Jeudi 25 octobre 2007 à 21:08

Je suis un salo...

 "Et toi, les amours?" Elle ma foutu une claque. On ne rigole pas avec ça. Surtout quand sa vient de ma part. J'ai pas le droit, c'est tout. On se rend compte alors que ce n'est jamais facile de faire des choix, on veut en faire, et on n'a pas le courage. C'est toujours plus facile de choisir la facilité. Alors on enrage en soit même.

Je l'ai fait espérer, je l'ai fait languir, je lui ai fait goûter et je la fais mourir à petit feu... Sa n'est pas un réplique à la Molière. C'est vraiment se qui c'est passer. C'est vraiment se qu'elle m'a dit se soir quand elle est descendue du car. Mais on c'est promit de se serrer les coudes. De prendre le temps d'oublier se qui c'est passer il y a deux semaines et de repartir du bon pied. Il faut qu'on parle. C'est la seule et unique solution…

J'ai hâte d'être en vacances, de me retrouver dans une ambiance plus libre, moins oppressante, plus rassurante. J'ai hâte de passer se samedi avec Christophe chez cette inconnue. J'ai hâte de passer ses trois jours avec Julie, Elkan, Yansene, « les gros », chez se terrible faiseur de crêpes qu'est Hotman.

 

On voit le bout en se fixant des objectifs.
Je m'oblige de tenir jusqu'à samedi sans péter un câble.

Mardi 23 octobre 2007 à 23:09




Elle me dit quelle est "kekette", chez elle sa veux dire qu'elle est fatiguer. Chez moi sa veux dire "j'ai pas envie de te parler, laisse moi tranquille". Mais qu'est ce qu'elle peut bien avoir fait pour être autant fatiguer au point de ne pas pouvoir me parler? Aurais se un rapport avec son ex qui la ramener chez elle le soir précédent? A bas non, c'est vrais elle renie contact pour redevenir amis, en plus l'après midi même elle m'avais fait un coeur dans le cou. Mais j'y croit pas sur le coup. Aujourd'hui ou hier, il y avais un mur. Le genre de mur où tu as beau  te dresser sur la pointe des pieds pour passer ton cou de l'autre côté, ta tête ne verra rien d'autre que le néant.
A ma oui, mais c'est beau le néant. C'est sobre et uniforme, mais comment on fait pour passer d'un dimanche coloré à un lundi et un mardi sombre, froid, vide? Je ne comprend pas, je la comprend pas. Je comprend d'autant moins ses excuses. Hier elle à passer une heure dans les bras d'un autre car sa faisait longtemps qu'elle l'avait pas vus. Aujourd'hui, elle est rester dans son coin car sa la faisait chier d'avoir bouger pour finir à 12h30 et qu'en plus y avait la photo de classe.
Samedi prochain, dans tous les cas je serais pas chez elle.

Mais ma journée d'aujourd'hui ne fut pas marquer seulement par Lorinda et son attitude qui me tue. Cet après midi, devant le lycée quand je me grillait une clope après avoir parler avec Jessie pendant une quarantaine de minute. J'ai regarder Pierre, et d'un air intéresser je lui ait demander "Pierre, tu fait quoi cet aprem?". On a fini à passer notre après midi poser au chaud avec Julie dans un bar à discuter de tout et de rien. De fille, des aventures passer, de nos expériences. Tout en sirotant une petite bière.
Une fin de journée plus tôt sympathique, Théo peut être content. Théo c'est amuser.
En plus je verrais surement Cristoph' se week end, sa fait plaisir. Passer une soirée avec lui, sa vas être cool. En plus je vais dormir chez Hotman Lundi, Mardi et Mercredi prochain. Sa faisait longtemps que j'avais pas fait de soirée avec lui, en plus se soir, il m'a dit "je t'aime" et m'a fait la bise. Lui c'est un amis.

Samedi 20 octobre 2007 à 15:55




Je réécoute en se moment la chanson que Christophe m'avais envoyer cet été quand je suis rentrer de Paris. Cette chanson qui m'avais fait écrire un de ses articles que l'on écrit avec les larmes. Le genre d'article que l'on écrit pour se rendre compte le lendemain matin en passant sur notre blog que sa n'était pas un cauchemar.
Se jours là, j'étais rentrer et j'avais trouver un petit message où Lorinda m'annonçait  que je  pouvait  faire se que je voulait... Quelle était avec un autre. C'est le genre de jours, où tu te fait la promesse de ne plus jamais lui parler, que le temps auras beau tous faire, ta rage seras toujours là.
Pourtant. Depuis jeudi, je suis officiellement avec elle, elle c'est séparer du jeune homme. Je dit bien officiellement, car cela date exactement de la semaine dernière. Là, se jurant un amour éternel et en se posant des questions sur l'avenir, songeant où serais là maison, au nombre d'enfant, et toute les choses qui angoisse tous le monde. On c'est trouver un objectif commun. Rester heureux, c'est con à dire. Mais le fait de réaliser nos rêves. De surfer un jours dans une mer sans requins, vivre en Bretagne, aux Pays Bas, en Espagne ou encore Annecy et son lac. D'avoir peut être des enfants (mais qui font pas chier avec la marque des gateaux aux chocolat au lait noisette). Enfin, de quoi garder une part de mystère à notre futur.

Se soir, elle met son sarouel qui me fait tant craquer, elle relâche ses cheveux. Elle sera toute belle se soir, elle sera la plus belle. Je l'aime.

Vendredi 19 octobre 2007 à 21:48




Descendre dans Beauvais avec un pote et deux inconnus pour prendre un café dans un bar. Se poser tranquillement en regardant l'heure s'approcher de l'horaire du car. Fumer une clope, se foutre la gueule du non fumeur. Discuter avec un gars sympa qui donne envie de revoir. Partir avant les autres, les écouteurs dans les oreilles et traverser le marché de Beauvais.
Chez le fromager, deux vieilles dames qui reçoivent des compliments du vendeur, à croire qu'elle sont venue juste pour ça. Passer devant un vendeur de saucisson à la moustache qui semble bien seul et devant l'association des artisans boucher. Continuer sa route après avoir traverser se petit bout de vie. Comme quoi, on se nourrit de petit bonheur éphémère.


Depuis hier je ne suis plus un amant;
Mais je reste toujours un aimant.

Lundi 15 octobre 2007 à 23:06





"Tu sais, c'est marrant. Je me suis rendu compte que la façon de tenir la main de quelqu'un était pas pareil selon les personnes... Il y a des manières de s'exprimer plus qu'une autre. Je me suis rappeler aujourd'hui comment tu me tenait la main. Que tu la serrais un peut, d'une manière que je me sente aimé. Je sais pas, c'était étrange, c'était bien, j'en raffolait. Mais aujourd'hui, je me suis rendu compte que c'était pas pareil de tenir la main de Lorinda..."


Elle m'a répondu y a deux minutes...

"arrete de t'posé des question un peut profite et c'est tout"

Mais on se pose toujours des questions, surtout quand on garde des souvenirs et qu'il resurgisse comme ça d'un coup. Est ce que c'est pareil, est ce que sa sera mieux, est ce qu'on sera heureux. Il faudrait que je me laisse allé. Que je me laisser couler. Que je ne pose pas de question qui ne servent pas à avancer, mais à se stopper. C'est ça qu'elle veux me faire comprendre et c'est ça qu'elle m'a dit. Mais je ne me comprend pas entièrement. Pourquoi faut il toujours se poser une tonne de question au quel on ne pourra jamais répondre? I don't know...

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