Il y a des jours comme ça, où tous commence bizarment. On est le premier lever, on fume se qui reste sur la table. On regarde le chat, on mange une banane. Tous vas bien, tu regarde la télé inconsciament avec quelqu'un qui compte beaucoup pour toi. Tu est heureux, "tu était bourrer hier!". Incapable de se rendre compte de son état. Se rappeler de cette soirée, ou pour être le plus près d'elle tu aurais fait n'importe quoi. Comme dormir au pied de son lit, part terre avec le coussin du salon (faudrait que je le remercie celui là, il m'a sauver!).
Enfin, le lendemain de soirée ou quand tu est tous seul tu fait le bilan, en mettant des pours et des contres à pas mal de choses. En pesant si cela était dut à l'alcool ou part une véritée qui s'ouvre grace à l'ambiance. Après dans la journée tu dit plein de chose, "non sa n'était pas l'alcool"... Bref, tu réflechi trop, tu te cherche (merde, j'ai oublier de me connecter a msn). Tu pense te trouver, tu parle avec les autres de plein de choses de ton père (les personnes à qui je voulait parler ne sont pas connecter...), de ton exam, des kiwis... de tous. Tu te sens bien, tu sourit. Tu passe la journée, tu dévoile un de tes secrets, un secrets qui n'est pas d'aujourd'hui ou d'hier, qui était déjà arriver il y a 6 mois... Le jours un Marie m'avais foutut un claque dans la gueule, le lendemain la police confisquait mon couteau (d'ailleur cette nuit j'en ai réver de se couteau... je le voulait à tous prit... et après mon père est rentrer chez moi et on est partit sur la route comme dans un road movie... Mais sa n'était qu'un rêve. (Je vais voire la pizza, si elle crame pas...)). Tu rentre chez toi, et tu retrouve ta soeur sur le départ, et ta mère qui pleurait le soir précedent. Le soir où pour échapper de tous, tu préfère boire et fumer. Tu mange avec ta mère, même si tu n'as pas fin. Tu regarde Al Pacino dans je ne sais quel film sur direct 8 et à la fin, tu pleure... Tu pense à trop de chose, tu pense à un visage, tu écrit des sms, tu en envoit quelques uns. Tu regarde la télé jusqu'a overdose. Jusqu'au point ou entre en réver ou regarder la télé, tu prefere dormir... Tu te réveille le lendemain, tu fini Need for speed 2, et tu est déçut... Tu te demande à quoi tu vas jouer demain, tu sais en plus qu'il faut que tu trouve de l'argent... T'est dans la galère, tes tristes, des fois heureux, comme avant hier soir... Et la seul chose que tu attend est de recommencer, de te bourrer la gueule, d'avoir la tête en marto piqueur. D'en arrviver à dire non au wisky tellement t'en peut plus.
[j'ai envie de parler à quelqu'un... J'ai besoin de parler à
quelqu'un de tous lui dire, de tous lui expliquer. Qu'il juge sans prise de partie
de trouver une personnes qui à les mots et les solutions...]
quelqu'un de tous lui dire, de tous lui expliquer. Qu'il juge sans prise de partie
de trouver une personnes qui à les mots et les solutions...]
Il m'a touché ton texte. Parce que c'est fort, brutal, et si vrai. Moi aussi j'en est connu des moments comme ca, ou même l'alcool n'arrive pas à nous sortir de notre état.
On donne à son corps des illusions. Pour mieux cacher notre douleur.
Bon, j'arrête là, mon oral de français dans quelques heures, et que prodigue le réconfort des mots d'une inconnue ? Pas grand chose malheureusement.
Un Bisous