Moi, en bas je la regarde comme je regarde une étoile. Si loin et si près de moi, si grande et si petite à la fois. Mais qui est tu toi? Toi, qui vole avec légèreté au milieu des cieux azzuré de ma pensée. Qui est tu? Un esprit? Une fée?
Guide moi jusqu'a chez toi, que je comprenne qui tu est.
Présente moi ton unnivers, montre moi tout de toi.
Elle arrivée filante comme un étoile devant moi. Elle prit ma main, et me tira de la terre au ciel. Tout était merveilles avec elle. Elle m'amuse de sont sourire de muse et je m'inpregne d'elle comme une éponge. Envieu de garder toute ses paillettes dans mes yeux et dans ma tête. Je l'ai serrer contre moi, elle m'a emporter au dessus de tout les toits.
N'allez pas croire à mon bonheur.
Je n'ai ni croiser de muses, ni d'amour...
Je pimente juste l'irréel pour pimenter la realité
qui plafonne dans platonitude.
Je n'ai ni croiser de muses, ni d'amour...
Je pimente juste l'irréel pour pimenter la realité
qui plafonne dans platonitude.
Tiens c'est drole, tu as écris cet article avant de partir de chez toi je présume. Avant que l'on se croise et que tu me prennes pour un fantôme, que bientot je ne serai plus, du moins, je l'èspère.
J'èspère que tu vas quand même bien.
Moi, j'ai eu un accident, j'ai faillit creuver... Marrant non !? J'ai d'ailleurs un mal de chat à taper sur ce clavier, je ne peux plus bouger ma main droite...
Sinon, ta présence me manque.
Fais attention à toi.
Lorinda.