Jeudi 5 juillet 2012 à 2:10


Petite plante


Je vient nourir mon potager et comme hier j'ai planté les graines d'un renouveau, je me doit de l'arroser aujourd'hui pour ne pas qu'il se meurt. Comme cette petite plante, beaucoup de chose on besoin de cette attention. Mais certaines plantes sauvages fuient se genre d'attention. Elles ont besoin de leurs liberté, de se sentir libre d'allé au gré du vent. Que leur senteur voyage au dessus des jardins, brise les barrières et profite de la nature. 
Mais que faire? Car le jardinier, amoureux de ça plante, ne peut s'empecher de la contempler chaque jours et peut importe les fruits qu'elle apporte, elle est belle, car tel l'amour, on l'a vue grandir, peut être même à tel surprit tout le jardin, poussant là où nul ne l'attendait.  Mais cette déboche de sentiment est incompatible avec certaines, qui vivace se débatte pour respirer. Elles ne veulent pas de confort, elle ne veulent pas qu'on les chérisse à en étouffer les racines. Elle demande l'impossible, l'amour du jardinier, et la liberté de la nature. Qu'est ce que des fraises sauvages dans un jardin? Peut on les apprivoiser, peut on leur faire admettre qu'elles sont là, et que le destin à fait son travail, et la nature sont chemin.
Peut on leur faire confiance? Car triste est le jardinier découvrant la fin d'une pousse.
En a t'il trop fait, avait elle eu toujours besoin de cette liberté tel un oiseau qui se pose quelques instant sur une branche pour repartir plus loin chanter son bonheur.

Je n'ai trouver réponse. Demain je devrais retourner dans son jardin, et je ne sais si je devrai lui laisser cette pousse sauvage. A t'elle réfléchis où est la meilleur terre? A t'elle imaginé où elle se sentirais le mieu? Je ne sais pas, et la jardinièrere qui me connais le mieu, m'a conseiller de la laisser respirer. 
Mais je suis amoureu de ma plante, et j'ai trop peur que cela soit la dernière fois que mon regard se porte sur elle.
Je sais que je ne pourrais pas l'arroser de joie pendant tout cette sécheresse et pourtant je doit admettre mon impuissance.
Toute les boutures ne donne pas, tout les graines ne poussent pas.
Alors pourquoi remplis-je encore mon arrosoir?

Mercredi 4 juillet 2012 à 2:44


Poussières



Je suis sur le palier de ma vie, je retourne sur le dolmen de mon passer et me dit que je peut réouvrir la porte que j'ai fermer. Pas que j'en ai envi, mais qu'aujourd'hui j'en ressent le besoin. Les oreilles se sont tourner, les pages aussi et je me perd. Je me suis perdu à en oublier mon film préférer à renier une partie de moi. Comme si je voulais oublier le temps qui passe. Je n'ai jamais vidé les cartons, je ne me suis jamais vraiment installer, je ne me suis jamais vraiment senti chez moi et dans la solitude de mon lit, je ne pouvais que dépoussièrer cette partie de moi, car je ne peut plus dire tout ce que je pense sans vraiment blesser. Est ce que hier j'était plus calme, avais-je ma proppre thérapie. Ai-je perdu ma force? Suis je encore moi même? Me suis-je perdu en route, ou me suis je tout simplement abandonner le long de la route.
Je ne sais pas. Demain je doit ouvrir les cartons, admettre que c'est mon nid. Pourtant des années qu'ils sont là, et des années que je ne suis pas revenu. Qu'est ce qui explique que aujourd'hui tout est différent. Au point où je revienne ici?
Ais je a nouveau besoin d'éviter l'inévitable, ais je vraiment besoin de tout ça... Je ne sais pas.

Ca fait un bail que je ne suis pas venu ici, comme ça fait un bail que je ne suis pas allé le voire, est ce que tout est lier? Est ce que j'ai commencer à arreter de me confier à mon clavier pour éviter de trouver les mots, ou car je ne les aient jamais eux. En tout cas, je doit dépoussièrer, pas suprimer le passer, mais lui redonner vie. J'ai été quelqu'un avant, j'ai été apprécier, j'ai été entourer. Le temps a créer des vides que je ne pourrais jamais combler. Mais que puis je faire pour résister?

Je te demande ça à toi, celle à qui je dit tout. Celle que je croit à moitié perdu. Des fois, je me dit que comme lui j'ai peur. Peur de tout perdre, tout ce que j'ai construit, peur de manquer, peur de devoir abandonner ceux que j'aimes, ceux qui comptes. Des fois j'aimerais le rejoindre, la vie est trop dure ici, trop injuste et rien ne rend cette vie moin poignardante. Elle reste toujours ce qu'elle est sans que je ne puisse y faire grande chose. J'aimerais modifier la donne, me redonner ses ailes qui permetaient de voire au loin sans craindre. Mais dès que mes mains touchent quelque chose, tout se fane, tout disparais en poussière. Alors que me restera t'il?

L'odeur de ses poussières, leurs gouts et leurs couleurs. Des bribes de souvenirs disposer en article, découper en des mots que je chéri aujourd'hui. Car la clef est toujours là. Mais ouvrir cette porte veux en dire bien long, J'ai besoin de m'y retrouver, de m'y enfermer et d'oublier. Le présent, le passer? Mon avenir aussi est poussière, que construire, que devenir, que regretter... Je ne sais pas.

Depuis j'ai vécu, j'ai voyager, j'ai connu, j'ai rencontrer,j'ai déçut, j'ai crut, j'ai détester, j'ai gagner, j'ai aimé, j'ai perdu. Mais je n'ai pas l'impression d'avoir grandit, quand on se construit sur des cendres on s'enfonce... Alors il faut revenir a la base, là où tout à commencer, là où tout allais encore bien, là où la solitude n'existait pas, là où tout pouvait être dit, là où je suis.

Ici.
Et maintenant

En poussières.
 

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