Dimanche 12 août 2007 à 2:40

Vendredi chez Cristophe, sa fut les soirée simple et sympa que j'aime bien. Des soirée où l'on attend toujours plus, mais se que l'on a nous fait déjà énormement plaisir. Une petite soirée à trois, dans un appartement... Le bruit de la musique Métal de Cristophe, avec des pauses Klub des loosers, le claquement des cap's contre les bières, les rires qui partent. Casser des glaçons avec son crane sur une table... Une discutions politique de quatres heures, autour d'une chicha qui fini à 6h30... Le lendemain, la tristesse de voire que la sortie prévut avec Lorinda est annulée. Dommage, de toute manière, se genre de chose, c'est toujours comme ça.  Que cela ne tienne, cela me permet de rester plus de temps chez Cricri'. Sur le chemin du départ vers chez Lorinda, je croise Hugo. Sans trops se demander pourquoi, dès que je le croise, je monte dans sa voiture. On se retrouve après un passage chez moi et ensuite chez lui, avec tous le groupe, Yan, Mélo et les deux maries. Une mise au point chaostique, pour leur organisation de soirée. Sa ma fait plaisir de les voires. Les véritables instant de bonheur que j'aime dans les "surprises" de la vie. L'idée de se dire que l'on vas prendre le train, et que l'on vas galérer pendant peut être trois heures devant une porte de maison, à attendre que la proprio rentre de la mer de sable. Là, subitement on croise un amis et enfin, vous savez déjà un peut...la suite de l'histoire. Un départ de Beauvais à 6 dans la caisse, les gens qui nous montres du doigt en criant :" Il y a un pack!". Crissement de pneus, "Merde, le pack... Il était rester sur le toit!"... On part vers St martin, on récupère Florence, et 'op, sept dans la petite voiture de Hugo. La musique à fond, le caisson de basse qui tambourine notre dos. Tété, Anis...Tout y est passer, tout le monde chantait à tue tête des paroles épicées.

C'était bien, c'était sympa de tous les revoirs ensembles. Comme ça part hasard. De se retrouver l'espace de quelques minutes dans leur galère (surtout quand Hugo n'as presque plus d'essence)... Mais bon, j'ai dut les quitter pour passer la soirée chez Lorinda. Nan, au début pas de regrets. Mais maintenant sa monte légèrement... Je suis déçuts. Pas qu'elle fut bourrer avant minuit, nan même si cela énerve sur le coup... Nan, quand elle vas se coucher sans dire mots, sans prévenir, sans dire aurevoir... c'était surement notre dernière soirée avant septembre, j'ai l'impression que tu ne t'est pas rendut compte se que la representait pour moi... Mais bon, se n'est pas grave... De toute manière, part gentilesse je te laisse dormir seul, car tu n'aime pas dormir avec quelqu'un à tes côté... Alors, je vais surement trainer un peut sur l'ordi... Passer mon temps, faire mon blaser, écouter de la musique dépressive, enterre mon idée de me promener dans les champs au milieu de la nuit...

J'avais beau passer les meilleurs instants, des moments où l'on se sent privilégier, ou l'on vois la vie nous sourire... Comme dans la camionette, quand l'on à fait un détour parmit les petits chemins pour pouvoir écouter Sweet Home Alabama entièrement. C'était bien, j'ai adorer, j'aurais voulut que la soirée soit entièrement comme ça... Alors, je ne vais pas me coucher, me dire que je vais finir la journée comme ça, sans avoir le sourire. Sa me ferait chier... Mais sa n'est pas seul devant un ordi, à deux heures du mat que je vais trouver le bonheur... Mais se qui est sur, c'est que le bonheur, je ne le trouverait pas se soir... Et cela dure déjà depuis pas mal de temps que je passe chez toi...

Des articles sans réel but, des articles sans sens... Qui s'évapore dans les mots et se retrouve la nuit dans les rêves d'un écrivains malheureux, triste, fou et fatigué...

[petit problèmes de musique chez lorinda, en rentrant, je mettrais POD - Youth Of A Nation]

Vendredi 10 août 2007 à 2:42

 



J'avais envie d'écrire aujourd'hui;
mais je ne trouvait pas mes mots, je n'avais ni le courage
de chercher, ni de trouver.
Je n'avais pas le courage de trouver les mots qui pouvaient  traduire
mes sentiments...

Le caisson tambourinait mon coeur sur un rythme de Bob Marley. Sur la départemental, la route défilait, et plus on avançais plus je me rendait compte qu'elle avait retourner mon coeur. Comme un coffre à jouer, lorsque que l'on ne trouve pas se qui si trouve au fond. J'étais chambouler, renverser, et pourtant il avait fallut d'un rien. De quelques minutes, de quelques mots...
C'est une histoire à pas de chances, une histoire bête comme toutes les histoires...Mais je ne ferais pas d'histoires pour ça. Il parait que ça n'en vaut pas la peine. Alors je me tourne vers l'avenir, je coule mon mal de mer dans la marée qui inonde mon coeur.
J'ai besoin de savoir ne pas faire de mal à ceux à que l'on aime.

Se son le genre de textes tristes, qui me passent part la tête et qui sont de circonstances. C'est textes là, je n'aime que le début. Car le début est réfléchi, et le reste me vient comme une vague, une vague que je contrôle pas... Alors je l'écrit, et je tente de la calmer au gré des mots. Mais rien à faire, je ne trouve pas comment faire.

Mon envi d'écrire, celle qui est partie et qui est revenue est due à un seul blog. Je suis tomber dessus part hasard. Je ne m'attendait pas à trouve cela sur le net. Un peut de surprise. C'est le blog d'une personne qui raconte les étapes de sa vie...Elle raconte sa vie comme un livre, une écriture légère et touchante. Une écriture qui ma fait pleurer, car cette plume écrit avec son coeur... Elle écrit sa vie après son viol...  http://existence-ciel.skyrock.com

Lundi 6 août 2007 à 23:09




Parce que depuis pas mal de jours, dès que je fait quelque chose, je dit parce que dans ma tête. Parce que cette expression elle me ronge complètement. Parce qu'on l'utilise à tous bou de champs. Parce que c'est la plus simple des réponses quand l'on n'as pas d'arguments:"Mais parce que!". Parce que, quand l'on répond d'un parce que, cela veut dire plein de chose. C'est sombre...
Parce que je ne sais pourquoi j'ai se mot à la tête depuis déjà tant de jours. Parce que quand je rentre chez moi, quand j'allume la lumière dans l'entrée, je met la main dans des toiles d'araignées. Parce que, quand je suis bourré, je fini jamais le plats que j'entame. Parce que j'ai trouver pire qu'une drogue, mais shutttt! Parce que mon chat est monter sur mes jambes quand je fumait ma clope dans le jardin. Parce que je suis crever car j'arrive toujours pas à dormir. Parce que j'avais mal à la tête. Parce que cette pomme fut la première depuis un ans. Parce que lorsque je suis avec elle, j'oublie tout. Parce que j'aime prendre une frite pour un cobra. Parce que j'avais franchement envi de faire cet article. Parce que j'espère que après ça, je ne dirait plus parce que dans ma tête. Parce que j'espère que cela est une bonne cure.

[Parce que j'ai l'impression d'avoir oublier encore plein de choses...]

Lundi 6 août 2007 à 6:19



Je prévient, cet article vas surement en affoler plus d'un ou une;

mais sa devrait justement les rassurer, je prend
conscience de mes actes...
J'en tire une leçon, j'agis et je me sauve.

La soirée de samedi, c'était comme un puzzle. J'ai un blanc d'une heure, peut être moins, peut être plus. Je ne sais pas. Dimanche matin, je pensait me rappeler de tous. Mais, heures après heures. En me déplaçant, en passant là où j'aurais put passer chez elle. Les souvenirs remontent comme des icebergs... Il faut se méfier de la partie cachée. La première alerte que j'avais eu, était quand Lorinda m'a demander si j'avais pleurer de la nuit de samedi à dimanche. Je ne savais plus, l'alcool, peut d'alcool mais un peut qui avait atteint toutes mes fonctions. Au cas ou, dans tous les cas. J'aurais préférer ne pas m'en rappeler.Mais ses mots empli de sincérité, ne pouvaient être que vérité. Elle avais surement raison...    Pendant toute la matinée, mon portable était rester dans sa chambre. Quand il fut l'heure d'appeler ma maman... Quand j'ai récupérer mon portable dans sa chambre. J'ai regretter alors de l'avoir eu sur moi pendant la fête... Avant se fut son blog... La, j'avais envoyer des sms. Combien, je ne savais pas, se que j'avais écrit dedans. Il ne m'en restait plus qu'un, un qui avait échapper à mon habituel rituel du "j'écris, j'efface on n'en garde pas mémoire". Bref... Je me suis aussi rappeler que dans la nuit, j'avais demander quelque chose de coupant...Sa semble stupide, je ne savais même pas se qui me passait part la tête. Mais le puzzle n'était pas complet. Je savais déjà que j'avais passer une heure voire pas mal de temps dans la rue. Je tirais une de ses tronches...pitoyable que l'on peut avoir quand on est bourrer. Là, j'étais déjà inquiet... Mais qu'est ce qu'il m'était passer part la tête. Qu'est ce que j'aurais fait si je savais où en trouver de ses fameux objets coupant... La dernière pièce est arrivée dimanche soir, quand j'ai croiser Valentine (la victime de mes sms... en gros mon ex). Bref, mon apocalypse psychologique fut causer par nos vieilles histoires. Je connais enfin la nature du sms... D'un des sms qui me manquait :"ta décider de plus jamais me parler ou quoi? Et je suis désoler si je chercher à faire des connerie!"...

Il est certain que je pourrait faire porter le chapeau à personne d'autre que moi. Les relations tendues que nous avions sont devenue plus amicales... Enfin, on a parler 5 minutes sur msn sans s'engueuler. Et je me suis permit de faire des blagues sur "nos relations". Un sujet qui aurais dut être tabou. Donc, quand j'ai apprit ça... Choque... Je fait une pause niveau alcool, j'attend d'être "heureux". Ou plus tôt d'avoir moins de problèmes pour reboire. J'ai pas envi que l'on me retrouve... bref... Se qui me rassure, c'est que si on se reparle. Sa ne risque pas de se reproduire...




Dimanche 5 août 2007 à 23:16




Parce que cet après midi, je me suis rendu compte lorsque qu'elle est allé me chercher une pomme, qu'il fallait que je parle d'elle ici. Il est bien évident que j'avais déjà parler d'elle avant. Mais jamais directement. Sous forme de code, sous forme de métaphore que moi seul pouvait alors comprendre. Je n'avais pas l'intention avant de retourner chez elle d'en faire un. Mais après cette soirée et cette journée avec elle, je me suis rendu compte qu'elle contait bien trop pour moi, pour en parler de façon cacher. Mais bon avant tout, avant de dire tous le bien que je pense d'elle. Je vais mettre une petite photo (t'inquiète pas, j'ai mi la plus floue).



Je ne parlerait pas de "notre" histoire, car sa ne fut pas toujours un conte de fée, car beaucoup de larme on été versée. Mais passons, sa ne fait rien. Je ne suis pas là pour parler de nos, ou de mes malheurs. J'en ai déjà suffisamment parler ici sur se blog. Mais à force de parler, je vais oublier se pourquoi je me suis mi à écrire. Alors... Les longues histoires, sont toujours difficile à entamer. On ne sais part qu'elle morceau commencer. Par peur de couper l'appétit aux lecteurs assidu que j'aimerais avoir.
Je sais que moi, quand je passe sur un blog et que la personne commence à parler de quelqu'un que je ne connais pas. Je ni prête pas attention. Car rien ne me sert de lire les mots de quelqu'un sur une personne que je croiserais surement jamais. Alors, je permet à tous le monde, si sa ne les passionnent pas de lire autre chose.

Bref, passons cette petite interlude d'un article qui me semblait commencer fort bien. Alors, par qu'elle parcelle commencer. Tous d'abord un merci, à cette Lorinda. Tu peut pas savoir à quel point j'adore les soirée aux quels tu me convie chez toi. Tu peut pas savoir à quel point c'est un déchirement de te dire au revoir après avoir passer des moments comme aujourd'hui. Sur le coup je le fait avec le sourire. Mais comme je te disait, si avant je voulait une machine à remonter le temps, quand je suis avec toi, je cherche celle pour le bloquer. Mais passons, nous sommes pas dans une série B américaine avec des blondes aux dialogues sortit de l'imagination d'un scénariste bidon, qui oblige ses "victimes"; car les acteurs deviennent des victimes avec de tels dialogues... Merde j'ai perdu le fil de ma phrase... Bref, même si le "Tu me manque déjà" est le genre de dialogue à enterrer, c'est le genre de phrase que je serais amener à te dire en se moment. Je te dit merci, car même si je fini souvent les fêtes chez toi dans un morale en chaussette, et bien, sans toi il me devient difficile de faire une fête mémorable.
Mais bon, je vais pas faire que des remerciements car j'en viendrait à ne pas dire se que tu est vraiment pour moi... Car avec toi tout est different, les choses non pas le même gouts, elle sont plus juteuse comme une pomme bien mure. Avec toi on rigole de tous, on part au quart de tour, on n'as pas honte de faire le con avec une frite dans une piscine. On est fière de sont bronzage zébrée. On regarde le monde à l'envers... Il y déjà tant de souvenirs, des souvenirs que je n'oublierais jamais. Il y a trop de souvenirs, et quand je te vois. Je sais se qu'il me faut dans l'avenir. Je voudrait une femme comme toi. Mais bon, des fois je me dit que c'est fini de rêver. On rêve peut être déjà trop pour que je rajoute se genre de "rêve" dans la longue liste des choses que je voudrait.
Quand je pense que je pourrais faire se genre d'article que j'aurais put faire avant (d'ailleur, je me rend compte que j'ai fait une phrase comme ça juste au dessus, mais pour l'aspect critique je le laisse, je change rien). Qu'avec toi, le ciel est toujours beau.
En tous cas, cet après midi, j'ai beaucoup regretter de ne pas avoir d'appareil photo. Au bord de la piscine, l'herbe le ciel, le soleil qui forçait son passage entre les arbres. Tous cela me donne envi de faire des photos. Je pense que sa commence à être grave, quand je regarde une chose belle. Je ne parle plus en terme de beauté, je dit :" sa ferait une belle photo". Mais bon, je suis incapable de rester sur un sujet fixe, je me met à parler de tous et de rien, alors que je voulait parler de quelqu'un d'essentiel dans ma vie. Une personne qui me rend triste de sa futur absence, alors qu'on est encore ensemble...
Je croit que je vais stopper sur se registre, car je me suis fait déjà comprendre, et que je n'arrive toujours pas à parler de l'essence même de la beauté qu'est cette charmante amie...
Elle à un caractère bien trempé, la décevoir c'est prendre un gros risque (et je parle en connaissance de cause...). On s'en mort les doigts quand rien que deux jours, elle te fait la gueule... (tien, je reçoit un sms d'elle^^).
Avec elle, j'ai comme aucun problème, je ni pense pas, sauf quand elle me pose des questions. Alors là, je lui dit tous. Peut être avec amertume de devoir parler des sujets qui "fâches", mais on se sent léger après. Cette fille là, elle est particulière... Quand je pense que j'ai faillit la perdre... Quand je pense que je suis accros... Quand je pense que je vais encore passer un mois sans la revoir... J'aimerais vivre avec elle... Mais je croit que ses parents ils voudraient pas^^. J'espère que nous serons dans le même classe l'année prochaine. Car si la vie de tous les jours est grise sans toi, ne me parle pas des cours.

Je t'aime bien plus que je le devrait. Cette journée avec toi, ma bien changer. J'ai plus envi de me tourner vers se passer qui me tourmentais. Je croit que je lui ait envoyer des sms hier soir, je m'en rappel plus, je sais plus... Je sais pas si elle passe encore là, mais en tous cas je suis désoler.

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