Mardi 4 novembre 2008 à 23:40

Mascarade de la vie...

La vie est un grand bal, ou les danseurs se croisent et se recroisent dans une mélodie joué par les musiciens de la destiné. La mélodie dansante et langoureuse à virer dans le psyché. Car la conscience du narrateur est obstrué par une belle question bien réthorique "Que faire de ma vie?" et qu'il en suis une perte de repère total.
Une question bien étrange, alors que l'avenir du monde se joue en se moment même à l'autre bout de l'Atlantique et que sans le savoir, sont compte bancaire n'éxiste plus car sa banque à jouer sont argent en bourse (je vous rassure, j'ai eu de la chance). Bref, revenons à la discution de se soir. Comment alors un 'jeune' de maintenant peut objectivement rester réaliste sur ses chances de bonheur? La crise vas remettre le pays et le monde dans une merde incroyable, et la population vas en patir, le système d'éducation sécroule et en continuant sur cette route, nous aurons des souvenirs de l'école dans les musées (si ils éxistent encore évidemment), les jeunes et chomage sont deux situation qui s'accorde très bien en se moment. La jeunesse subbit aussi une répression inconsidérer de notre président. Il est alors en droit au jeune de se poser la question "Peut on avoiur une éxistence heureuse dans la société?".
Une génération perdu? Suremment mais cela est surtout le fruit de trop de profit aux générations antérieurs, des choix politiques stupides et contreverser.
C'est pour ça que l'on ne fou rien, que certaines personnes sont dans un milieu qui fait qu'ils ont de l'espoir, ça existe depuis toujours. Mais nous fils d'immigrants, ou de n'importe où d'ailleurs, on à peut être l'envie, le rêve. Mais c'est cette société, fonctionnant si mal, à en perdre l'idée que les meilleurs sont ceux qui réussisent qui nous dégoute juste le fait d'imaginé d'en passer par là des fois.
Combien de musicien qui passe à la radio on un parent connus ou fans le milieu de la vie. La vie est un immense piston, la gens appels ça la société ou la hiérarchie. Moi j'appel ça de la merde en bloc, on vie dans l'envie de tout se dire, mais on en est incapable.
Combien de cinéaste on un père producteur ou réalisateur? C'est haineux quand même, tout se que je dit, car aujourd'hui, je n'avais rien à faire alors j'ai réfléchit. Dans mon silence intérieur en resortait une certaine frustration, et celle si je l'explique au dessus. Peut être que cela est du à un total manque d'inspiration pour le journal du festival d'Amiens, peut être parce que réellement je sais que toute mes années d'études m'envairons pas où mes rêves me dessine.


Sur ce, je vais faire autre chose, j'aurais bien fait une petite chansonette ou un poème en prose, mais je ne craint pouvoir tenir psychologiquement plus longtemps.

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