J'ai perdu mon ironie.
Dimanche 2 mai 2010 à 21:48
Moi je suis moi, et j'ouvre ma gueule souvent pour dire des conneries, car quand j'ouvre ma gueule, c'est pas que je pense vraiment se que je dit. Mais surtout que j'en peut plus. Est ce que du coup, je me venge en voulant être insurpportable. L'a tu mérité? L'ais-je mérité?
Je croit que toute ses questions sont inutile. Ma connerie a été faite il y a un ans, et maintenant je t'en porte responsable. Le pire c'est que j'ai toujours fait ça. Sa ne m'a jamais aidé. Alors la réaction logique de tout le monde c'est de se barrer. D'allé voire ailleurs. Mais moi, je reste dans ma merde, et plus qu'avant car maintenant toi aussi tu n'est plus là.
Mais personne ne veux aidé quelqu'un qui gueule, qui pete un cable... J'aimerais juste avoir cette petite partie qui me permet de me vider. Et je parle pas de mon fichut blog. Il est là pour tout remuer cet enfoiré. Et je me rassure pas en lisant les pages précédentes. Il me faudrait juste quelqu'un. Partager. Je ne demande pas plus que ça. Mon partage est devenu minime, je partage plus rien avec personne. LA seul chose qui me reste encore un peut c'est mon temps, mes rêves, et moi... Alors forcément, on en demande plus. Toujours plus. Surtout que chaque rêve explose avec ma tête.
Mais personne comprend cet appel, alors comment me faire comprendre?
Caché tout et faire semblant d'être heureux, en attendant que sa arrive?
Ou continuer se long appel qui se reproduit chaque fois que je croise une
personne que j'ai aimé sur notre bien aimé net et qui me pousse à lui sortir
toutes les atrocités que ma tête peut créer.
Je suis désolé.
Jeudi 29 avril 2010 à 2:00
Et tout ses mots pour mettre en boite le fait que se soir encore en rentrant je me sente seul. Parce que cette solitude ne se compte pas aux nombres d'amis, à la présence de la famille. Sa fait sept mois. Sept mois que je suis incapable d'abordé une fille. Que je suis pas capable de me mettre à mon avantage. Que je suis capable de rien. En boulot ou en amour.
Sept mois que je me dit que j'y suis pour quelque chose mais que je n'y arrive pas. Alors j'espère. Assis à ma chaise de bar. J'attend en sondant les horizons si quelqu'un arrive. Mais tout le monde installé dans sa petite vie, ne bouge pas. Le monde est t'il toucher par le même mal que moi?
Peut être qu'il éxiste un être devant se poser sur moi, me sortir de cette torpeur. J'attend, fait le beau quelque instant, et fini par me tenir la tête,par allumé une cigarette, finir mon verre, et à me décider.
Déçut, je me lève et prend la route de mon petit appartement. Les rues sont belles la nuit. Une explosion de forme, avec le contraste chaque chose est grandit de son ombre. Les églises touches les cieux. On se sent petit, ridicule à côté de tout ça.
Mon mal à moi, c'est dans ces rues, croisées des couples, des groupes de filles, des filles toutes seules. Sa me fait bader. Combien de fois faudra t'il que je regrette la nostalgie de mes aventures passées. Combien de fois faudra t'il que je regrette de ne pas avoir fait, et dit les bonnes choses au bon moment.
Dans ses rues, je trimbale un monstre de regret. Il est enchainé et je le traine ou que j'aille. Chaque soirs il prend de plus en plus de place. Et quand je vais me coucher, il me gêle les pieds, pour mieu me rappeler avec froideur que je suis seul. Y a que des célibataires pour dormir avec des chaussettes.
Mardi 27 avril 2010 à 19:42
Dans quel état vais-je me lever demain. Vais-je me lever demain? Mais au delà. Au delà des quelques heures qui me sépare du nouveau jour. Que vas t'il advenir. Qu'est ce que je fait l'année prochaine?
Je ne sais pas se qui est le plus désolant. De se poser toujours des questions ou de ne pas savoir y répondre. Il parait que c'est normal, qu'il faut retirer tout ça de sa petite tête, sinon elle s'étouffe et elle phane comme une fleur, tourne comme du lait, et devient mauvais. Je veux pas devenir mauvais.
je veux pas faire se qui me plait pas, qu'est ce qui est judicieux quand je sais que se que je fait ne le fait pas? Les autres, et moi forcément en son responsable. Mais devont nous accuser les autres de qui je suis? Ou de se que je fait?
Alors ainsi, je suis quelqu'un de bien, mais si dans le fond je suis bien. Dans se cas, je suis con d'être pas capable de faire les choses biens. Alors je suis un bon con.
Mais ça n'empeche rien, car je vais devoir faire quelque chose, et cette réponse ne m'aide pas.
Moi j'ai envie d'un coucher de soleil dans le hamacs, avec une petite guitare, et de profiter simplement. D'etre balayer par le vent lentement et de danser sur le bord de la plage avec Morphée. A defaut de danser avec Aphrodite, combler le manque par le vide et non l'absence par la fumée.
Mardi 8 décembre 2009 à 21:15
Bref, cette imconpréhension me fait peur. J'ai pas autant de talent que certain type. Je n'ai pas autant de facilité que d'autres. Plus que certains en effet, mais c'est que j'en ai fait l'année dernière du theatre. Mais pourquoi comme la musique (une chose que je fait depuis quand meme pas mal de temps), pourquoi je ne suis pas "bon". Pourquoi en se moment dès que je fait quelque chose, je ne suis pas satisfait de moi? Pourquoi quand les adultes me regardent, ne voient forcément qu'un jeune étudiant béta. Pourquoi ne voit'il pas mon envie? Celle de fournir du travail et d'apprendre.
Tien aujourd'hui, qu'est ce que j'ai apprit?
J'ai eu trois heures avec l'ancien président de la comédie française. Et bien, je n'ai rien apprit. Ou simplement savoir me taire. Regarder, et admirer que le travail que l'on fait ne serv à rien. A rien... Au si, je suis d'accord que la prononciation est quelque chose d'important. Mais je pensait apprendre plus de se type qui à fait de grande chose. A moin qu'il n'ait rien à nous apprendre. Qu'il soit là pour boucher un trou qu'un amis à lui ne peut assurer. Je ne comprend pas.
Je suis dans une phase de doute et y a pas à dire, je mi perd.
Si seulement une voie pouvait sincèrement me rassurer, sa m'aiderait. Je croit même que je serais capable de douter des autres, tellement je doute de moi.