

Moi, j'en peut plus. Je me sens naze en se moment. Vide de tout objectif, j'ai pas envis de me lever, j'ai pas envis de me coucher. J'ai pas envie de bosser, j'ai pas envie de jouer de la guitare, je veux juste que sa ne dure plus comme ça... Ou que sa recommence... Ou que sa commence...

Dimanche 4 novembre 2007 à 1:26




Passer sa soirée devant l'ordinateur, à écouter de la musique et en parlant tout seul sur msn. Quelle splendide soirée. Je m'amuse! Oui, je sais, je n'ai pas à me plaindre. Non, pas que je n'ai pas à me plaindre, mais que je me plaint déjà trop... Et pour cause, je vais vous parlez de se qui m'est arrivé hier.

Hier, alors que j'étais dans mon lit en train de regarder un de ses fichus film d'amour "heureux". Je le classifie dans "heureux" car la fin finie bien. En tous cas, au moment où le Monsieur et la Madame s'embrasse au milieu de la route, je me suis retourner dans mon lit pour me mettre en position foetale et des ignobles petites larmes se sont misent à sortir.
Je le prend un peut sur l'ironique, car sa faisait bien longtemps que je n'avais pas pleurer. Mais une folie c'était emparer de moi. Je m'en voulait, je tapais du point contre le mur, tout en criant quelque chose que mon esprit à vite fait de classer dans les phrases que l'on sort dans ses situations, le fameux: "Mais pourquoi?"
Ha bas oui, le pourquoi... Le pourquoi, on le sait, on le sait tous à se moment là. Mais on se repose bien la question pour savoir si c'est bien de notre faute. Si finalement on ne peut pas expliquer notre faiblesse, nos erreurs, nos remords. On ne veux juste pas se l'avouer, on encore pire, que cela intervienne dans notre vie de tout les jours... Alors on évite de penser à tout ça. On regarde la fin du film et le couple heureux dans leur maison de campagne.

On se lève, on sèche nos larmes et on roule un join pour dormir plus tranquillement. On met du saez dans la chaine hifi et on s'assit contre l'armoire. Les fesses contre le sol froid. On regarde notre création tout en sachant que dans quelques minutes tout sera fini. On l'allume en chantant les paroles qui nous berce depuis des années déjà. Alors que tout nous monte à la tête on lui dédie toute les chansons, des "Gorgeous" à des "Amandine". On se maudit pour ne plus avoir de crédit et devoir attendre le lendemain pour lui prévenir de notre état dépressif. Alors on se couche avec la musique à fond dans le noire de notre chambre, en fixant les murs...

Je lui ai écrit un sms se matin. Les mots calmes, emprunt d'un millième de la rage qui m'habite depuis se début de mois de Juinoù tout c'est écrouler. Tout à changer, tout le monde à changer. J'ai des excuses à donner, autant que des adieux à faire.


La vie est une garce
et moi un salo.

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