"Sa va pas"
Elle m'a envoyer ça en cours se matin. Je venais alors de croiser son regard. Ses yeux sombres m'avaient bouleverser, renverser et ma tête tanguait comme un bateau laisser libre sur les flots. Oui, je me sentais mal, autant que pendant tout le reste de la journée. Affronter son regard est si dure, je n'ai plus la force. Je la fuis, autant que je la cherche. Mais sa n'est qu'un manège... De toute manière, aujourd'hui, elle à l'image de la classe. Je l'ai fuis.
Je dit classe, mais cet après midi, je me suis rendu compte que sa n'est pas une classe que j'ai. Mais des élèves comme ceux que je pourrais croiser dans les couloirs. Sa n'est plus ma classe. Je ne partage plus grand chose avec eux. D'ailleurs, je n'ai ni envi de partager le déjeuner avec eux, ni de leurs parler. Je m'isole. Je reste silencieux. Je ne parle plus, et si je parle sa n'est pas à quelqu'un mais à un groupe. Il m'arrive aussi de croiser des connaissances et dire des banalités, les typiques "salut, sa vas?" "Ouais et toi?". L'important dans la question, c'est pas si l'autre s'intéresse à toi, car de toute manière, il s'en fou autant que toi de la réponse. C'est de se dire, que lui il est même pas au courant que tu t'est fait larguer mercredi dernier et que tu peut lui dire se qui te plait, il ne s'arrêtera pas pour autant. C'est du beau...
Mais c'est fou quand même quand on est seul, on se sent vivre encore plus fort que d'habitude. On ne prête plus attention aux autres, mais seulement à soit. Ainsi tout à l'heure dans le car, je me suis aperçu que plus rien ne motivait. Ses vrais, je vient pour quoi au juste maintenant? Je bossait pour elle, mon coeur battait pour elle... Mais aujourd'hui, je vient toujours, mon coeur bas toujours. Mais sans plus aucune réel raison.
A non, n'allez pas penser que je suis suicidaire, ou que je suis de ceux qui meurent de chagrin d'amour. Je suis juste casser, à bout. Je me rend compte seulement maintenant à quel point les personnes d'une classe ne peuvent pas forcément faire attention à quelqu'un. Normal que Cécile à eu des problèmes, tous égoïste, du moment qu'on est pas coupable de quelque chose, on ne tente pas d'agir.
Ainsi, personne ne se demande où je mange, personne est venu me réconforter me dire un mot gentil. Je trouve même comique que jeudi "larme" comme je vais l'appeler, le jours ou j'ai fini chez la CPE, que sa soit Lorinda que fut venu me réconforter... Comme quoi...
Il reste bien Joris et Freedy qui reste en contact avec moi... Pierre aussi un peut, mais il devient vite agaçant... En tous cas. J'en ai totalement marre. Je subit chaque cours comme une perte de temps, je ne comprend plus l'intérêt. Je me sens relativement mal et j'arrive pas à être fort. Ainsi, je lui fait des sourires des fois en classe. Je peut rien faire de mieux de toute manière. Pierre m'a fait remarquer qu'elle avait bien choisit son sujet se matin en littérature. Il a presque réussit à me faire quitter la classe. Mais de toute façon, "c'est qu'il est pas bien".
En conclusion, je n'attend que la fin de cette année, que tout change, j'en peut plus du tout. Mon coeur est à bout de souffle. J'ai juste besoin de réconfort, de tendresse.
Je dit classe, mais cet après midi, je me suis rendu compte que sa n'est pas une classe que j'ai. Mais des élèves comme ceux que je pourrais croiser dans les couloirs. Sa n'est plus ma classe. Je ne partage plus grand chose avec eux. D'ailleurs, je n'ai ni envi de partager le déjeuner avec eux, ni de leurs parler. Je m'isole. Je reste silencieux. Je ne parle plus, et si je parle sa n'est pas à quelqu'un mais à un groupe. Il m'arrive aussi de croiser des connaissances et dire des banalités, les typiques "salut, sa vas?" "Ouais et toi?". L'important dans la question, c'est pas si l'autre s'intéresse à toi, car de toute manière, il s'en fou autant que toi de la réponse. C'est de se dire, que lui il est même pas au courant que tu t'est fait larguer mercredi dernier et que tu peut lui dire se qui te plait, il ne s'arrêtera pas pour autant. C'est du beau...
Mais c'est fou quand même quand on est seul, on se sent vivre encore plus fort que d'habitude. On ne prête plus attention aux autres, mais seulement à soit. Ainsi tout à l'heure dans le car, je me suis aperçu que plus rien ne motivait. Ses vrais, je vient pour quoi au juste maintenant? Je bossait pour elle, mon coeur battait pour elle... Mais aujourd'hui, je vient toujours, mon coeur bas toujours. Mais sans plus aucune réel raison.
A non, n'allez pas penser que je suis suicidaire, ou que je suis de ceux qui meurent de chagrin d'amour. Je suis juste casser, à bout. Je me rend compte seulement maintenant à quel point les personnes d'une classe ne peuvent pas forcément faire attention à quelqu'un. Normal que Cécile à eu des problèmes, tous égoïste, du moment qu'on est pas coupable de quelque chose, on ne tente pas d'agir.
Ainsi, personne ne se demande où je mange, personne est venu me réconforter me dire un mot gentil. Je trouve même comique que jeudi "larme" comme je vais l'appeler, le jours ou j'ai fini chez la CPE, que sa soit Lorinda que fut venu me réconforter... Comme quoi...
Il reste bien Joris et Freedy qui reste en contact avec moi... Pierre aussi un peut, mais il devient vite agaçant... En tous cas. J'en ai totalement marre. Je subit chaque cours comme une perte de temps, je ne comprend plus l'intérêt. Je me sens relativement mal et j'arrive pas à être fort. Ainsi, je lui fait des sourires des fois en classe. Je peut rien faire de mieux de toute manière. Pierre m'a fait remarquer qu'elle avait bien choisit son sujet se matin en littérature. Il a presque réussit à me faire quitter la classe. Mais de toute façon, "c'est qu'il est pas bien".
En conclusion, je n'attend que la fin de cette année, que tout change, j'en peut plus du tout. Mon coeur est à bout de souffle. J'ai juste besoin de réconfort, de tendresse.
J'aimerais juste... [tant de choses]
PS: mon portable est en panne.