Lundi 24 janvier 2011 à 15:09

J'attend, assis sur son canapé. J'écoute un vieu rock, je suis un peut défoncé. La lumière de l'exterieur passant à travers des rideaux transparants orange et violet. Balancent la pièce dans un feux chaleureu. Dehors il fait surement froid et elle est là bas. 

Le temps passe et plus je réfléchis, et plus j'ai moin de temps pour écrire. Cela faisait bien longtemp que je vois cette endroit comme un reccueil d'ancienne chose,un block de maux du passé. Un petit secret que tout le monde connais mais dont personne ne parle. Je revient de temps en temps ici, comme pour revenir sur un pélerinage internet. A l'époque ou raconter se que je vivait et voire se que le monde pensait, prenait plus de temps que faire réellement les choses qui me plaisaient. Aujourd'hui je suis heureu, et déjà parler de bonheur sur cet endroit fait de ruine de passer qui ne tien plus qu'en moi, est lui faire un sacré bras d'honneur.
Mais se bonheur me complaint dans l'idée que j'aimais traiter mon malheur, j'aimais en parler. Aujourd'hui, je n'ai plus besoin de le compter, car le fait de le croiser, ne doit pas éttoufer de mots négatifs les moments que l'on peut apprécier. Alors... que faire?

Je n'ai pas non plus envis de vous décrire ma petite vie d'étudiant, mon amour pour la plus belle fille du monde, mes allé retour entre Amiens Lille Beauvais. Alors je ne peut que me mettre à inventé. Une vie, une autre. Une qui ne soit pas la mienne, mais celle de quelqu'un d'unique et improbable. 

Un jour je le trouverais.

Lundi 8 novembre 2010 à 1:37

Ici repose ma mémoire.
Celle d'un corp pas encore mort,
mais d'un passé bien révolut

Car
On évolu
on substitu.
A ici, rien ne remplace.

Ais-je déjà perdu?
 

Lundi 26 juillet 2010 à 1:03

 Comme un western sans cowboy, la violence de la vie c'est étouffé dans les vacances. Le temps que l'on cherche en permanence ne nous serv à rien quand on le retrouve et les amours loingtaimps nous semble si jamais près. Et ainsi de suite... Le monde ne tourne plus forcément rond dans ma tête, et le plus souvent je tente d'être rond. Pour que la vie roule, et que moi je coule. Mais on ne fait jamais se qu'on veux, ni on n'as se que l'on souhaite. La vie est ainsi... Une petite blague que l'on se raconte mais qui ne fait rire personne.

Moi j'aime rire, et je n'aime pas cette vie. J'aime l'humour, j'aime faire rire. Mais je préfère rigoler. Le monde peut nous offrir beaucoup de chose, aujourd'hui on nous fait croire que l'on as beaucoup à apporter à se monde, et que l'on si sent bien dans le partage, dans l'amour et la bonté. Privé le monde de tout cela, et vous en faites le monde d'aujourd'hui.
Apporter le à vous, et vous faite votre avenir.
A choisir, je préfère mon avenir à celui des autres, mais sans le monde des autres je ne suis rien... Et dans tout les sens, ses réflexion, c'est questions, c'est réponses ne menent à rien. 
Peut être que cet vie n'a pas de sens, juste une arrivée. A nous d'y arrivé de la meilleur des manières. Alors il faut être heureux, et avancer avec se monde... Putain de boucle.

Je suis là, devant mon ordi, sur un canapé, et pourtant ma tête se tape contre un mur, et trouve dans cette sonorité, un rythme, un rythme qui n'est pas mélodieux, qui n'est pas supportable, qui n'est pas... Qui n'est rien. Comme nous.

Mardi 8 juin 2010 à 18:38

 
J'ai fait un rêve
 
 
 
 
Il n'était pas de ses rêves que l'on raconte parce qu'il sont beau, ou parce qu'ils sont marrant. Mon rêve je vais pas vous le raconter, parce que cette nuit j'ai juste fait un rêve et que sa faisait longtemps. Il n'était pas beau, il n'était pas marrant, mais il était juste là et c'est déjà suffisant.
Comment peut on vivre sans rêve? Je ne sais pas, peut être parce que pour moi je n'ai que survécu, tout simplement.
Mais les rêves, c'est simple. Sa veux dire deux choses, qu'on a la tête qui fonctionne, et que l'on as des désirs. Cela veut aussi dire que cette nuit, j'ai voulut quelque chose. Que pour une fois, je savais où je voulait allé. 
J'ai fait un rêve,et dans l'inconscience de se monde irréel je me suis retrouver. C'est triste? Je sais pas. Si je savais répondre à toutes les questions qui me tarodes alors, je ne serais pas là. Mais plus concrètement, où j'en suis? Si je me satisfait de faire un rêve et non de le réaliser?
Des fois je me dit aussi que je suis bête, qu'elle idée de vous raconter tout ça. Peut être parce que dans mon fond je rêve de me savoir différent, alors que pour certain je ne suis qu'un con de plus.

Mardi 18 mai 2010 à 2:52

En dehors de mon chat qui reste au milieu de la route toute la nuit à attendre qu'une voiture arrive pour courir au dernier moment. Moi aussi je suis sur ma route, et je joue à ma façon. Je me suis toujours dit que se que j'avais l'impression de posséder, je l'avais perdu. Je pensait que c'était la considération autour de moi. La présence de quelqu'un qui m'épaule, qui me pousse vers le haut. Se sentir aidé. Mais ça, je ne l'ai pas entièrement perdu, car il restera jusqu'a un certain point, certaines personnes...
Je sais pas non plus vraiment quel  connerie je vais encore sortir, ou comme théorie sur moi même et ma vie. Car dire que cela revient à "la vie", serais hypocrite, l'analyse subjective d'un jeune sur sa proppre vie ne pourrais être universel. Ou sinon, je suis doté d'un talent bien plus prometteur que la théorie médiocre que je vais vous pondre. J'ai l'impression de vous faire attendre pour rien, alors:

Si je ne n'arrive pas à me retrouver, c'est que je me retrouve dans personne en se moment. Je n'aime pas, je n'arrive pas a me voire dans le futur, j'arrive pas à aidé. Je suis l'absent de la vie fantôme de la personne que je devrai suivre. D'un certaine manière perdu. Mais 'lost" est un trop grand mots pour décrire où je suis. Peut être pas trop grand, mais simplement vaste. Car pour moi tout est simple. La seul chose qui me fait alors gerber, c'est de me dire que pour le moment, je doit réfléchir seul.

Prévoir mes soirées seuls, prévoir mon lieu d'habitation seul, prévoir mon redoublement seul, manger faire les courses seuls, seul. Toujours se mot à la bouche il me rend fou.
C'est comme à l'éphigie de cet été. Je n'organise rien, je suis celle des autres... Tout en sachant que comme d'hab' mes plans serons différents car je doit compter pour moi, mais pas toujours pour eux. Je sens que ça vas faire comme l'année dernière. La question est, est ce que je leur en voudrais plus que y a douze mois? Des fois je me demande même si ils en auraient à foutre.

Comme dit yan "on devient vieux" on se rend compte que nous vivions dans un rêve, qu'il faut couper cour aux espoirs. Je le comprend, mais moi je ne peut pas vivre sans mes rêves. Je meurt déjà dans mon cauchemard, en réaliser un serais superbe. Mais qui croit encore en ses rêves aujourd'hui? Comment font ceux qui réalisent les notres? Voulaient t'il faire vraiment ça? 
Je croit que se qui me ferais le plus peur, serais de finir prof. Me dire, que je suis bon qu'à ça. Bon qu'a repéter en boucle se que l'on m'a déjà répéter pendant des heures... Pire que ça. Faire se qui me semble le plus triste quand on fait des études d'art du spectacle... Finir prof... Y as pas de justices, la vie est comme elle est. Et si demain, un pote vas passer un entretien d'embauche a Brico dépot, c'est que tout ça est bien fini.
Alors là le monde est encore plus injuste, car si je doit vraiment couper à mes rêves, alors devrais je couper cour à tout?

Parce que en dehors de se que j'aurais voulut faire, tout se qui m'entoure me dégoute. Des institutions aux ministères, des politiciens aux économistes, tout semble corromput. Même l'eau du robinet perd de sa clareté, de sa pureté.

Alors forcément tout venant essentielement de moi me semble bien. Le fait de créer, de jouer, d'interpréter, de réaliser... Il parait que tout cela n'est que du rêve. Que c'est pas possible parce que  mon papa n'est ni Gerard Depardieu, ni Drucker. Je n'ai ni un corps à présenter la météo sur canal, ni un charme à faire la publicité de machine à cafée. Bref, je ne suis ni taillé pour le cinéma, ni pour la télé. Je n'ai ni envie de lécher des culs, ni envie de sucer des...

Il me reste alors qu'un chois, vivre pour mes rêves ou survivre...
Je préfère encore tenté le tout pour le tout.
la déçeption sera plus amère mais moins nacrée par les remords.

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