Mardi 12 juin 2007 à 19:31




Voila...Les premières épreuves sont terminée. Les épreuves écrites c'est du passé et le plus dure arrive. L'oral le 21... Bon alors, une première journée lundi qui c'est bien passé...

Avec un sujet d'SVT plus que bizard... Mais combien de boudin hebdomadaire faut'il pour une femme? Un sujet de Physique pas si étrange que ça^^ (pour une fois gniarc^^) Et bon, moi qui pensait que les émoroïdes c'était comme la merde sa portait bonheur... Bon bas, je dirait plus jamais bonne émoroïdes...Et on me le diras plus... Car j'ai littéralement foirer les maths.

Bref, aujourd'hui c'était le Français avec un super sujet a chier sur l'autobiographie intimiste... Alors en plus d'être persuader d'être tomber comme une merde à côté des bons arguments, ma mère qui m'enfonce...tien y en a une qui me rassure^^ Je suis sur d'avoir tous faux....

Bon c'est la pagaille, avec la réinscription le même jours, je suis crever j'ai mal à la tête. J'ai envis de m'amuser de me changer les idées... J'fait une ptiote bonne pensé à mon Yan qui est malade lui aussi ¤_¤

J'espere que tous iras bien d'ici là... Je sais pas si j'aurais des envie d'écrire. Sinon dans ma salle d'exam, quand j'ai regarder à la fenêtre deux oiseaux sont passer, ma voisine avait des chocapic en tablette et une bouteille de volvic fraise. La personne qui nous surveillait avait la tete d'Alio marie... Un signe?



Dimanche 10 juin 2007 à 21:47

Le soleil tappait sur mon visage depuis quelques minutes déjà, mon portable avait sonner il y a quelques heures maintenant, et il était tomber au sol. Je n'avais pas encore eu le courage de me retourner sur mon lit, tendre la main, et attraper le mobile. J'avais l'impression de n'avoir jamais été aussi crever de toute ma vie. Mon regard se posa sur le réveil, il était 19h37, et j'avais un attroce mal de tête. Dans ma tête une conclusion me vint:" Les bureaux de votes sont fermés, merde je devait voter..." Quelques minutes après, j'était debout, que le temps passe vite des fois, il était déjà 19h52.
Mes pieds se balladèrent sur les feuilles de révisions éparpillées sur le sol de ma chambre. Demain c'est le bac et j'ai pas le moral.
Juste le temps de me mettre des chaussons aux pieds, et je me retrouve devant la télé. Là, une table d'homme et de femme en costard, il parlent d'avenir, de Françe, de désillusion. J'avais déjà tous comprit "Est ce que tous recommence, avons nous perdu la raison car j'ai vu le mal qui doucement s'installe sans aucune morale. Passer à la télé pour lui est devenu normal."

Ils parlent de victoire, d'union, de force, mais un seul mot me vient, que je crache avec rage...défaite. Alors je me gratte le ventre, sur mon bidon, un tatouage de vache kiri. Je repense à toi, je sourit. Je repense à toi. Je me lève. J'ai faim, j'ouvre le frigo et je tombe sur une boite vache kiri. Je repense à la première fois que je suis venu chez toi un vendredi. C'est fou comme des boites peuvent rassembler des souvenirs, comme une boite noire perdu en mer. On ne s'attend pas à la retrouver à son réveil, sous la lumière artificiel d'un frigo...
Mon père me parle, ma mère me fait remarquer qu'aujourd'hui je n'ais encore rien fait. Je sort alors les poubelles. Se soir je n'ai pas faim, j'ai juste fin. Fin de l'année, fin de ses 2000 jours, fin de ses idées, fin de se rêve de partir. Car j'ai trouver mon bonheur chez quelqu'un.
Alors je me regarde dans le miroir, j'ai atteind mon premier objectif. Je me sens grandit, fort... Je demande du repos. Je me sens changé. Je me suis rendut compte que l'on juge souvent les gens car on est jalou, alors qu'il mérite bien mieu. Que j'ai faillit passer à côté d'une personne superbe, à grand coeur.








Dimanche 3 juin 2007 à 18:27





Comme un long spasme, tous mon corp tremblait près de toi. Je ne voyait plus rien, le paysage de ta chambre disparaissait sous de nombreux flashs de photo. Le négatif imprégner dans mes puppiles m'orrifiait.

Je préferait voire ma vie défiler que de voire ces scènes là pour de vrais...

Quand je t'en ai parler, tu as rigoler comme si cela était évident, tout en me répondant:" t'est pas fou toi?"... Je me suis retourner sur ton lit, la tête contre le mur et sous ton coussin. Tu radotais comme toujours qu'il faudrait le repeindre ce mur, pendant que je passais mes pieds dessus. J'avais envis de pleurer et tu savais parfaitement pourquoi... Car tu venais de lire le mots sur ton tableau, au marqueur vert, écrit part mes mains. Le mauvais présage "On retire mon appareil avant mi juillet". Toi seul pouvais alors le voire d'un mauvaise oeil. A côté, il y avait écrit, ma rage, ma argne, de quel arbre était le fruit de mes larmes.
Hier on était encore bourrer, enfin, tu l'étais... Moi, j'ai juste péter une quinzaine de rétro en rentrant du feu d'artifice. Moi, j'aurais préferer pas le voire, et tu le sais surement. Nan, je ne parle pas du feu, lui au moins était le seul à m'accompagner dans se moment de solitude... Nan, je parle de se type que tu dit "ouvert" d'esprit, et qui n'est pas assez ouvert pour comprendre qu'on as le droit d'être énerver sans être bourrer... Celui qui m'a empécher d'accomplir notre promesse de retirer le poteau d'enface... T'avait dit qu'il fallait le reretirer, mais bon, toi tu te rappel jamais de rien les lendemains... Sauf que tu as eu peur quand je suis partit dans mon coin. Rester seul dans un endroit que tu ne connais pas bien, est le meilleur endroit pour réflechir...
On est alors rentrer... Il t'as dit aurevoir, et moi je ne voulais pas voire ça. On est monté en haut, dans ta chambre. Tu étais fatiguée, tu voulais te coucher et moi non. J'avais envis de bouger, de faire le con, de me finir au wisky. Mais tu voulais pas me laisser seul...Alors j'ai céder, et à l'encontre de mon plaint grée je me suis allongé dans le coin, près du mur...Toujours ce mur...Mes yeux se baladèrent, ils ne pouvaient pas manquer les "rêves inachevés..." 

Mais nos rêves ne sont jamais achevés... On se réveil toujours avant leurs fin, comme pour que l'on prène les choses en mains, pour que cela arrive... Moi j'ai un rêve, un rêve d'avenir mais tu veux pas en entendre parler...Mais, celui que tu connais n'est qu'un rêve de substitution, un rêve que je prend pour oublier un autre qui virerait au cauchemard à cause de toi...

Si ses spasmes étaient un cauchemard, alors il faut que je me prene en mains, pour éviter ça. Tu m'avais demander où j'avais eu mal..."Hein, hein... Je sais pas..."... Maintenant je le sais, partous. Pas plus ailleur qu'à un autre endroit. Mais, toi quand tu as vus ça, tu t'est retourner de ton côté pour dormir en disant... "Théo calme toi, déconne pas"...

Loïc avait raison... Quand il me l'a dit, j'ai sourit en pensant qu'il n'avait pas forcément tord mais que moi c'était pas pareil... Je devient juste fou... Mais qu'est ce qui se passe bon sang!
Moi aussi j'aimerais pouvoir donner des leçons, donner des conseils utiles, me faire entendre... Me faire comprendre... Mais j'ai toujours l'impression de n'être jamais assez claire.

Si rien ne change d'ici mi-juillet...

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