Comme un long spasme, tous mon corp tremblait près de toi. Je ne voyait plus rien, le paysage de ta chambre disparaissait sous de nombreux flashs de photo. Le négatif imprégner dans mes puppiles m'orrifiait.
Je préferait voire ma vie défiler que de voire ces scènes là pour de vrais...
Quand je t'en ai parler, tu as rigoler comme si cela était évident, tout en me répondant:" t'est pas fou toi?"... Je me suis retourner sur ton lit, la tête contre le mur et sous ton coussin. Tu radotais comme toujours qu'il faudrait le repeindre ce mur, pendant que je passais mes pieds dessus. J'avais envis de pleurer et tu savais parfaitement pourquoi... Car tu venais de lire le mots sur ton tableau, au marqueur vert, écrit part mes mains. Le mauvais présage "On retire mon appareil avant mi juillet". Toi seul pouvais alors le voire d'un mauvaise oeil. A côté, il y avait écrit, ma rage, ma argne, de quel arbre était le fruit de mes larmes.
Hier on était encore bourrer, enfin, tu l'étais... Moi, j'ai juste péter une quinzaine de rétro en rentrant du feu d'artifice. Moi, j'aurais préferer pas le voire, et tu le sais surement. Nan, je ne parle pas du feu, lui au moins était le seul à m'accompagner dans se moment de solitude... Nan, je parle de se type que tu dit "ouvert" d'esprit, et qui n'est pas assez ouvert pour comprendre qu'on as le droit d'être énerver sans être bourrer... Celui qui m'a empécher d'accomplir notre promesse de retirer le poteau d'enface... T'avait dit qu'il fallait le reretirer, mais bon, toi tu te rappel jamais de rien les lendemains... Sauf que tu as eu peur quand je suis partit dans mon coin. Rester seul dans un endroit que tu ne connais pas bien, est le meilleur endroit pour réflechir...
On est alors rentrer... Il t'as dit aurevoir, et moi je ne voulais pas voire ça. On est monté en haut, dans ta chambre. Tu étais fatiguée, tu voulais te coucher et moi non. J'avais envis de bouger, de faire le con, de me finir au wisky. Mais tu voulais pas me laisser seul...Alors j'ai céder, et à l'encontre de mon plaint grée je me suis allongé dans le coin, près du mur...Toujours ce mur...Mes yeux se baladèrent, ils ne pouvaient pas manquer les
"rêves inachevés..." Mais nos rêves ne sont jamais achevés... On se réveil toujours avant leurs fin, comme pour que l'on prène les choses en mains, pour que cela arrive... Moi j'ai un rêve, un rêve d'avenir mais tu veux pas en entendre parler...Mais, celui que tu connais n'est qu'un rêve de substitution, un rêve que je prend pour oublier un autre qui virerait au cauchemard à cause de toi...
Si ses spasmes étaient un cauchemard, alors il faut que je me prene en mains, pour éviter ça. Tu m'avais demander où j'avais eu mal..."Hein, hein... Je sais pas..."... Maintenant je le sais, partous. Pas plus ailleur qu'à un autre endroit. Mais, toi quand tu as vus ça, tu t'est retourner de ton côté pour dormir en disant... "Théo calme toi, déconne pas"...
Loïc avait raison... Quand il me l'a dit, j'ai sourit en pensant qu'il n'avait pas forcément tord mais que moi c'était pas pareil... Je devient juste fou... Mais qu'est ce qui se passe bon sang!
Moi aussi j'aimerais pouvoir donner des leçons, donner des conseils utiles, me faire entendre... Me faire comprendre... Mais j'ai toujours l'impression de n'être jamais assez claire.
Si rien ne change d'ici mi-juillet...