Mardi 10 juillet 2007 à 22:40






Oui je parle bien de offrir, car trop de chose disparaise de notre ligne d'horizon et si peut de temps, comme une coupure, comme si la vie était une autre pendant l'été... Je comprend pas vraiment se que je veut, j'attend pendant six mois l'été et quand j'y arrive je suis blasé... Les personnes me manquent, les personnes partent loin, les sentiments nous font mal. On part en vacance loin de tous, on s'amuse aussi... Mais certain nous manquent toujours. Alors les autres, ceux qui sont rester remonte le moral avec des choses simples. Que l'on peut oublier un jours, que l'Espagne vas me changer les idées... Mais on nous dit jamais comment allez mieux à l'instant même... Alors on se plonge dans rien, on tente de faire rigoler les autres pour ne pas laisser le silence prendre place, pour ne pas réflechir trop. Ouais, c'est un combat de tout les jours... Ne pas y penser, mais quand on doit se tapper des kilomètres à pieds dans la campagne pour rentrer chez soit... C'est pas facile, on as beau admirer le paysage, regarder le ciel, passer dans les champs de maïs, croiser un hérisson mais on revient toujours à la même chose...
"Quand il pleut, on as beau  regarder au loin le ciel s'éclaircir. Il pleuvera toujours où on est. Alors on peut attendre, attendre le soleil venir... Et avec le temps qu'il arrivera, il faudra beaucoup de soleil pour nous sécher."
Alors, en effet je doit arreter un peut de plaindre. Je part en Espagne deux semaines, j'ai fait le solidays. Mais moi je demande si peut de chose pour être heureux que je peut être que dessus...

Par sully le Mardi 10 juillet 2007 à 23:27
tain j'adore t façon d'écrire lol, nan serieux j'adore trop !
Pis toi aussi je t'adore tkt pas :D lol
Par ga-ailes le Mercredi 11 juillet 2007 à 0:28
Ne pleurez pas d'avoir perdu le soleil, les larmes vous empêcheront de voir les étoiles
[Rabindranath Tagore]
Non on ne revient pas toujours à la même chose. L'air qu'on va respirer ailleurs nous change, même si cela reste souvent impalpable. Et puis on grandi, vieilli malgré nous. Et donc on change. Et donc on ne retrouve jamais la même chose. Sinon à quoi bon de vivre si l'on reste toujours dans le 'même' ? Enfin c'est ce que je pense ...
Le bécôt
Par pomme le Mercredi 11 juillet 2007 à 11:31
il en faut peu pour être heureux vraiment très peu pour être heureux, il faut se satisfaire du néssaicaire, un peu d'eau fraiche et de verdure que nous procure la nature, quelques rayons de miel et de soleil...
je crois que ca résume ce que je voulais te dire...
je suis fort triste pour tes cheveux, il me manquerons, j'en veux une mèche!
békos'!
 

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