Dimanche 14 octobre 2007 à 20:30




Je me suis réveiller se matin dans son lit. J'ai tourner la tête vers elle, elle dormait toujours. Puis elle à bouger, et c'est étaler sur moi pour prendre la bouteille d'eau qui était poser sur la table de chevet. Je lui ai sourit et j'ai prit mon portable pour voire si mon portable avais encore reçut un de ses message.
Valentine... Je tourne la tête, et lui demande avec innocence "Pourquoi dès que je suis chez toi,
Valentine m'envoie un sms?" La question n'avais pas de réponse, on appel ça une question rhétorique. Moi j'appelle ça aussi le hasard. Mais bon... Je referme mon portable après avoir lu rapidement se qui était dit. Elle me demande se qu'elle dit, j'étais incapable de le répéter, alors je lui  fait une lecture à voie  haute... "J'ai réfléchi un peut.  Je me dit que c'est peut être mieux  qu'on se voit  le minimum. Je veux pas finir par être une "Lorinda" avec toi. Encore moins sans le vouloir. Bisoux à plus." Je pose mon portable sur le meuble et la regarde. Sa tournait dans ma tête, sa tournait trop dans ma tête. C'était pas la première fois qu'elle me disait quelque chose comme ça. Pour une fois qu'elle m'envoie un sms, c'était pour me dire ça... Je savais parfaitement se que ça signifiait.
On est rester jusqu'à midi à s'imaginer l'avenir, nous en "vieux". Nous quand on aura une maison tout en repoussant notre disert' de philo le plus loin possible. J'étais bien, dans ses bras allonger. Elle avais encore l'oreille verte fluo, sa lui allais bien. Moi, j'avais son coeur sur la joue. J'étais heureux, je serais rester à jamais là. J'avais encore son suçons dans le cou, sa belle marque, comme une marque de fer rouge sur une vache.

J'ai passer une superbe soirée hier soir, je n'avais pas été depuis longtemps aussi euphorique. J'étais heureux, je le suis toujours, je suis amoureux.

Comme quoi on ne tien pas toujours nos promesses. J'en avais fait beaucoup à se sujet. Mais on avais beau tous me dire, je suis un tête de mule. Je ne pouvais pas faire autrement, j'étais obliger. Même si vous m'en voudrez.

[J'en ai oublier d'acheter mon carnet...]


Mardi 9 octobre 2007 à 23:22




J'ai décider se soir de tester un nouveau système d'écriture, au lieu d'écrire se qui me vient le soir à la tête quand je rentre. Je vais tester l'écriture que j'intitule, l'écriture "carnet". Chaque chose qui me passe part la tête, chaque chose qui vient de me marquer sera retranscrit le plus tôt possible sur un petit carnet. De manière à laisser les sentiments bruts, et les mots sincère. De manière de voire vraiment aussi pour moi comment c'est passer cette journée.

Lundi 8 octobre 2007 à 19:54

Se rendre compte à quel point Lorinda nous avais manquer, passer deux jours sans elle, c'était étrange... Passer trois heures de philo en suivant à moitié, alors que le cours porte justement sur la place de la conscience dans la concentration... Passer une journée normal, puis jusqu'au cour d'Anglais où dans un petit coin de son cahier, Lorinda écrit quelque chose qui ressemble à :" Sa te dirait pas qu'un jours on sorte ensemble?". Je sais pas si il y avait de "réellement" en plus dans la phrase, je sais plus... Mais à vrais dire je sais pas.
On me dit que Valentine c'est comme Lorinda, se ne sont pas des filles pour moi... Qu'il me faudrait trouver une Florence à moi, une fille qui pourrais me rendre heureux... Une fille que se foutrait pas de ma gueule, qui m'empêche de boire, de fumer, de déconner... D'être un garçon plus équilibré... Bref, une Florence à moi, mais que j'aimerais (hé oué, sa compte aussi ça!).

Mais bon... Que faire, que faire... Je veux bien suivre les conseils des amis... Me dire que peut être qu'il me faudrait se genre de fille. Mais comme me disait Julie dans le car, qu'est ce que sa peut changer qu'elle fume ou qu'elle boive? De toute manière tant que tu reste le même et que tu devient pas un vieu déchet...
C'est pas faux... Je sais pas..J'ai jamais su se que je voulait de toute manière... Elles le savent toute autant que moi. Alors je me retrouve le cul entre deux chaises, à ne pas savoir se que je veux, à ne pas savoir si mes amis on raisons, si ils on tort...

Jeudi 4 octobre 2007 à 19:25




"...Et le soir ça excite"

Je garderais ses mots dans cette journée, sa me donne le sourire avec du Phatom Planet. J'emporte ses mots, et ses lunettes, car après qu'elle se soit envoler sur moi pour sa battre-ounet avec moi, elle à oublier dans les mains d'une amie. Cette autre amie, veux sortir avec moi, je le sais. C'est sur, je suis pas si bête:" Tu pense que les gars  disent vrais, quand il disent qu'on vas bien ensemble..." ou le "je trouve qu'on se rapproche vraiment ses deux derniers jours..."
Crainte, c'est le mot. Je suis pas un si bon gars, et de toute manière c'est qu'une amie, un très bonne amie. Mais je peut pas, elle restera toujours importante pour moi... Même si elle ne comprendra pas... Je suis maladroit, je me maitrise pas... J'ai du mal, je fait rien de mal. Je sais pas pourquoi... C'est comme ça.

Alors, deuxième nouvel du jour, il parait qu'il ne faut pas que je prenne mon portable quand je suis pas sobre... Il parait que j'envoie toujours des sms à la blonde deux trois article en bas... (Je remet pas la photo, j'en ai qu'une d'elle.)
Bref, marre des DS type bac, encore un demain...Deuxième en deux jours...
Mama mia, je veux une boué de secour. J'envoie un S.O.S dans une bouteille... Et j'entend cette voie qui me dit "Je me cache ici entre les vagues...". Dire que des fois je me fait peur...

Lundi 1er octobre 2007 à 20:20


Affaler sur la table, je voyais son visage tournoyer dans mes bras. La pellicule de se vieux film était un peut abimé à la façon film de vacances. Les couleurs étaient décolorée et nos corps lier part nos mains ne faisaient plus qu'un.
Lorinda m'a ramener à la raison, enfin, surtout Florent quand il m'a tendu le join. Ici on est sur terre, et il faut bien prendre des artifices pour voire nos rêves se réaliser...

Monter le lycée, sous la pluie seul avec du Manu chao dans la tête... Regarder les gens courir se couvrir là où ils peuvent, et pour finalement, sortir quand les gouttes son encore plus lourdes. Aujourd'hui, elle est passer devant moi à la cantine sans m'adresser un regard. Pourtant elle était en face de moi...

Je ne jouerais plus...

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast