Samedi 4 août 2007 à 12:51

Ya une souris sous mon meuble d'ordi...
J'écoutais tranquillement Cocorosie, j'ai vus un truc bouger,
J'ai baisser le regard et je suis tomber sur une petite
souris...



Sa ne peut que me rappeler celle de mon évier, que Tabatha avais attraper au bous de quelques jours. Il me reste la question fatale, qu'est ce que je fait? Je me lève et je le dit à mes parents. Je la laisse vivre comme si de rien était. Je plante un de mes nombreux chats devant la porte? Je sais pas, je pense que je vais la laisser vivre. J'adore les petites souris, même si elle ne sera jamais un animal de compagnie. Elle deviendra pour moi une amie. La voire sortir au hasard, me donnera le sourire. Sa sera comme un gage de bonne journée, comme les roulées. Tien, j'aurais peut être dut lui laisser des "Tuc", peut être qu'elle aussi elle aime les "Tuc". Je remet Cocorosie, la chanson K-hole. Peut être qu'elle vas ressortir...Bon c'est leur d'allé à table.

PS:elle est pas ressortie.


[Dans le prochain, article. Je veut du Metallica.]

Samedi 4 août 2007 à 3:45




J'arrive pas à dormir, pourtant je sais que je suis fatigué. Que j'ai une tête de déterrer. Que demain matin faut que je me lève à une heure raisonnable pour bosser dans le jardin. Que j'ai passer ma soirée déjà devant l'ordinateur à parler à des personnes qui ne sont pas là. Mon écran est brulant, et ma tête aussi. J'ai mal à la tête... J'ai envi pourtant d'avoir la tête qui tourne, mal au foie, de tituber, de marcher de travers, de partir mal. De tomber dans ses bras, dans les bras de l'inconscience. Qu'elle me relève jusqu'à son lit...Dormir dans le lit de l'innocence, et se réveiller dans celui de l'impertinence.
Car demain, je ne serais peut être plus le même. Car j'ai dit que je changerais, et que je sais pas si le dire est suffisant. Je ne suis pas une chenille. Je ne me transforme pas en beau papillon du jours au lendemain. Je préfère rester, l'escargot et trainer ma coquille, que vivre une journée plein de beauté et de gagner l'éternité dans les chansons sur les "butter fly".
A demain, de toute manière... On verra bien de quoi sera fait l'avenir.

Vendredi 3 août 2007 à 21:24




Alors que j'écoute pour une énième fois David Bowie aujourd'hui. Que le soleil vas rejoindre son chaleureux lit. Que j'allume la lampe au dessus de mon clavier. Que je suis rester à admirer mon nouvel habillage de blog. Que demain je vais chez Lorinda, que sa fait longtemps que je ne l'avais pas vue...  Que je suis heureux de voire quelqu'un de féminin autre que ma mère. Que je n'ai pas griller une clope depuis 11:20 et que chaque fois je repousse à l'instant prochain. Que j'ai couper la haie cet aprem, que j'ai encore beaucoup à bosser. Qu'il me reste à faire un scénario de cours métrage, de tourner le film ensuite. De préparer mes affaires et économiser pour partir avec Yoann deux semaines en camping. Que j'ai trois tonnes de livres à commander et à lire ensuite. Que je n'ai pas la moindre idée de la chanson qui vas illustrer cet article qui n'as pas grand chose de spécial. Appart une triste énumération de cette après midi. Car comme vous devez l'avoir comprit, j'ai déjà trop parler d'hier. Bof, on parle jamais trop des sujets qui fache, non? Enfin, moi j'avais dit que je stoppait un peut avec. Peut être que sa me ferait plus tôt réfléchir qu'agir comme un pov'con de garçon.

[Je sens déjà Mélodie sauter de joie devant son ordi
pour la chanson que j'ai finalement  sélectionner]

Vendredi 3 août 2007 à 12:49



[Photo de Barcelone de Gauche à droite: Jeremi, Thomas, Myrtille et moi]



J'ai passé une bonne soirée hier soir. J'étais pas entièrement KO  mais  j'avais du  mal. Du mal à gérer se que j'étais. Je ne fut pas le mec incontrôlable, que l'on doit porter. Nan, j'étais indépendant. Juste bourrer, rien de plus. De toute manière il y a jamais rien de plus... J'aimerais tant finir dans un caniveau. Sa fait tellement longtemps. J'ai l'impression que plus rien ne peut me "tuer" (apart le pastis que je déteste). Mais bon, je dit ça. Mais j'ai quand même des regrets. Les regrets du bon garçon qui se rend compte de se qu'il a fait le lendemain matin, le regrets de ne pas avoir de remords. Aucun remords ne vient, il fallait bien qu'il le face ou plustôt le reface un jours.
Hier, les seuls vingts minutes où je suis rester seul. Je me suis précipiter sur l'ordi et je suis allé sur son blog. J'ai pas beaucoup écrit. Quelques phrases, rien de plus. J'avais déjà trop de mal à écrire. C'est étrange, dès que je suis chez lui, qu'il vas se coucher et que je reste tous seul, je fait la même chose. Les deux seul fois, où il m'a laisser. J'ai fait ça. Je suis passer sur son blog, pour voire se qu'il y a avait de nouveau. J'avais envie de lui parler, comme toujours vous me direz.
Mais il faut que je lève le regard vers l'avenir et non vers le passer. Ma grande soeur n'as pas tord. Il se peut bien que j'idéalise je passer avec elle. J'aimerais des fois dire qu'il n'y a plus rien. Mais je suis pas un bon menteur. Alors je peut qu'éviter dans parler, même si tous devient banal sans elle. Cela voudrait aussi dire, que je n'aurais pas grand chose à dire sur ces pages de mon blog. Mais bon, avant je parlait de quoi? Je ferait comme avant. Je métaphoriserait des états. J'en parlerait part métaphore, je me rendrait incompréhensible des autres. Je serais le seul à traduire mes mots. Je serais fière de moi... Et personne ne me comprendras... Comme lorsque je parle dès fois...

[J'aimerais être une cacahuète, que l'on me prennent au hasard dans un lot
et que je vous donne un plaisir éphémère... ]


Mercredi 1er août 2007 à 17:41




Comme on ne s'arrête pas de fumer du premier jours;
On ne s'arrête pas à aimé des les premiers jours...


Hier soir j'ai fait une erreur, comme lorsque l'on dit une méchanceté au milieu d'une discutions amicales... Hier, j'y ai encore penser et pourtant rien ne mi obligeait. J'étais assis sur le clic clac de Yansene. Je sais plus se que l'on faisait, on devait surement regarder la télé, une série, la pub ou une émission bidon. En tous cas, j'étais heureux. J'étais avec lui, on n'as peut être pas fait grand chose en deux jours, mais en tous cas sa me faisait plaisir de le voire. Enfin, je devait surement avoir mon sourire abrutis que j'ai des fois quand je suis heureux.
Je sais pas pourquoi elle est venue comme ça, dans ma tête. Pourquoi je me suis demander se qu'elle pouvait faire en se moment, alors qu'elle vient de rentrer de Norvège. Le genre d'instant où tous se coupe autour de toi. Elle était là, dans mes yeux, dans mon esprits, elle absorbait ma présence. Je n'étais plus dans la chambre, plus sur le canapé lit, je n'était plus un solide. Mais un esprit qui planait et qui venait se planter au dessus d'elle. J'étais enfin avec elle, comme je le rêvait depuis des semaines... Cauchemar... Mon dieu... J'aurais jamais voulut voire se que j'ai vus.
C'est la longue chute, celle que l'on ne peut pas arrêter, celle où le sol se vois de loin arriver. On sens la vitesse augmenter, le vent traverser nos vêtement, transpercer nos sentiments. L'amour ne fut pas mon parachute car il ne ralentit pas l'impact... Se fut le poids de nos liens qui me plongea dans le noire, enfin... De mes liens... Car tu t'est aliéné à quelqu'un d'autre...
J'en peut plus... Ton absence est déjà dure... Mais se demander se que tu fait, et te voire avec l'autre, avec lui... On m'a parler d'un "Flo" a Barcelone, j'ai juste répondut:"J'aime pas les "Flo"?" On m'a alors demander pourquoi, je n'avais pas d'argument, car l'argument c'était toi et je n'avais pas l'intention de leur expliquer, pourquoi, "le" pourquoi.

Les erreurs, c'est comme un accident sur la route;
On pense jamais en faire, mais le jours où ça nous arrive,
On se rend compte que l'on était mal assurer.

J'aurais voulut changer trois petits points dans ma vie.
Tu est le seul qui reste humainement accessible.
...

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