Alors que la nuit est déjà tombée sur mon petit village de Picardie, et que je ne suis pas encore retombé du nuage que furent ses vacances. Je me retrouve à taper sur mon clavier du bous de mes doigts aux ongles non tailler. Comme l'avais deviner Naftaline, je n'ai pas résister à l'appel du clavier, et de tous les mots, de toutes les phrases, de tous les textes qui me sont passer part la tête et qui trottait dans ma tête depuis tant de jours.
Mais à vrais dire, si je devait rester en Vendée ou retrouvé tout se que je n'avais plus en là bas. Le chois serais vite fait. Cela m'a rendus différent, je suis déjà nostalgique de tout se que je vient de quitter. De plus, l'idée de reprendre les cours, c'est pas non plus une grande motivation...
Enfin, cela ne commençais pas pour le mieux. Des voisins étranges, des jugements donné à la vas vite. On était les "Baba-cool" du camping avec notre guitare, selon les parents d'un fashion... Un temps de merde... Car oui, c'est beau la Vendée, le bords de mer, les falaises... Mais pas sous la pluie et avec de grosses bourrasques de vent... Alors avec Yoan, on a squatter les bars, les billards, de Talmonts. Le deuxième jours, après une soirée arrosée, j'ai fini dans les W.C du camping à vomir mes tripes. Cela faisait déjà si longtemps...
C'est con à dire, mais on avais la blase quand on rentrait dans le camping tous les soirs. Retrouver le fils obèse du mobilhome voisins, qui nous regardait de son regard malsains du haut de son VTT rouge. Alors on se fumait notre petit pet du soir, pour décompresser. Pour ne pas rester trop dans la réalité... Ensuite, on se promenait dans les allées à demi éclairée du camping en imaginant de drôles de choses... On se prend à imaginer le camping en Western, on vois des abeilles dans les graviers et des gens dans les extincteurs. On se met à dealer des laitues dans les sanitaires publique de notre camping. On sourit d'un rien, de bêtises, de rien et le lendemain matin, on se réveil au crie des enfants sur leurs tricycles qui pédalent vers la piscine.
On se lève et on fait un café dans le froid. On se plaint, on ralle et on se plaint encore. Comme si cela était la meilleurs des choses à faire. Alors pour passer le tous, on part au bar du camping et on se fait un billard. Comme si cela pouvait tout changer. Vingt minutes après, et 2 euro après... On se retrouve comme avant. Alors on prévoit de rentrer plus tôt.
Au bous d'une semaine, de 6 jours de mauvais temps, de billard, et de défonce. Le beau temps arrive avec de nouveaux voisins.
Enfin, des nouvelles voisines. Mais que sont venu faire six jolie fille dans un bungalow en face de deux minables tantes de "Baba cool" qui se plaignent toujours? Je ne sais pas, en tous cas cela fut la bouée de nos vacances... Mais bon, il ne faut pas oublier Fehmi, un voisins guitariste qui passait dès que Yoan et moi sortions la grat. Un brave père de famille, ancien musiciens de la première tournée de Kery James qui avait participer à toutes les étapes de la tournées.
Mais bon, comment expliquer que notre séjours si pittoresque puisse si subitement tournée au soleil?
Alors revenons au temps, au bous du septième jours, le beau temps et la chaleur et venu nous rejoindre en même temps que nos nouvelles voisines. Alors les déjeuners, les diners on déjà une autre couleurs. Trois jours passent et on observe ses êtres étranges que l'on ne connais pas. Jusqu'à la soirée "disco" que l'on critiquait déjà avec Yoan. On avait plus rien à fumer, alors après avoir fini la bouteille de Whisky avec Fehmi, Yoan et moi. Cédric (le seul fashion potable) et moi somme allé danser en étant complètement péter, et quand l'un de mes voisins m'a appeler pour me faire fumer, j'ai sortit à une amie d'un autre groupe de jeune, que nous allions draguer.
Quand je suis rentrer et que j'attendais Cédric pour retourner sur la piste de danse, mon "Amie", me trouvant grande gueule, ma pousser à faire un slow avec la première fille qui passait... La pauvre Alice, j'ai dut lui marcher au moins trois fois sur les pieds pendant se slow. Toutes ses amies se sont mi autour, en cercle et se sont mi à danser autour. Je me collait alors contre elle, alors que la première approche et la timidité venait de tomber. Quelques mots après, et j'étais inviter à boire un verre avec Cédric et Yoan dans leur petite maison à eux.
Je vais pas dire que l'on à été de véritable gentleman se soir là, on a bus tous se qu'il y avais sur leur table. J'étais mort, tous comme Yoan. On est allé se coucher après des multitudes de jeux de cartes comme si rien n'avais changer. C'est alors, que pour la première fois des vacances, je dit clairement ceci à Yoan :"Tu trouve pas que Alice à un petit air de Valentine?" et aussi admirable que cela puisse être, la réponse de Yo fut suffisament claire "Non, c'est que t'est bourré.".
Le lendemain, le mal de crane, enfin tous se que l'on a après une longue soirée. On passe alors l'aprem à la piscine, tout en sachant que les filles allaient en boite le soir même, se qui signifiait que nous pourrions pas les revoirs et donc pas pouvoir juger de ma remarque. A 20h, entre deux nuggets frites achetées au snack, Cammille vient nous voire pour nous proposer d'allé avec elles.
Une belle soirée, une très belle soirée au Malibu. Une boite qui passait de tous, une boite construite sur la pointe d'une falaise. De la terrasse , la vue de la mer illuminée par la pleine lune était magnifique. De la musique, des kékés, des clopes, et deux slows. Deux slows que j'ai esquivé pour m'appuyer contre la rambarde de la terrasse, à admirer la mer.
Les vagues, la mer, sous la lune ressemblaient à une mer de poissons. Il n'y avais pas d'eau, que des poissons qui bougeait, qui gesticulaient comme un amas de vers de terre... Là, je me suis mi à pleurer... Une forme, une ombre se dessinait dans les vagues... Des larmes, qui sortent on ne sait pas vraiment pourquoi, mais seulement pour qui...
[toujours en rédaction, je met petit bous part petit bous, pour éviter les bugs...]