Mercredi 5 décembre 2007 à 20:24



Et je me suis coller à ton dos, dans ton sommeil. Ta couverture me couvrais la moitié du visage et des larmes se mirent à couler. Tu t'est retourner comme énerver. Je devais pas pleurer, à près tout c'était de ma faute. Mais qu'est ce qui m'était prit il y a un mois? Pourquoi je me suis mit à douter? J'en sais trop rien, je sais juste que j'ai finalement fait tout pour effacer mes erreurs. J'ai couper des ponts, j'ai laisser en plan et j'ai recommencer comme si de rien n'était. Mais c'est ça qui cloche, comme si de rien était... Comme si cette courte "aventure" n'avais pas eu d'importance au point de ne pas t'en parler quand on c'est remit ensemble.

Pourtant pour moi c'était une évidence, je craignais trop les conséquences, mais aurait elle été pire sur le coup, à froid? Je sais pas... Je sais juste qu'à cause de ça je risque de tout perdre. Tu était devenus réellement tout pour moi. Mes minutes de voyage au milieu de la journée, tu était la fille qui me faisait des sourires en cours. Tu était celle qui me poussait à travailler, à ne plus sécher, à allez voire un psy, tu était celle qui me motivait à travailler pour partir sur Amiens. Tu était la première à qui j'ai vraiment eu envi d'offrir quelque chose, quelque chose en plus que mon simple amour.
Tu était celle là qui me réconfortait quand ça n'allais pas. Tu me promettait des vacances à Annecy avec toi, repasser des vacances en famille, unie... Tu était mon opposer et à la fois mon double, tu était le miroir le plus beau qu'une personnalité peut offrir...

Et aujourd'hui tu réfléchis, tu raccroche au téléphone, on se croise sans un mots, on ne se parle plus... Mais qu'est ce que je vais devenir? Est ce que j'arriverais à faire face seul?... Mon amour pour toi me rendait plus fort, et sans toi je ne pourrais que tourner le dos à tout...

Je t'aime... Prend en compte...


Dimanche 2 décembre 2007 à 19:12




Alors que les gouttes de pluies coulaient le long du par brise de la voiture de ma mère, qui me ramènait chez moi. Je regardais le paysage oranger des feuilles mortes et des champs labourer par les agriculteurs de la régions. Aaron tournait encore dans la radio, tout comme hier et le ciel gris lui allait particulièrement bien. Alors des soupçons de larmes se mirent à apparaitre. J'ai alors fixer le bords de la route. Là bas à Hermes, elle était rester. Sa faisait longtemps que je n'avais pas discuter avec quelqu'un de se qui se passait. Sa faisait longtemps que je n'avais pas pleurer devant quelqu'un, sa faisait longtemps que personne ne m'avais consoler.
Et pourtant, j'ai dut partir de là bas, là où je me sentait si bien. Là où j'avais l'impression que je pourrais être heureux, niais et amoureux pour longtemps. Et me voila partit, là dans l'entre du démon. A mon retour chez moi, quelques coup de fils de sa part et nous voila sur msn en train de se reprendre la tête.
Suis-je fautif, nous le sommes autant tous les deux mais nous ne pouvont donner raison à l'autre, la conséquence est bien trop importante. Une brouille éternel...


Et pourtant, on s'aime...

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