Lundi 15 juin 2009 à 20:33

Tic Tac Tic Tac, et le compte à rebourd tourne toujours, Tic Tac et l'oeuvre de l'horloge ne s'arrete pas.
Tic Tac, lancé dans ses rouages Tic Tac Tic Tac, une course contre le temps que l'on ne gagne pas.

Il fallait peut être ne plus croire, ou juste y voire dans le noir.
Mais aujourd'hui, je suis heureux, pas sérieux, juste heureux.
Comme le bonheur ne vint jamais seul, il apporter avec moi quelques malheurs;
mais tant pis, peut être est ce mieu ainsi, plus près de mes amis.

Tic Tac demain c'est le Bac
Tic Tac  j'ai plus beaucoup de tabac
Tic Tac, le monde est en vrac

Et si c'était pour dire que des fois, on as rien à dire
que lorsque l'on s'endort,
règne une odeur de mort


 

Lundi 4 mai 2009 à 1:52

Il est tard se soir, et je devrais déjà être en train de dormir, comme le bon écolier que je suis. Mais comme chaque fois, comme toujours, une impossible capacité de me plonger dans se que l'existence a rendut de plus simple et d'accablant me prend... Ainsi, après avoir lutter allonger huit heure dans mon lit, j'ai trouver se que je cherchais dans cette couette... Le sommeil
Mais plus que de savoir où se trouve mon sommeil, je cherche autre chose. Mon esprit cherche, et ne trouve pas. Il ne comprend pas se qui ne fonctionne pas. Tel un puzzle incomplet. Il cherche à mettre tout en ordre, mais plus il cherche et plus il se perd. Je suis comme un enfant perdu s'enfonçant encore plus dans une fôret en esperant tomber sur quelque chose de connut.
La réel question que je pause aujourd'hui est encore de savoir comment je suis arrivé jusqu'ici. Est ce l'accumulation de se qui c'est passer depuis cette été 2007? Ou une enième raison que je ne cerne toujours pas.
Je suis fatigué, et pourtant je ne dort pas. Mon esprit lutte contre les besoin de mon corps, comme si au lieu de devenir se qu'il avait toujours été, il cherchait à être différent au point de changer son métabolisme de base...

Je part loin là. Et je me demande si je ne devrait pas m'arreter ici. Mais il n'y à rien de mieu que de se faire une introspection tardive, à la vas vite, tel un cambrioleur amateur. Mais je ne peut pas violer mon esprit, qui peut violer sont esprit? On se convaint tellement facilement de certaines choses, qu'il est impossible d'avancer seul, et toujours tout droit. Mon avis subjectif ne peut que me tromper. Ainsi, peut être que j'écrit délibérement pour ne pas allonger ma petite carcasse d'homosapien dans la verticale de mon matelat...
Mais si c'était tout...

Je ne suis pas vide de sommeil, mais de sentiments... Je n'aime plus personne depuis tant de temps. J'ai perdu foi en l'espoir d'aimé. Ou du moin de créer une relation stable et équilibrer. Est ce une peur, un malaise intérieur que je ne comprend pas. Je n'en sais rien, et depuis tant de temps sa dure.
Et dire que ma famille Italienne me prend pour le prochain grand réa, qui pensent que j'enchaine les copines... Mais plus je flirt, et plus j'abandonne tôt. Ainsi, la dernière que j'ai réellement perdu, est cette chère futur kiné qui commence à juste me manquer. Je l'avais mise dans un coin de ma tête pensant à avoir mieu à faire, mais elle est ressurgit au moment ou je mi attendait le moin. On m'a reparler d'elle, demander comment elle allais, on me disait qu'elle était bien gentille...
Mais comment ais-je fait pour croire que je fonctionnerais comme ça? Faut'il qu'on me dise que je fait des erreurs pour que je m'en rende compte? Suis je vraiment un incapable?

Je me déçoit, incapable comme toujours de faire se que je doit faire, de faire des promresses pour éviter de ne pas y manquer et ainsi me déresponsabilisé en permanence.

Et suis j'avouais tout?


Vous l'aurez comprit.
Je m'issole de mon fort intérieur, pour vous montrer faible extérieur...
Car
pourquoi suis-je la seul personne persuader d'être incapable
de faire quoi que se soit de bien, d'intelligent, de concret
et qui face plaisir aux autres...

Mais est ce que j'ai envis de faire plaisir aux autres? Je me plaint de ne jamais faire se qui me plait et maintenant me voila me plaindre de ne pas être aussi bon que je le voudrais...


Je devrais vraiment me coucher...
Mais un jours je devrais aussi vraiment éclaircir tout ça.

 

Dimanche 22 mars 2009 à 9:15

Ce matin, je pensais à toi. J'ai voulut t'oublier. J'ai prit "pilou" dans mes mains, et je suis partit dans les astres. Léger sous ma couettes, comme un astronautes sur la lune. Planant à chaque pas de plus. Car quand tu as envis de voire personne j'ai envis de te voire. Quand tu as envie de me voire, moi je continu ma route dans mon coin. Quand tu t'ennui moi je m'amuse. Quand tu est heureuse, moi je sais plus ou me mettre. 
Je ne te comprend plus. Alors je part, de mon coin. J'allume mon vaisseau de la flame de mon amour pour toi. Je m'envole, et je te dit adieu de loin. Peut être un jours me rejoindra tu. Je n'en sais rien.
Je te quitte pour chercher le bonheur ailleur. Même si rien n'était fait j'ai comrit que ma place ni était pas, ou pas encore pour le moment. Peut être ne suis je pas pret. Je n'en sais rien.

Car il faut que je parte, que je joue de la guitare, que je m'inspire de toi. Que je vive pas dans le noir, que je vive pour moi. Que je joue avec soin, un rythme martien. Que je m'éclate sans mal, tout en restant sage et raisonnable. 

Mardi 24 février 2009 à 3:55

Réfléchir ne pas réfléchir. Tourner en rond, fumer, chanter, danser, ne rien penser, juste à sois, rien qu'a sois. Ne penser rien qu'à moi. Comme je fait toujours, ça fait du bien, être dans ses rêves, dans la neiges, dans l'eau froide d'une baignoire. Ecouter de la musique, faire la fête, la cuisine, le bordel, faire chier les voisins. Dormir par terre, sur un fauteuil, confortablement dans un lit. Lire, jouer, au pc de la guitare, aux cartes, Perdre, gagner. Se reposer, se couler une douille, planer. Recommencer. Rêver. Ne pas réfléchir, continuer à fumer, et penser à sois. Et ne penser rien qu'à moi. Danser, sauter, et s'en vouloir.


Mon repos est ta clémence.

Vendredi 2 janvier 2009 à 15:45


Qu'est ce qu'on c'est dit hier, j'ai tout oublier. J'ai oublier l"échos ne nos mots dans tes oreilles, ton dure réveil. Tes pleures surement, ta haine évidament, ta vengeance possible.

Moi, j'ai tout oublier, qu'est ce que j'ai put dire hier? Qu'est ce que j'ai put faire pour que l'on repparte comme ça chaqun dans sont coin pour se coucher à l'autre bout de la france... Oui, on est loin chacun l'un de l'autre. Oui, tu me manque, oui j'ai dit que je ne t'aimais pas. Mais se n'est que l'autoanalyse. Je ne vais pas te dire je t'aime alors que je me pose tant de questions, les mêmes questions que toi et qu'on doute, doute et doute, et que l'on ne comprend surtout rien.  Je ne vais pas te dire je t'aime, te dire que tout vas bien se passer, que sa vas forcément continuer pendant longtemps alors que comme tu le repète sans cesse. 
 
On est des inconnus

Qui ne se sont vus que deux jours en un ans et demi... Je pourrais te dire je t'aime quand j'aurais passer plus de temps avec toi, quand je n'aurais pas l'impression de te le dire pour te faire plaisir. Je peut juste te certifier que j'ai hate de te revoir, de te reprendre dans mes bras, de me faire pardonner de ma rapidité à m'énerver hier soir.

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