Lundi 29 décembre 2008 à 18:02

Deux jours coupés du monde.

Deux jours passés à ne rien faire, juste à profiter des peut d'instants à partager. Deux jours de partages, de questions, de réponses dites ou non. La force profonde des instants, des bétises qui font rires, des jeux stupides à souait et qui rendent profondément heureux. La dureté, des départs, la surprise du jours en plus, de la soirée, de la nuit en plus.
Se sentir vivre, libre comme l'air. Presser par le temps, calme dans l'instant.


Au week-end prochain.

Mercredi 24 décembre 2008 à 3:01

La vie repprend sont rythme en Hiver et à l'inverse de la nature toute entière. Oui, je revit. Combien de temps m'a t'il fallut avant de pouvoir dire que je peut faire deux pas sans avoir besoin d'un mur pour me reposer. Combien de temps m'a t'il fallut pour comprendre que le passé, et les erreurs ne s'éfface pas, ne se pardonne pas. On se le pardonne à sois même, mais on ne reviendra jamais en arrière...

Pourtant, le passé et le présent reste bien lier. Dans trois jours c'est une grande amie qui vient. Combien de temps ne l'ais-je pas vue? Un ans et demi? Plus? Pourtant, ses histoires là on l'impression de n'avoir jamais finie. Coupé net par les mots, par le temps, les sentiments, tel la branche d'une plante coupé à vifs est à même de repousser quand le printemps revient.
Mais qu'est ce que le printemps pour moi? Une personne? Un sentiment? Une période?
 
Je repousse sans même savoir pourquoi, dans un inconscient des plus total. Mon corp se réchauffe et prend lentement vie. Tout s'enchaine dans un effet boule de neige. L'avalanche de printemps, l'avalanche de chaleur. je fond pour couler plus vite et plus fort encore. Mon corps et mon esprit s'électrise. Je me sens fort, invinsible. Car j'ai apprit à vivre comme je suis, et non comme j'aimerais être. J'avais toujours voulut être insensible aux sentiments, à tant de choses, mais, apprendre à lacher les larmes dans le calme d'une salle de cinéma n'as pas d'équivalent, comme si la tristesse ne faisait plus qu'un avec la joie.


Que des bons moments en perspective pour cette année 2009

Bonne fin d'année et de bonne fête.




 

Vendredi 14 novembre 2008 à 15:22



Qu'est ce le passé, mon passé?
Qui suis-je?

Mon passé fait partit de moi comme chaque molécule, je constitue de mon passé, au point où je ne peut m'en défaire. Mais alors que faire? Tout souvenirs sont avec moi et je ne peut m'en détacher, j'en garde une certaine nostalgie comme une certaine rancoeur. Tout se mélange, et j'en fait un être imparfait. Le passé sous toutes ses formes se manifeste, je le remue, je l'observe. Je prend les meilleurs moment, je juge ma confiance, mon bonheur passer, se que cela m'a apporter. 

Aujourd'hui,
j'ai décidé de prendre un autre facteur. Celui de l'avenir. Je ne veux pas errer inconsciamment, doutant de tout.
Cela fait déjà presque dix mois que je ne suis plus avec personne. Cela m'a permit une sorte de réflexion.
Et de comprendre que dès le début il me fallait quelque chose qui dure.

Si je doit me mettre avec quelqu'un demain, se serra avec sérieux, et espoir de longévité.
Un passé fera un avec le présent et l'avenir.
 





Mardi 4 novembre 2008 à 23:40

Mascarade de la vie...

La vie est un grand bal, ou les danseurs se croisent et se recroisent dans une mélodie joué par les musiciens de la destiné. La mélodie dansante et langoureuse à virer dans le psyché. Car la conscience du narrateur est obstrué par une belle question bien réthorique "Que faire de ma vie?" et qu'il en suis une perte de repère total.
Une question bien étrange, alors que l'avenir du monde se joue en se moment même à l'autre bout de l'Atlantique et que sans le savoir, sont compte bancaire n'éxiste plus car sa banque à jouer sont argent en bourse (je vous rassure, j'ai eu de la chance). Bref, revenons à la discution de se soir. Comment alors un 'jeune' de maintenant peut objectivement rester réaliste sur ses chances de bonheur? La crise vas remettre le pays et le monde dans une merde incroyable, et la population vas en patir, le système d'éducation sécroule et en continuant sur cette route, nous aurons des souvenirs de l'école dans les musées (si ils éxistent encore évidemment), les jeunes et chomage sont deux situation qui s'accorde très bien en se moment. La jeunesse subbit aussi une répression inconsidérer de notre président. Il est alors en droit au jeune de se poser la question "Peut on avoiur une éxistence heureuse dans la société?".
Une génération perdu? Suremment mais cela est surtout le fruit de trop de profit aux générations antérieurs, des choix politiques stupides et contreverser.
C'est pour ça que l'on ne fou rien, que certaines personnes sont dans un milieu qui fait qu'ils ont de l'espoir, ça existe depuis toujours. Mais nous fils d'immigrants, ou de n'importe où d'ailleurs, on à peut être l'envie, le rêve. Mais c'est cette société, fonctionnant si mal, à en perdre l'idée que les meilleurs sont ceux qui réussisent qui nous dégoute juste le fait d'imaginé d'en passer par là des fois.
Combien de musicien qui passe à la radio on un parent connus ou fans le milieu de la vie. La vie est un immense piston, la gens appels ça la société ou la hiérarchie. Moi j'appel ça de la merde en bloc, on vie dans l'envie de tout se dire, mais on en est incapable.
Combien de cinéaste on un père producteur ou réalisateur? C'est haineux quand même, tout se que je dit, car aujourd'hui, je n'avais rien à faire alors j'ai réfléchit. Dans mon silence intérieur en resortait une certaine frustration, et celle si je l'explique au dessus. Peut être que cela est du à un total manque d'inspiration pour le journal du festival d'Amiens, peut être parce que réellement je sais que toute mes années d'études m'envairons pas où mes rêves me dessine.


Sur ce, je vais faire autre chose, j'aurais bien fait une petite chansonette ou un poème en prose, mais je ne craint pouvoir tenir psychologiquement plus longtemps.

Samedi 18 octobre 2008 à 23:06

Horrible jour, triste vie, je n'en peu plus. Aucune muse n'habite mon âme et pourtant mon coeur continu de battre. Mais pourquoi vivre pour sois même, comment cela est rendut possible. L'esprit humain dans toute sa complexité n'est'il pas capable de trouver au plus profond de lui un divertissement?

Et pourtant, il y a cette guitarre qui m'appel tout ses week ends quand je rentre. Je sais que j'ai envis d'en jouer, j'ai envis de la faire chanter... Pourtant, à la moindre pensée de joué, une douleur atroce me vient à la tête. Las d'entendre toujours les mêmes accords, les mêmes notes, les mêmes mélodies... Alors je ne fait rien. Et à l'image de la musique, je ne fait rien de ma vie. Car je n'ai plus de vie... L'internat pour moi, est plus qu'une prison physique, l'esprit, dans une incapacitée totale de se reposer se retrouve dans l'incapacité d'être allaise....
Oui, un pete sa fait du bien... Mais il y a mieu que les paradis artificiels pour voyager, il y a la vraie vie. Celle sans préoccupations, sans obligations, celle où finalement la liberté est la seul contraintre... Mais de toute manière j'arriverais toujours à me plaindre....

Par exemple mercredi j'ai croisé Soreya... C'était étrange, car on as parler avec quelques mètres de différences, comme deux inconnus demandant leurs chemins respectifs. Ainsi, peut être que tout à été résumer dans cette journée... On c'est croisé elle et moi, rien de plus. Je ne l'ai pas trop comprie, et elle non plus... Ou peut être trop qui sait?


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