Mercredi 14 octobre 2009 à 20:35

Peut être tu la connait aussi, cette impression là. Quand irresistiblement tu te sent attiré par ton lit. Comme si il était cet unique échapatoire que tu avais tant espérer. Là dans tes multitudes de couches de couettes et de draps, de toute ses forme confortable et accueillante tu te perd dans un bonheur insensé. Pourtant qu'est ce qui cloche dans ses moments là? Il manque se sourire, cette présence que tu cherche en vain de retrouver dans ta mémoire, mais tout semble évasif et loin. Mais qui peut bien se préocuper de moi en se moment? Qui s'inquiète? Tant de question en suspend... Si seulement je savais juste ça, qu'une seul fois j'ai plus d'importance que rien. J'en ai marre, d'être l'amis, le confident ou le dindon de la farce.

Chaque fois, cela revient comme une explication à tout... Dans se lit je suis seul, et à l'image de ma vie, ses derniers temps je ne le partage pas. Sauf avec les copains...
Pourquoi? Parce que je voit les visages changer autour de moi, de toujours changer autour de moi. Jamais les même personnes, personne ne reste tout le monde fuis le navire. Pourtant il n'y a que moi qui coule. Je ne comprend pas. A côté, je voit les autres qui se débrouille comme il peuvent, et sa fonctionne plus tôt pas mal. Je les regarde et je ne comprend pourtant pas. Qu'est ce qu'il y a en plus, qu'est ce que j'ai en trop en moin? Qu'est ce qu'elles ont alors en moins, en plus? Les questions se poses et les réponses ne viennent pas. Tout cela n'as pas de logique, n'as pas de réthorique. Mais alors pourquoi semble t'il qu'une malédiction s'abatte sur ma tête en permanence? Serais le fruit du hasard? Alors je devrait joué au jeux, peut être serais je plus chanceux. 
A non, que dit je... Je n'ais jamais rien gagné en loterie... ni au kermesse des écoles. A vrai dire, si je suis bien doué pour quelque chose, c'est bien de me plaindre. A vrai dire, je pense que c'est l'une des choses que je sais faire le mieu... Bon voila qui me remonte un peut le morale, voila enfin quelque chose que je sais faire...
Mais le plus décourageant, c'est de trouver personne à le dire en vrai et non sur un stupide clavier en plastique qui ne serv à rien sauf dire mes conneries une fois de plus....

Dimanche 11 octobre 2009 à 23:50

Comme deux métaux frapper par de l'acide, on se détache, on se sépare pour faire de nos atomes qui si bien s'unissaient auparavant, des pièces cassé et coupante... L'on as tout cassé comme un miroir, on a jeter la pierre ensemble sans se concerter, le plus déconcertant c'est que comme des ricochets, les ondes continuent à afflué et à nous berser. Moi sa me fait gerber et j'ai envis de quitter le navire. Je ne comprend pas pourquoi cette belle croisière se transforme en naufrage, et que les vagues ne font que s'additionner comme des frères qui s'unissent dans un champ pour arracher plus vite le blés. Sa fait mal, j'ai bue la tasse. Je me suis noyer un peut... Déjà j'avais peur de nager, maintenant j'ai juste peur de me mouillé...

Pov petit canard...Pov conard tout dépend des fois, je suis pas plus coupable qu'innocent, pas plus que toi en tout cas. Mais dans se cas là, pourquoi se planter dans le dos se couteau que l'amour na put qu'affuter pour saigner. Je ne sais pas, et je me pose dorénavant la question à chaque instant ou je peut interroger ma penser. Malgrer tout se temps, je ne comprend toujours pas.


Explique moi, toi.

Samedi 10 octobre 2009 à 0:49



Il y a cette chanson de Manu Chao qui me reste dans la tête, Je ne sais pas, entre le concert et le dvd, je ne peut que l'admiré. Comme si les maux de mon coeur avaient trouvé échos dans les mots de ses chansons.
Maintenant les jours se suivent et passent, pas à pas je prend mes distances, je m'éloigne péniblement de toi avec la simple force du temps, car moi je ne l'ai plus cette force. C'elle qui aurais put me faire avancer hier et qui me manquait déjà... Alors je l'ai laissé passer, pour que cela continue encore. Mais les bannières sont tombé, et je suis déjà mort en guerrier. Je ne pourrais me relever de cette salve amical, qui me fut fatal.

Beaucoups de mots qui ne disent rien, beaucoups de maux pour rien. A croire que tout se joue à des rien. A croire que l'on y peut rien si l'on ne vaux rien. 

Mardi 1er septembre 2009 à 12:46




Perdre son temps, son argent... Perdre des amis, des amours, des connaissances. Perdre l'envie, et rester l'envieu... Se dire comme toujours que rien ne fonctionne. Que tout fait mal à la tête. Qu'elle fait mal au coeur. Que j'ai envis de dormir, de rester tranquille en dehors de l'agitation de la vie. Mais il manque se papier qui faut allé chercher pour completer se dossier, envoyé des chèques au proprio à EDF, faire des CV, regarder les horaires de car, et voire que je n'y serais jamais à temps. Devenir fou, se fumer une clope. Faire une pause, avoir encore plus mal à la tête... Avoir de tes nouvelles enfin depuis un ans. Ne plus avoir de nouvelle de toi depuis quelques jours, même mon dealer m'en donne plus que toi. A croire que je n'y comprend rien. Que la valse à sale temps frappe pas que le monde de Manu, mais aussi le mien. Car à Hodenc il fait moche, le soleil se cache derrière les nuages, et accompagne de ses peut de rayons les tonnes de goutes qui tombe sur mon monde.

Mais où en suis-je? Pourquoi tout le monde prend c'est instant comme du bon temps, pourquoi tout le monde ne se pause pas autant de questions. Pourquoi je me remet en cause en permanence? Pourquoi je n'ai plus confiance en moi? Pourquoi j'ai peur? Pourquoi je croit que tu ne m'aime pas? Pourquoi j'ai l'impression qu'il y a un mur, que l'on construit de jours en jours entre nous deux? Pourquoi je croit que notre histoire devient celle de Berlin... Pourtant tu est quelqu'un de bien... Mais je n'y comprend plus rien.

Et le passé qui remue, qui lance un cailloux dans la mare, qui éclabousse mon esprit et renverse la logique. Plus rien n'as de sens... Et se rêve que je ne comprend toujours pas. Pourquoi était tu là, toi que je hais, que je déteste, que je ne veux plus voire. Pourquoi cette nuit là à tu accompagné se voyage dans mon car. Pourquoi est tu venu me parler. Pourquoi du coup je repasse sur ton blog... Pourquoi je rêve toujours de connerie, de vie pourrie... Pourtant à yeux ouvert j'en avais rêver, mais comment t'expliquer...

Et encore une fois je finirais pas dire que je suis fou, mais plus que ça. je ne comprend plus se qui m'entoure. Et se temps de merde, qui me retourne les tripes et me donne envis de vomir. J'en perd même l'appétit... Le stress de la rentré? Que cela ne tienne, la dernière fois que j'ai stresser, sa remonte aux planches de théâtre... Pourtant, ici personne ne me regarde, personne ne me juge, ne me critique... Oui car ici, je suis seul...

Mais comme dirais la rue Ket, je parle trop, je n'écoute plus personne et plus personne ne m'écoute. Mais comment ais-je fait pour en arrivé ici?


Jeudi 9 juillet 2009 à 0:46

Maintenant que j'en ai fini, il faut que j'aille de l'avant. Que j'avance avec force et courage. Mais jours après jours, plus le temps passe et plus les jours s'accumulent et plus je me sent seul, seul sur cette route que je n'ai pas envi d'emprunter. Moi je veux juste être heureux et rien d'autre. Mais je ne comprend pas, je n'y arrive pas. Alors que dans le froid Picard vous faites la fête pendant que je suis devant l'ordi et que toi tu te repose alors que moi je n'arrive pas à dormir. Le noir me broie et me retourne, une force amère me dégoute même de moi même. Mais en quoi je me métamorphose. Mais qu'est ce qu'on devient? Mais qu'est ce que je devient, un blessure qui pleure au sec? Qui se cache et qui attend le crie dans le silence. Qui s'énerve et tourne en rond, et toi tu est toujours loin, et moi qui me sent vivre de moins en moins.
Je m'éffiloche et je perd espoir.

Il y a cette lueur que j'ai eu une journée. Mais maintenant tout c'est effacer, et le rêve dans ma tête c'est brouiller pour ne plus réapparaitre. Alors je t'attend et je me dit que je pourrais chialer des heures dans tes bras. Mais comment t'expliquer? Comment t'expliquer que j'aimerais tout recommencer, que j'en peut plus. Je n'arrive plus à les supporters, ni à me supporter. Mais qu'est ce qui fait de nous une famille? Qu'est ce qui nous unis? Qu'est ce qui lui donne le pouvoir de me faire la morale en permanence? Qu'est ce qui me donne l'impression que plus rien ne vas dans ma vie. Alors que je voulais obtenir se putain d'exam pour les rendres heureux. Je me rend juste compte qu'il est trop tard. En un ans tout c'est écrouler, et que rien ne pourra recommencer.


Il m'est difficile pour moi en se moment de m'exprimer. J'ai passer un bou de la soirée à en vouloir à la terre entière et l'autre partit à envier les choses que j'aurais put faire si j'habitait juste ailleur, si j'avais juste un moyen de transports... Si j'était là...

Et dire que j'ai le bac, et que la seul chose qui me préocupe c'est le reste. J'ai l'impression d'être abandonner. Je veux juste crever pour ne plus y penser et me dire que c'est bien fini... Qu'a être tout seul sur terre autant l'être tout de suite dans l'infini... Mais voila, j'ai une vie, des amis, une copines... Mais sa ne vas pas... Toujours pas... Comme si une faim inssasiable s'échappait de mes intestains pour me ronge la vie. Malheureusement de cette maladie je suis boulémique, et rien ne s'arrete.

Pitié, je haie la solitude. Surtout quand je sais qu'une quinzaine de personne en se moment font la fête tranquillement. Quand je sais que se n'est pas pour moi. Que se soir j'ai dut me contenté d'une émission sur les orages, et d'un téléfilm bidon... et que la seule raison à ça, est l'inscription demain pour une fac ou je n'ai pas envi d'allé, mais où je n'ai plus le chois...


A quoi bon rêver si c'est pour ne pas les voire se réaliser ensuite. Sommes nous voué à ne jamais avoir se qui nous plait?


m'écoutez pas, de toute manière je dit que de la merde, je suis qu'un con pourri gaté, encore enfant dans l'âme et qui ne se rend pas compte des impératifs de la vie...  Et comme aurais put dire Valentine "Arrête de te plaindre, on dirais que tu sait faire que ça." Bref, vous l'aurez surement comprit, je n'aime pas faire quelque chose qui me fait chier. Je n'aime pas rester seul, je n'aime pas ne pas faire la fête. Alors quand je ne peut pas faire la fête et que je reste seul pour faire des choses le lendemains, et bien sa me fait chier...

"reste 24 heures à la maison." si c'est juste ça que tu voulais se soir, alors tu n'as rien comprit. Je veux bien reste, mais pas pour dire que passer la soirée avec quelqu'un c'est la passer devant la télé ou devant un pc... l'envie de vie, est une envie éphémère et incroyable, car comme une drogue. Tout manque créé une crise.

Je suis en crise.

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