Samedi 14 juillet 2007 à 21:39



Les lendemains de fête comme ça, j'en ai jamais connus des pires. Certain qui me connaissent me dirons que y avais pas pire que la première fête chez moi. Car vus le résultat, il était facile d'imaginer la suite. En tous cas, j'ai aujourd'hui la preuve et je peut l'affirmer que tenir ses promesses n'est jamais une bonne chose. Enfin, surtout dans les conditions actuelle où je me retrouve.
Donc, rien de mieux que d'expliquer la route qui mène à se point d'arrêt. (sa fait déjà la deuxième fois que je me tape le coude contre l'accoudoire en bois, de ma chaise. Je commence à devenir fou...)
Donc sa commence hier, avec le départ à pied vers la mairie pour le 14 juillet fêter le 13... Enfin comme tous les ans. Donc j'arrive en avance et je me retrouve à installer tous, car cette année personne (appart deux monsieur) tous le monde avait décider de ne pas donner son coup de main. Bon, sa commence bien car quand j'ai fini. Il mon payer une clope et une bière, sympa les deux.
Donc après, (je fait une ellipse temporel) les villageois arrivent par petit groupe pour enfin remplir la cours de récréation de la primaire d'un brouhaha de multiples discutions toutes aussi passionnante.
Entre les vieux, et les enfants. J'avais un chois à faire, et se chois devait être rapide. On ne change pas de groupe comme ça, sa froisse les gens de les quitter pour des autres. Alors j'ai choisit le partit le plus neutre, le cubi. En plus, il y avait le chois. Le cubi de rosé, de rouge, de blanc (je sais plus du tous), et la grenadine alcoolisé. Enfin, tous pour se sentir bien toute la soirée. Donc, je commence gentillement avec un mélange grenadine rouge, et après un autre rouge, je m'enchaine au rosé. "La boisson des hommes" me disait un papa binoclare près de moi, quand je mangeait ma chipolata. Enfin, une soirée correcte, comme tous les 13 juillet dans mon petit village du fin fond de la picardie. Il y avait quand même les remarques persistante quand je roulait ma clope "Encore un join Théo?". Franchement, les vieux de mon village non pas comprit que c'est pas marrant de dire ça à longueur de temps, surtout quand ON EN AS PAS! Enfin, je croit que je me suis fait comprendre.
Donc, je passe quelques coup de file (merci yansene, la prochaine fois, tu me laissera de quoi écrire deux sms^^) et je join (...) Yansene et Hugo qui passent en voiture. Bon on se promène dans les petit village, on s'amuse bien. On s'allonge sur des passages piétons pour regarder le ciel. On fait la rencontre d'une chatte (qui ma mordue le salope!).
Ensuite on rentre chez moi. On débranche tous les cables de l'ordi pour brancher l'ampli et la table de mixage et on se met à jouer...Enfin, moi je devait me levé tôt se matin, et pour une fois j'ai tenu ma promesse. Réveil à 9h...2h30 de sommeil...La gueule de bois, le mal au ventre qui vient...
Enfin, coup de clairon, Hugo met la chanson sur Che Guevara, je me lève d'un saut et on met une heure à trouver la motivation pour tous ranger.
Enfin, là je fait des sautes, je donne des "extraits" comme pour le feux d'artifice.  Enfin, je me retrouve avec de la famille à la maison, et les tantes, et les oncles qui  te fond remarquer de ta lenteur, alors que depuis le matin tu te trimballe dans tous les sens pour la table, la bouffe, ton sac de voyage enfin tous... Même fait les courses, alors que j'avais une de ses envie de vomir... Enfin, y avait aussi des trucs particulier dans se hyper marché. Une caissière qui ressemblait beaucoup à Valentine. Je voulait absolument passer à sa caisse, rien que pour lui dire "bonjour", pour la regarder... Mais maintenant, je me dit que cela ne pouvait être qu'un mirage de mon subconscient qui demandait de sa présence au début de son absence...
Au final, je me retrouve sur cette page de cowblog, à décrire ma journée comme d'habitude je ne le fait jamais. D'habitude, je cherche les métaphores, les formes justes. Mais au final, j'ai se mal de crane, cette envie de rester... De la voire, de l'avoir à moi tous seul... Mais la Norvège c'est loin, surtout quand on part en Espagne, et qu'elle est partie avec quelqu'un d'autre.

Je me rend compte aussi que se serons mes dernier mots avant mon départ en Espagne. Donc, je ne pourrais donner rendez vous que plus tard ( en priant que dans l'auberge de jeunesse où nous irons, il y aura les ordinateurs et internet.)

Vendredi 13 juillet 2007 à 0:31




Il y avait d'abord de dire une chose simple:

Les cancerologues fument, les cancereux fument, les non-fumeurs fument
Pourquoi je devrait arreter de fumer?

Ensuite dire ça, c'est comme dire que je tien pas mes promesses. C'est tout à fait pareil, mais c'est sur que faire une promesse à quelqu'un un jours, et ne plus la voire, ne plus l'avoir nous donne envie de braver l'interdit. Après y a l'escuse facile, j'étais bourrer et je m'en rappel pas. Je peut pas tenir une promesse que je fait quand je ne suis pas en pleine possession de mes moyens.
Il y a aussi l'idée de dire, que j'ai décider de changer. De ne plus être le même, de devenir meilleur et moins naïf. Vous pourrez dire que l'on ne devient pas moins naïf, alors pour y remedier j'ai deux solutions: sois je ne fait plus confiance en personne ou je m'arrange pour me détacher de tout. La deuxième solution est bien plus difficile mais elle saura bien plus utile dans certaine situations. Enfin... J'avais déjà pas confiance en beaucoup de monde avant, sa ne vas pas changer beaucoup... Je n'ai pas non plus envi de rester passif, se battre pour une cause que l'on aime est bien la chose la plus belle. Alors j'hésite, se détacher de tous en vaut'il la peine? Souffrir est t'il bien le revers de se plaisir?

Je ne sais pas, et comme je dit souvent "Je ne veux pas savoir"... Sa commence mal, si je met à citer des choses que je dit. Car c'est sur je suis pas le seul à le dire... Bref, y a pas que c'est grande idée dans ma vie. Il y a se qui se passe au jour le jour. Comme mes résultats des épreuves anticipées du BAC. Une véritable catastrophe... La moyenne nul part. Même pas en TPE, et voila comment on a plancher dessus avec Jeff.
Donc, je disait. Je parlait de changer à l'intérieur. Mais j'avais aussi envie de changer d'exterieur. Retirer mon appareil est arrivé à temps, et je me suis couper les cheveux. Il fallait bien un jour, depuis tellement de temps que je le voulait...
Mais certaine chose ne change pas, comme l'absence de certaines. La solitude constante que je vis à Hodenc. Heureusement Yansene et Hugo sont passer cette aprem quelques minutes. Sa ma changer les idées pendant pas mal de temps.
Y a aussi des personnes qui s'inquiète pour moi, sa fait super plaisir. C'est sur que sa fait plaisir d'être "un amis proche"... Donc en conclusion, pour parler de tous se qui se passe. Ma mère ma même proposer d'allé voire un psy, non c'est pas une blague... Enfin, je sais. Je sais pas si j'ai le temps à perdre à parler de ma vie à une inconnue... Mais on se fait tellement d'idée sur les psy, que rien part curiosité je pourrais dire oui. Mais là, sa devient plus une perte de temps, mais aussi une perte d'argent. Qu'est ce qu'un(e) inconnu(e) peut bien changer sur ma vie? Il peut rien changer du tous... Enfin c'est l'idée que je me fait d'eux. Peut être que je me trompe aussi, peut être qu'un simple conseil peut changer "ma vie". Mais j'en ai aucune idée...
Alors je pense juste au voyage en Espagne, il me fait chier se voyage. Je vais louper pas mal de chose à cause de ça... Comme les 18 ans d'Aurélie, la fête chez Jeff aussi (un jours juste avant mon retour... quel merde) . Et donc la bonne nouvelle de la journée, j'ai rendez vous pour mon train à 7h à la gare de Lyon à Paris... Cocorico, départ vers 5h30 du matin dimanche et donc un levée à l'Aurore entre chien et loup...

La jalousie, c'est comme marcher dans une flaque d'eau dans la nuit
On la voie pas venir, on éclabousse tous le monde et on fini tremper.

Vendredi 13 juillet 2007 à 0:29




Il y avait d'abord de dire une chose simple:

Les cancerologues fument, les cancereux fument, les non-fumeurs fument
Pourquoi je devrait arreter de fumer?

Ensuite dire ça, c'est comme dire que je tien pas mes promesses. C'est tout à fait pareil, mais c'est sur que faire une promesse à quelqu'un un jours, et ne plus la voire, ne plus l'avoir nous donne envie de braver l'interdit. Après y a l'escuse facile, j'étais bourrer et je m'en rappel pas. Je peut pas tenir une promesse que je fait quand je ne suis pas en pleine possession de mes moyens.
Il y a aussi l'idée de dire, que j'ai décider de changer. De ne plus être le même, de devenir meilleur et moins naïf. Vous pourrez dire que l'on ne devient pas moins naïf, alors pour y remedier j'ai deux solutions: sois je ne fait plus confiance en personne ou je m'arrange pour me détacher de tout. La deuxième solution est bien plus difficile mais elle saura bien plus utile dans certaine situations. Enfin... J'avais déjà pas confiance en beaucoup de monde avant, sa ne vas pas changer beaucoup... Je n'ai pas non plus envi de rester passif, se battre pour une cause que l'on aime est bien la chose la plus belle. Alors j'hésite, se détacher de tous en vaut'il la peine? Souffrir est t'il bien le revers de se plaisir?

Je ne sais pas, et comme je dit souvent "Je ne veux pas savoir"... Sa commence mal, si je met à citer des choses que je dit. Car c'est sur je suis pas le seul à le dire... Bref, y a pas que c'est grande idée dans ma vie. Il y a se qui se passe au jour le jour. Comme mes résultats des épreuves anticipées du BAC. Une véritable catastrophe... La moyenne nul part. Même pas en TPE, et voila comment on a plancher dessus avec Jeff.
Donc, je disait. Je parlait de changer à l'intérieur. Mais j'avais aussi envie de changer d'exterieur. Retirer mon appareil est arrivé à temps, et je me suis couper les cheveux. Il fallait bien un jour, depuis tellement de temps que je le voulait...
Mais certaine chose ne change pas, comme l'absence de certaines. La solitude constante que je vis à Hodenc. Heureusement Yansene et Hugo sont passer cette aprem quelques minutes. Sa ma changer les idées pendant pas mal de temps.
Y a aussi des personnes qui s'inquiète pour moi, sa fait super plaisir. C'est sur que sa fait plaisir d'être "un amis proche"... Donc en conclusion, pour parler de tous se qui se passe. Ma mère ma même proposer d'allé voire un psy, non c'est pas une blague... Enfin, je sais. Je sais pas si j'ai le temps à perdre à parler de ma vie à une inconnue... Mais on se fait tellement d'idée sur les psy, que rien part curiosité je pourrais dire oui. Mais là, sa devient plus une perte de temps, mais aussi une perte d'argent. Qu'est ce qu'un(e) inconnu(e) peut bien changer sur ma vie? Il peut rien changer du tous... Enfin c'est l'idée que je me fait d'eux. Peut être que je me trompe aussi, peut être qu'un simple conseil peut changer "ma vie". Mais j'en ai aucune idée...
Alors je pense juste au voyage en Espagne, il me fait chier se voyage. Je vais louper pas mal de chose à cause de ça... Comme les 18 ans d'Aurélie, la fête chez Jeff aussi (un jours juste avant mon retour... quel merde) . Et donc la bonne nouvelle de la journée, j'ai rendez vous pour mon train à 7h à la gare de Lyon à Paris... Cocorico, départ vers 5h30 du matin dimanche et donc un levée à l'Aurore entre chien et loup...

Mercredi 11 juillet 2007 à 19:55


J'ai plus d'appareil dentaire!
Mais j'ai pas retrouver le sourire...

[Quel pute, et en plus elle me gueule dessus...
Sortez moi de là, des fois j'aimerais que ça soit
tellement different...]

Mardi 10 juillet 2007 à 22:40






Oui je parle bien de offrir, car trop de chose disparaise de notre ligne d'horizon et si peut de temps, comme une coupure, comme si la vie était une autre pendant l'été... Je comprend pas vraiment se que je veut, j'attend pendant six mois l'été et quand j'y arrive je suis blasé... Les personnes me manquent, les personnes partent loin, les sentiments nous font mal. On part en vacance loin de tous, on s'amuse aussi... Mais certain nous manquent toujours. Alors les autres, ceux qui sont rester remonte le moral avec des choses simples. Que l'on peut oublier un jours, que l'Espagne vas me changer les idées... Mais on nous dit jamais comment allez mieux à l'instant même... Alors on se plonge dans rien, on tente de faire rigoler les autres pour ne pas laisser le silence prendre place, pour ne pas réflechir trop. Ouais, c'est un combat de tout les jours... Ne pas y penser, mais quand on doit se tapper des kilomètres à pieds dans la campagne pour rentrer chez soit... C'est pas facile, on as beau admirer le paysage, regarder le ciel, passer dans les champs de maïs, croiser un hérisson mais on revient toujours à la même chose...
"Quand il pleut, on as beau  regarder au loin le ciel s'éclaircir. Il pleuvera toujours où on est. Alors on peut attendre, attendre le soleil venir... Et avec le temps qu'il arrivera, il faudra beaucoup de soleil pour nous sécher."
Alors, en effet je doit arreter un peut de plaindre. Je part en Espagne deux semaines, j'ai fait le solidays. Mais moi je demande si peut de chose pour être heureux que je peut être que dessus...

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