Mardi 18 décembre 2007 à 23:15






"Sa va pas"


Elle m'a envoyer ça en cours se matin. Je venais alors de croiser son regard. Ses yeux sombres m'avaient bouleverser, renverser et ma tête tanguait comme un bateau laisser libre sur les flots. Oui, je me sentais mal, autant que pendant tout le reste de la journée. Affronter son regard est si dure, je n'ai plus la force. Je la fuis, autant que je la cherche. Mais sa n'est qu'un manège... De toute manière, aujourd'hui, elle à l'image de la classe. Je l'ai fuis.
Je dit classe, mais cet après midi, je me suis rendu compte que sa n'est pas une classe que j'ai. Mais des élèves comme ceux que je pourrais croiser dans les couloirs. Sa n'est plus ma classe. Je ne partage plus grand chose avec eux. D'ailleurs, je n'ai ni envi de partager le déjeuner avec eux, ni de leurs parler. Je m'isole. Je reste silencieux. Je ne parle plus, et si je parle sa n'est pas à quelqu'un mais à un groupe. Il m'arrive aussi de croiser des connaissances et dire des banalités, les typiques "salut, sa vas?" "Ouais et toi?". L'important dans la question, c'est pas si l'autre s'intéresse à toi, car de toute manière, il s'en fou autant que toi de la réponse. C'est de se dire, que lui il est même pas au courant que tu t'est fait larguer mercredi dernier et que tu peut lui dire se qui te plait, il ne s'arrêtera pas pour autant.  C'est du beau...

Mais c'est fou quand même quand on est seul, on se sent vivre encore plus fort que d'habitude. On ne prête plus attention aux autres, mais seulement à soit. Ainsi tout à l'heure dans le car, je me suis aperçu que plus rien ne motivait. Ses vrais, je vient pour quoi au juste maintenant? Je bossait pour elle, mon coeur battait pour elle... Mais aujourd'hui, je vient toujours, mon coeur bas toujours. Mais sans plus aucune réel raison.
A non, n'allez pas penser que je suis suicidaire, ou que je suis de ceux qui meurent de chagrin d'amour. Je suis juste casser, à bout. Je me rend compte seulement maintenant à quel point les personnes d'une classe ne peuvent pas forcément faire attention à quelqu'un. Normal que Cécile à eu des problèmes, tous égoïste, du moment qu'on est pas coupable de quelque chose, on ne tente pas d'agir.
Ainsi, personne ne se demande où je mange, personne est venu me réconforter me dire un mot gentil. Je trouve même comique que jeudi "larme" comme je vais l'appeler, le jours ou j'ai fini chez la CPE, que sa soit Lorinda que fut venu me réconforter... Comme quoi...

Il reste bien Joris et Freedy qui reste en contact avec moi... Pierre aussi un peut, mais il devient vite agaçant... En tous cas. J'en ai totalement marre. Je subit chaque cours comme une perte de temps, je ne comprend plus l'intérêt. Je me sens relativement mal et j'arrive pas à être fort. Ainsi, je lui fait des sourires des fois en classe. Je peut rien faire de mieux de toute manière. Pierre m'a fait remarquer qu'elle avait bien choisit son sujet se matin en littérature. Il a presque réussit à me faire quitter la classe. Mais de toute façon, "c'est qu'il est pas bien".

En conclusion, je n'attend que la fin de cette année, que tout change, j'en peut plus du tout. Mon coeur est à bout de souffle. J'ai juste besoin de réconfort, de tendresse.

J'aimerais juste... [tant de choses]


Samedi 15 décembre 2007 à 0:38

Alors, cet article commence tout simplement par un message que tu m'a laisser sur msn. Tu me disait "Tu ne m'as même pas adressé la parole...". Il a fallut que je te réponde. J'ai voulut te répondre ici.

-Hé bien, je t'ai pas adresser la parole parce que j'ai bien l'impression que dans ton petit jeux sa t'arrange bien. Je suis désoler de te le dire comme ça, car j'ai toujours douter en partie de tes sentiments, je sais que le "t" fait pendant Sarlat veut dire quelque chose. Mais après se qu'on m'a dit se matin, j'ai vraiment envi de prendre des distances, d'ailleurs, je dit se matin. On m'a beaucoup parler de toi aujourd'hui. Surtout à propos d'hier.
Mais bon, les apparences sont trompeuse. Pour commencer, le dvd je sais pas comment il est arrivé dans les mains de gaetan. Mais sache, que si tu te confie à lui comme se midi (car y a pas à dire, je savais que vous étiez sur les marches). Sa vas pas le faire. J'avais déjà de la rancune pour lui, et lui de la haine pour moi. Mais j'ai apprit qu'il avait eu l'intelligence de dire hier que je l'avais bien mériter de me faire larguer, que je l'avais chercher. Il y aura des compte à rendre, lundi sera la journée.
Après tout, normal, Julie n'était que son ex. Mais j'ai commencer à lui parler, à elle, seulement après qu'elle l'ai larguer. Je suis innocent... En tous pas coupable de sa blessure sentimental.

Après, pas mal de personne mon dit que tu était bien joyeuse hier. Bon, on m'a bien dit que t'avais boudiner quand la prof de Français à demander où J'étais. Mais pas suffisamment pour t'empêcher de l'appeler tout de suite après être sortie du cours.
Je sais, voila, c'est les "on dit". Comme d'habitude, il faut te faire confiance. Je sais c'est dure,  surtout après mercredi.

Je sais, je sais... Je sais se que tu vas me dire. Bas écoute, à l'inverse de toute les grandes promesses que j'ai faite, je l'ai laisser tranquille ton nouveau copain quand je suis sortit du lycée. J'ai tracer ma route, j'avais encore moins envi de te croiser avec. Je l'ai juste montrer du doigt à Mélanie en disant "voila l'enculer qui sort avec ma copine". Vous avez jamais remarquer, on dit toujours ma copine quand on vient de se faire larguer. C'est notre esprit qui refoule les évidences. Sa me faisait la même avec Valentine. "Ma copine ressort avec son ex"... Non non non "Ton ex sort avec son copain."...

C'est fou comme les choses simples comme ça mettent un temps à se remettre en marche. On garde les vieilles habitudes, et il faut finalement apprendre à les perdre.
Et après hier tu me disait peut être trois jours avec lui pour voire si t'était vraiment amoureuse... Tu sais, les on dit son fort et toi même tu y avait céder. Si je cède encore aujourd'hui, c'est parce que beaucoup de gens qui ne se parlent pas disent la même chose. Que j'ai confiance en ses gens là. Car mercredi ils étaient désoler pour moi.
Mais je garde en moi l'image de celle que j'ai connus. Je sais, "nous" sa à durer plus d'un mois, sa n'est pas comme les autres avec lequels tu jouait. C'est bien beau. Sauf que nous, on se faisait toujours la gueule et on se parlait presque plus. Là, tu avais raison. Sa ne pouvait pas durer comme ça. Même des amis me demandait avec humour "comment sa vas avec Lorinda?" La chance que je réponde "bien"était minime.  C'était ça le marrant, de toute manière je répondait toujours "Je me suis prit la tête avec elle, pour un rien." Toujours... Toujours... C'est là que tu as bien fait, c'est vrais que sa n'allais plus sur se point là.
Mais dans tout les cas, tu avait déjà prise les devants bien avant de me quitter, déjà deux semaines avant tu t'entretenait avec OCB sufisament loin pour que je n'entende pas parler de Julien. Après, oui, tu me disait. Mais tu me disait se que tu voulait me dire, sinon pourquoi s'écarter de moi pour en parler. Pov lolo... On s'en pose des questions dans le cerveau d'un homme. Mais tu verra, des fois le coeur sa suis... Quoi que le mien bat un peut fort ses derniers temps, au point que quand je tousse, j'ai l'impression qu'il s'arrête. Mais passons. J'en était où? A oui. Julien et les bablatages à l'écart. Bas, d'ailleurs, je me rend compte à quel point on peut aimé les amis.
La prochaine fois que OCB est bourrée et qu'elle a besoin de quelqu'un pour la tenir dans les marche pour ne pas tomber, elle n'auras qu'à crever.
Mais j'ai l'impression que sa fait beaucoup de haine dans si peut de mots... Gaetan, Julien, OCB...  Et toi là dedans.
Normal, tu n'est pas épargner. Ouais, tu préparait ton coup avec Julien déjà depuis longtemps non? C'est vrais, si  même Charlotte savais que Julien était à fond sur toi, c'est que sa tournait pas mal déjà dans Beauvais.
Mais je sais qu'il me manque quelque chose dans tout ça, une explication. Ouais. Sa me semble encore mystérieux.

Tien, c'est marrant. J'ai un peut l'impression de chercher des preuves, tu sais un peut à la Colombo. Mais bon, j'ai un peut l'impression que je vais faire comme dans les mauvais films policier. Tu sais, découvrir tout un peut trop tard quand je ne pourrais plus rien faire. Quand le coupable serra partit, et les victimes déjà enterrer.

Mais c'est le fait qu'il reste encore des zones d'ombres qui me tracasse. Je ne pourrais donc pas connaitre toute la vérité? Mais est ce que je veux vraiment connaitre la vérité? C'est une bonne question. Car c'est vrais, sa se trouve tout se que j'ai écrit ici est monter injustement, voire l'inverse tout se que je dit ici est la courte preuve de ses derniers jours.

Sa voudrait aussi dire dans le dernier des cas, que finalement ils avaient tous raisons. Ils avaient tous raisons en me disant que tu me ferais souffrir. Que si sa c'est passer comme je suis en train de le découvrir, tu t'est foutu de ma gueule pendant 1 ans et demi et que tu fait très bien la comédienne. Si j'avais encore de l'humour, j'applaudirais ton jeux que tu a tenue pendant autant de temps devant moi.
Mais sa ne veut pas non plus seulement dire ça, sa voudrait dire que je suis tomber amoureux d'une fille qui se paye ma gueule depuis autant de temps, qui m'a fait perdre des amis, des personnes à qui je tenait comme jamais. Des personnes que j'ai aimé même.

Si c'est vraiment ça, alors je ne pourrais pas te pardonner. Je ne t'en voudrait pas. Car si toi tu a été illusionniste moi j'ai  été aveugle et ça pendant trop longtemps. Mais sa je le sais pas encore. Il me manque une dernière chose et si c'est vraiment se que je pense, alors tu n'auras pas grand mal à m'oublier.



Jeudi 13 décembre 2007 à 10:57





Elle tourne et elle tourne sur ses deux patins. Et moi je la regarde de loin.
Elle tourne elle tourne avec son futur copain et moi je sert à rien.
Elle tourne elle tourne sur la patinoire pendant que je broie du noir.
Pour elle c'est une nouvelle histoire. Pour moi un au revoir.
Elle tourne elle toune, une nouvelle page. Ses de sont age.

Je me rappel sont déhanchement sur un rythme endiablé, elle ma destiner?
Elle danse, elle danse dans son serouel et je ne regarde qu'elle.
On c'était déjà perdu depuis longtemps, depuis un long moment.

Elle tourne elle tourne sur de la glace et je trouve sa dégueulasse.
Je suis rester planter comme un pantins, la regarder lui parler sur ses patins.
Je suis partit, je suis revenus, on c'est reperdu.

J'ai arracher sa photo de son mur, on n'est pas assez mature.
il reste ses dessins, que j'ai regarder se matin.




Lundi 10 décembre 2007 à 20:36





 J'en ai marre, je suis crever. Je n'arrive plus à me sortir de mon lit, et le weekend ne m'a pas apporter de repos. Pas de grasse mat' cette semaine rien de ça... Mes mains, mon corps, mon esprit demande de s'échapper de façon artificiel et part la faute de yan, se soir sa ne sera pas possible...
Je sais que je vais craquer, que je vais devoir trouver un moyen pour me calmer. Non, je ne suis pas accro, ou dépendant. C'est juste le lundi soir... La pire journée de la semaine, suivit du mardi. La journée que je déteste presque autant que le lundi...
J'ai plus envi de rien faire, et sa n'est même pas si je me force à écrire cette article pour dire où j'en suis. Mes rêves ne jurent qu'en la verdure, et sans elle je pense perdre tout mes moyens. Mais il y a tellement de chose qui me manque, que je ne peut expliquer si cela vient seulement de se que l'on nomme coupable à chaque instant.

J'en ai juste marre, je n'aime pas pousser des coups de gueules. Je n'aime pas me dire que se soir je vais me faire chier car rien vas rendre ma soirée divertissante. Comment se dire que demain vas être bien, si le soir précédent je suis comme ça. Dieu sait que je n'aime pas me coucher avec cette attitude. Si seulement quelque chose, quelqu'un modifiait ma soirée. Si seulement quand je rentre chez moi je n'aurais pas trois choses à faire d'ennuyante, peut être que je louperais pas mon car le matin, peut être que j'aurais quelque chose qui me motive. Mais rien. J'ai juste envi de voyager, de bouger et de ne pas connaitre la banalité.

Ouais, c'est bien beau les rêves comme ça qui ne prennent pas forme, et  demain, le rêve toujours en tête, je prendrait banalement mon car pour me retrouver dans la même ville qu'hier et de tous les jours depuis trois ans. J'ai la blase, demain j'ai encore cours toute la journée. Si au moins il y avait le soleil...

Et je fait encore des plainte muette, car moi même je n'ose pas y répondre. Je sais trop que dans tout les cas, c'est pas demain que ma vie vas changer, sa n'est pas demain que je découvrirait le "pure" bonheur... Alors je souffle à longueur de journée, comme si cela pouvait changer quelque chose. Mais finalement, je me retrouve toujours dans la même situation...

J'en ai marre de Hodenc, de Beauvais de Truffaut et de ses banalités... J'ai besoin de piment...

Jeudi 6 décembre 2007 à 19:50

Je me suis perdu aujourd'hui dans les dédales de ma vie. J'ai semer à la manière du Petit Poucet, larmes, hargne et haine (et ma casquette). J'ai pas encore retrouver mon chemin (ni m'a casquette), je suis encore déboussolé. J'avais perdu mon chemin et mon objectif. J'avais perdu ma motivation et mon sourire. Aujourd'hui j'ai vraiment pleurer pour la première fois au lycée. Depuis j'ai plus envi d'y retourner dans se lycée. Je le haï, autant que j'ai besoin de lui et pourtant, il fait tout pour se débarrassé de moi.
En même temps, tout le monde me pousse à travailler, me dicte de pas déconner, que j'ai pas encore un ans à perdre... Que c'est possible d'avoir son bac avec 21 points de retard, avec 7 de moyenne et quand on est presque virer de son lycée...

Sa, c'est se que je voulait dire de ma journée. Mais forcément, quand je commence un article, je me retrouve toujours à faire autre chose en même temps. Juste le temps de retrouver Lorinda que je me prend la tête avec... C'est pas dans le fait que l'on à deux caractères particulièrement "Gdbzeazhu" (je trouvait pas mes mots, enfin, j'espère que vous aurez comprit). En tout cas, on ne peut pas parler sans se barrer, et surtout elle. Qui se barre plus facilement... D'ailleurs, elle c'est encore barrer. M'enfin... Tout pour dire que j'ai l'impression de ne jamais lui faire entendre raison, et que finalement, ce quelle nous impose elle en a rien à foutre, du moment qu'on ne lui fait pas...
(En relisant se que j'ai écrit, je me suis rendu compte que j'y était allé un peut fort. Au moins ça à la mérite d'être claire et sincère... Bas autant que je le mette. J'espère que tu m'en voudra pas, mais montrer à quelle point on s'aime me semble important, et qui sait, avec le recul, sa nous fera peut être rire )


Moi:Dit moi, tu peut me dire se qui ta fait revenir (enfin, tu n'est pas partie, mais c'est presque pareil pour moi)
Elle:Bah je t'aime

Moi:Me dit pas que en deux jours, tu n'as trouver que cette réponse, ou tu t'est seulement poser cette question....
Elle:Je...Heu...Non ça n'est pas la seule réponse, mais une des plus convaincante.
Moi:J'ai le droit de connaitre les pours et contre avant que je parte faire la cuisine, ou je peut me le mettre?
Elle:Euuh je ne sais pas 
Moi:Et pourquoi?
Elle:Parce que sinon tu pourrais jouer les pour devant moi et faire les contre derrière mon dos !
Moi:Bas le problème, c'est que si tu me dit rien, des choses qui te font chier chez moi, je le ferais devant toi et derrière toi... Enfin, vue que je sais pas se que c'est tout est relatif Nan mais franchement dit moi... C'est important pour moi...
Elle:Bah j'ai besoin d'un minimum de liberté je crois. Trop de Théo tue le Théo comme on dit !   Je veux dire par là qu'il y a des moments ou j'ai vraiment besoin d'etre seule. Mais ce n'est pas pour ça que je fais la gueule ! 
Moi:"des moments ou j'ai besoin d'être seul"... Sauf quand tu vas très mal, j'ai pas l'impression de te voire toute seul à un seul moment... En gros, je devrait être là quand ta envis de me voire, mais parcontre quand tu as envie que je te laisse, que je disparaise "paf" le temps qu'il faut?
Parce que c'est bien beau d'être jalou machin et compagnie, mais tu m'interdit des trucs que tu te permet...
Elle:Punaise mais arrête je ne te prends pas pour une chaussette ! Je te dis juste que des fois on est trop tout le temps collé et bout d'un moment ça devient lourd.
Moi:... Par contre, faudrait mettre aussi des choses au claire à propots des trucs que tu m'interdit... Enfin, je genre de chose qui te font chier.
Elle:C'est a dire ?
Moi:Parce que je conçoit pas le fait que tu m'interdise d'allé faire tel ou tel chose parce que y a tel personne là bas. Alors que toi t'invite qui tu veut chez toi, et j'ai pas mon mot à dire parce que "tu gère"
Elle:qui je veux chez moi ? En même temps t'es là alors y a pas de risques ! 
Moi:Je suis là, mouais... Un jour sur deux... Et même au début, je veut bien mais hugo venait facilement quand vous vous "reparliez" et le fait qu'il te ramène... C'est comme si je rentrait avec Valentine...
Et tu dort avec tes meilleurs amis, je vois pas pourquoi je pourrais pas le faire avec mes meilleures amies... C'est du pareil au même.
Elle:Je dors avec mes meilleurs amis ? Bah putain ça fait longtemps que ça ne s'est pas produit !
Moi:Laisse tomber, de toute  manière, Sa sera jamais parfait, j'aimerais que tu sois différente des fois, et toi tu voudrait que je le sois aussi. On changera ça qu'en s'enguelant, j'en ai casiment ma claque que tu embrasse tes potes, Sa beau être craddle ou "Ptit chat" sa change rien.
Tu veut pas que je sois colant, alors évite de faire tous se qui me déplait car j'ai pas envis de me prendre la tête avec tout...

Elle: Bon, a demain.

Nous sommes encore des enfants, non pas des enfants, des gamins... On s'engueule facilement, j'ai l'impression d'être un jours sur deux avec elle. Sa faisait deux jours qu'on ne parlait plus ensemble on s'esquivait et voila la première discutions à propos de nous. On fuit les évidences, on s'aime sans vraiment s'entendre. On est tout les deux aussi con l'un qui l'autre, elle fait se que je déteste le plus devant mes yeux, tout en le sachant. Alors que moi, je tente de vivre ma vie comme avant...
Lorinda, je sais pas si tu le lira  entièrement  cette article. Mais  ne me dit pas que je suis trop collant, je passe presque plus aucun moment avec toi depuis qu'ils nous on déplacer, on se parle seulement au pause et presque pas au récrée... Qu'est tu veux que je sois trop là? Faut vraiment qu'on ne se parle pas pendant deux jours pour que je te manque? J'aimerais que sa soit plus claire, plus niant niant des fois. On se prend la tête vraiment pour un rien, j'ai l'impression que tu fait un peut se qui te plait alors que moi:
- Je doit pas allé chez loic car y La fée.
-Je doit me faire surveiller par Aurélie chez Yohann car on sais jamais qui il peut y avoir.
-Je vois trop Tioule, je prend trop de verre avec elle, et compagnie. Bas pour te rassurer, vue qu'elle est virer de truffaut, je la verrais déjà moins.

Et en même temps:
-T'embrasse tes amis les plus proches. Tu dirait quoi si j'embrassais Julie, Lulu et Aurélie?
-J'ai pas mon mots à dire sur se que tu fait et avec qui... Je parle par exemple de fumer entre les cours. Tu me l'interdit strictement, mais voila le nombre de fois que tu y vas avec Lucky star...
- Il y a aussi des choses que je ne peut pas te demander de changer... Tu n'y peut rien, je vais pas te demander de ne plus parler à certaine personne...

Mais il n'y a pas que des mauvais côté. Il y a vraiment que toi qui me motive à bosser, à allé en cours, à me concentrer,  à ne pas déconner. Tu ma sauver l'année dernière, et tu recommence cette année. Tu veut m'emmener au siège des ados, tu me donne des objectifs dans le futur qui me font rêver. Avec toi l'avenir semble plus clément...

Il y a aussi toute ses petites choses qui font
de toi un être unique,
quelqu'un que j'aime.

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